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lundi 27 janvier 2014

Le chômage a continué d'augmenter à la fin de l'année 2013.....


10.200 demandeurs d'emploi sans activité supplémentaires (+0,3%) se sont inscrits à Pôle emploi au mois de décembre, en dépit de la promesse du chef de l'Etat d'inverser la courbe du chômage avant la fin de l'année 2013. 

La France comptait en décembre 2013 3,3 millions de chômeurs et même près de 5 millions (4,98 millions) si l'on comptabilise ceux qui exercent une activité réduite. 

Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi qui ne travaillent pas du tout aura progressé de 177.800 (+5,7%). 

La hausse du chômage a cependant ralenti au cours de l'année, sous l'effet des contrats aidés. 154.000 se sont en effet inscrits de janvier à juin contre 23.800 de juillet à décembre. 

Le chômage des jeunes a par ailleurs reculé, grâce aux 100.000 emplois d'avenir budgétés en 2013 : les moins de 25 ans inscrits à Pôle emploi sont en effet légèrement moins nombreux (1500 de moins) en décembre 2013 qu'un an auparavant. 

« L'inversion de la courbe du chômage est une réalité manifeste pour les chômeurs de moins de 50 ans, qui représentent 78% des demandeurs d'emploi. 

Ce n'est pas encore le cas pour les personnes de 50 ans et plus, qui subissent plus que les autres une situation de l'emploi encore tendue », déplore le ministère du Travail dans un communiqué. 

Le nombre de seniors au chômage a en effet grimpé de 12,3% sur un an, malgré la mise en œuvre du contrat de génération, qui ne rencontre pour l'instant pas un grand succès dans les entreprises.

En Turquie ce lundi, François Hollande a admis n'être pas parvenu à tenir la promesse de l'inversion de la courbe du chômage. 

«Ce que nous devons faire, c'est la diminution, l'inversion» de la tendance, a-t-il réexpliqué. « Stabiliser, c'est ce que nous avons, [mais cela] ne suffit pas », a convenu le chef de l'Etat.


Par 

Israël pourrait renoncer à sa « neutralité » dans le conflit syrien...


Israël pourrait renoncer à la politique de neutralité à l’égard de la guerre civile en Syrie affirme l’agence d’information AP, d’une source dans les services de sécurité israéliens. La cause probable de changement de politique réside dans le renforcement d’ « Al-Qaïda » dans le pays voisin.
Selon les estimations des services secrets israéliens, en Syrie, sont environ 30.000 personnes seraient liées à Al Qaïda, alors qu’ils n’étaient que 2000 il y a 24 mois. 
Ces données sont nettement plus élevés que celles des experts européens et américains.
La source israélienne a déclaré que les terroristes ont l’intention d’attaquer l’Etat juif après la victoire sur le régime du président Bachar al-Assad.
Jusqu’à présent, les dirigeants israéliens ont préférés ne pas réagir à ce qui se passe en Syrie. Mais la politique de neutralité arrive à son terme. 
A Jérusalem ont pense que la guerre civile en Syrie va attirer de plus en plus de terroristes.

Soutenons les chrétiens au Moyen-Orient !


L’État français a un rôle de premier plan à jouer pour soutenir le maintien des chrétiens au Moyen-Orient.

Dans son discours au corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège, le pape François a prôné la « culture de la rencontre », thème récurrent de la géopolitique du Vatican. 
Insistant sur les conflits bouleversant le Moyen-Orient, le pape note avec préoccupation les difficultés rencontrées par les chrétiens dans de nombreux pays tels que l’Égypte, la Syrie ou encore l’Irak.
Cette « culture de la rencontre » est portée plus ardemment par les chrétiens originaires ou vivant dans ces pays du Moyen-Orient. N’importe qui se retrouvera à côtoyer les Églises orientales, en France ou en Orient, réalisera vite que ces chrétiens ne demandent ni pitié, ni compassion mais de la compréhension. 
Chacun des chrétiens libanais, jordaniens, syriens, égyptiens, etc., porte ainsi en lui quotidiennement le discours du pape François, car chercher à comprendre les chrétiens orientaux, c’est avant tout aller à leur rencontre.
Rencontrer les Églises orientales, c’est explorer les siècles de coexistence entre chrétiens, juifs et musulmans ; c’est aussi et surtout se représenter clairement le rôle éminent qu’ont les communautés chrétiennes dans la diffusion de l’éducation et donc de la paix en Orient. 
Prendre le chemin de la rencontre des chrétiens orientaux est le « geste de premier secours » que nous pouvons leur apporter et que chaque citoyen français, chrétien ou non, intéressé par le rayonnement international de la France devrait effectuer pour la grandeur de son pays dans cet « Orient compliqué ».
Mais cette « culture de la rencontre » ne doit pas se transformer en une culture de la haine ou de la vengeance, symbole de la fermeture sur soi et facteur d’exode des chrétiens d’Orient. Prendre conscience des difficultés auxquelles sont confrontés les chrétiens orientaux nous permettra alors de témoigner de cette réalité perturbée et ainsi de porter par ce témoignage l’espoir que veulent trouver les chrétiens d’Orient. 
Cette démarche doit s’émanciper du soutien à un régime ou parti politique et, comme le rappelle le pape François, révèle le « courage d’aller au-delà de la surface du conflit ».
L’État français a un rôle de premier plan à jouer pour soutenir le maintien des chrétiens au Moyen-Orient. 
Mais ce n’est pas seulement aux autorités politiques et diplomatiques d’entreprendre ces démarches, il revient à chaque Français, et notamment à chaque chrétien français, d’être ouvrier de la construction de ce pont qui unit Orient et Occident au travers des chrétiens d’Orient et dont les fondations s’établissent aussi en France. 
Cette « culture de la rencontre » doit se construire dès aujourd’hui dans l’Hexagone par la rencontre des nombreuses Églises orientales présentes dans notre pays.
Comme l’a rappelé le pape François : « Un engagement commun de tous est utile pour favoriser une culture de la rencontre, parce que seul celui qui est en mesure d’aller vers les autres est capable de porter du fruit, de créer la communion, d’irradier la joie, de construire la paix. »

5 réactions typiquement juives face à la tragédie......


Gabrielle Giffords : Choisir la vie

Le 8 janvier 2011, Gabrielle Giffords, une parlementaire américaine fut atteinte d’une balle en pleine tête alors qu’elle discutait avec ses électeurs sur le parking d’un supermarché de Tucson. Six personnes trouvèrent la mort dans cette fusillade et douze autres en furent grièvement blessées. 
À la suite de cette attaque, Giffords fut contrainte d’abandonner cette carrière qu’elle aimait tant pour consacrer les trois dernières années à d’intenses exercices de thérapie. Aujourd’hui, l’ex-parlementaire a encore des difficultés à parler et à marcher, et son bras droit est quasiment paralysé.
Pour marquer le troisième anniversaire de la fusillade qui lui a tant coûté, Giffords s’est offert une séance de… parachutisme ! Et au micro d’une grande émission de télévision nationale, elle a commenté son choix pour le moins surprenant : « C’est ma manière à moi de célébrer ma vie ! »
Giffords a beau ne pas être juive ; sa résilience incarne l’injonction de la Torah : « Et tu choisiras la vie » (Deut. 30 :19)

Bart Stern : Avoir le cœur sur la main

Quand il était interné dans le camp de la mort d’Auschwitz, Bart Stern apprit que l’un de ses codétenus s’était fait voler sa ration quotidienne de pain. Ce qui dans l’état d’affamement et d’exténuement dont soufraient les déportés, revenait à une sentence de mort. Alors Stern – qui était tout aussi affamé – partagea son propre quignon de pain avec l’homme.
Après la guerre, Stern s’installa à Los Angeles. Chaque matin, il se postait au coin de la rue et observait les enfants qui se dirigeaient tranquillement vers l’école juive. « Ma plus grande joie, disait-il, c’est de voir des enfants juifs libres et heureux ».
Pour Stern, il ne faisait aucun doute que c’est le mérite de sa bonté à l’égard d’un frère juif qui lui a permis de survivre à l’enfer d’Auschwitz. Voilà pourquoi, il décide de consacrer le reste de sa vie à aider la jeunesse à renouer avec leur héritage juif. 
Pendant des décennies, et malgré ses 70 ans passés, cet homme frêle doté d’un fort accent européen arpentait les rues de Los Angeles le Chabbat à la recherche de jeunes gens juifs qu’il invitait chez lui pour un bon repas. Le soir de Roch Hachana, sa table ne comptait pas moins de 30 convives, et s’il y en avait 15 autres qui n’avaient pas où passer la soirée, il disait : « Qu’ils viennent, eux aussi ! »
Auschwitz ne lui a pas volé son humanité. Il n’a fait que la dévoiler au grand jour.

Dr Rahamim Melamed-Cohen : Se concentrer sur la moitié pleine du verre

Dr Rahamim Melamed-Cohen, un pionnier dans l’éducation spécialisée en Israël, apprit qu’il était atteint de la maladie de Lou Gehrig et qu’il ne lui restait plus que cinq ans à vivre. Cela, c’était il y a 18 ans… Aujourd’hui, il est entièrement paralysé et les seuls organes dont il a encore le contrôle sont ses yeux. À l’aide d’un ordinateur qui réagit aux mouvements oculaires, Rahamim a écrit plus de 12 livres, a produit plusieurs œuvres d’art et communique avec des personnes aux quatre coins du globe.
 « Il n’y a pas vraiment de place pour l’auto-pitié », affirme-t-il. « Ne désespérez jamais. Soyez optimistes et efforcez d’instiller la joie dans votre cœur. Qu’importe ce qui vous fait défaut, concentrez-vous sur tout ce que vous pouvez accomplir dans votre situation présente. Je suis en train de vivre les plus belles années de ma vie. »

Sherri et Seth Mandell : Transformer la tragédie en tremplin

Le 8 mai 2011, Koby Mandell et son copain Yossef Ishran séchèrent l’école pour s’offrir une excursion dans une gorge proche de leur domicile située à Tékoa, une petite colonie de Cisjordanie. Ils furent retrouvés morts, lapidés par des pierres par des terroristes palestiniens. « Nous étions déterminés à créer quelque chose à partir de la tragédie de la mort de Koby » se souvient Seth Mandell, le papa de Koby. 
Avec son épouse Sherri, ils créèrent la Fondation Koby Mandell à la mémoire de leur fils, un organisme qui dirige des programmes de convalescence pour les familles et veuves qui ont été directement affectées par le terrorisme en Israël. Leur projet phare est le camp de vacances destiné aux enfants dont l’un des proches a péri dans une attaque terroriste.

Tsahal : Assumer ses responsabilités

(Crédit photo : Joe Shalmoni, Standwithus.com)
Les Forces de Défenses Israéliennes assument la mission juive d’être « une lumière pour les nations » avec beaucoup de sérieux, offrant de l’aide humanitaire à tous les pays du monde ayant subi des catastrophes naturelles. 
Depuis le tremblement de terre de Haïti en 2010 jusqu’au typhon de 2013 qui a frappé les Philippines, Tsahal est souvent le premier organisme à arriver sur les lieux, pour sauver ses vies en mettant en place un hôpital ambulant ultramoderne comprenant de centaines de médecins, d’infirmières et de secouristes.

Regardez la lave avaler une canette de Coca-Cola.....


On trouve de tout sur Youtube, c’est parfois extrêmement drôle, parfois éducatif, parfois magnifique et parfois tout simplement captivant. Si rien ne peut arrêter la lave, elle est tout bonnement hypnotisante. La preuve en vidéo !

Offrant régulièrement de sublimes vidéos de volcan, le compte lavapix, géré par un photographe professionnel, nous propose aujourd’hui une courte séquence de toute beauté : une canette de Coca-Cola, un Nikon D800, une GoPro Hero 2 et une belle coulée de lave.

Sur la première canette, un petit trou fut percé sur le dessus, pour un effet geyser. La seconde est intacte. Toutes deux finissent avalées par cette impressionnante force tranquille.....


Le mot de la fin à l’auteur : « Ne faites pas ça à la maison. Bien sûr, si vous avez une coulée de lave chez vous, ce sera le cadet de vos soucis. »

sourcesGizmodo




Nutella : Ne tournons pas autour du pot...


Cochon qui s’en dédit...


Il est convenu depuis belle lurette que les mauvaises pratiques alimentaires, désignées par la langue médiatique comme « malbouffe », nous sont venues des Amériques grâce à la marque au grand M jaune. 
Érigé en symbole de l’acte gourmand moderne et libéré, le sandwich au gras sucré a su capter l’appétit mondial. 
Ce n’est pourtant plus du hamburger de McDo, devenu la caricature de lui-même du haut de sa toxicité sanitaire et mentale, dont nous avons le plus à craindre, mais d’une pâte à tartiner chocolatée qui nous vient d’Italie.
 Le fléau transatlantique n’est rien à côté du mal transalpin.
Sur le plan socio-nutritionnel, Nutella, c’est l’horreur absolue,
[...]

Jour de colère, bêtise grégaire.....

Confusionnisme idéologique, dictature de l’émotion et vulgarité des slogans...


« La colère des imbéciles remplit le monde », écrivait Bernanos dans Les Grands Cimetières sous la Lune. Hier, la colère des imbéciles a retenti dans Paris.  On pourrait les traiter de fascistes, invoquer le 6 février 1934 et les heures les plus sombres, se boucher le nez devant tant de nauséabonderies. 
Pourtant, imbécile semble le mot le plus juste pour qualifier la manifestation grotesque  et inquiétante qui s’est tenue dimanche après-midi dans les rues de la capitale. 
« Je ne crois même pas aux relatifs bienfaits de coalitions d’ignorance et de parti pris », ajoutait l’écrivain catholique. L’ignorance, le parti pris et la bêtise s’étaient bien donné rendez-vous pour une grande « coagulation des colères » (selon la très poétique sémantique du collectif) qui aurait rassemblé 17 000 bilieux selon la police (160 000 selon les organisateurs).
Le défilé n’avait rien à voir avec les masses joyeuses et pacifiques soulevées par la Manif pour tous. Peu de chants, pas d’enfants, beaucoup de sifflements, de hurlements, et une ambiance franchement angoissante, le tout sous une pluie sinistre : il fallait vraiment être très énervé pour  marcher jusqu’au bout, de la Bastille aux Invalides.
La cacophonie était aussi idéologique. Des slogans royalistes suivant de près une Marseillaise tonitruante, des drapeaux bretons, corses, occitans, des bonnets rouges et des cols relevés. 
Parmi les slogans du cru, le révolutionnaire : « monarchie populaire, ni droite ni gauche », le très classique « juifs hors de France » et le plus atypique mais non moins discriminant « socialistes pédophiles », scandés par des groupes divers unis seulement par leur détestation viscérale du président français, rebaptisé « braguette ouverte » à la tribune à cause de ses frasques sexuelles.
Des Hommen enchaînés torse-poil sous la pluie côtoyant des ananas plantés au bout de pique, des entrepreneurs fâchés avec la fiscalité, des quenelliers altermondialistes suivis de catholiques intégristes : la grande Pride des mécontents avait des allures de carnaval postmoderne. Muray aurait adoré.
Confusionnisme idéologique, dictature de l’émotion, vulgarité des slogans, cette manifestation, loin d’être réactionnaire, n’était que le pur produit d’une société moderne déboussolée, sans clivages ni repères, sans projet idéologique alternatif cohérent (contrairement aux troupes de la Manif pour tous qui défendaient un projet de société).
Comme la convergence des luttes à l’extrême gauche unit militants LGBT et femmes voilées dans un même combat contre l’ennemi imaginaire fasciste, la « coagulation des colères », chez cette droite-là, rassemble des combats qui n’ont rien à voir contre un ennemi tout aussi fantasmé, le hollandisme.
À cet égard, les vociférations de Béatrice Bourges sont aussi stériles que les trémolos hesseliens, car la colère, comme l’indignation, la bile comme la bonne conscience  ne sont que les deux faces d’une même médaille, celle de la réduction de la politique au primitivisme de l’émotion.
*Photo : URMAN LIONEL/SIPA. 00674246_000027. 

Découvrez les photos couleur de Robert Capa.........

Capucine, mannequin et actrice française, à Rome, en août 1951. (Robert Capa/International Center of Photography/Magnum Photos)

Pour la première fois, du 31 janvier au 4 mai, une exposition de l’International Center of Photography (ICP) à New York réunit les photos couleur de Robert Capa.


Modèle absolu de tous les photojournalistes, Robert Capa est l’auteur de certaines des images les plus marquantes du XXe siècle, comme celle du milicien républicain abattu en pleine course pendant la guerre d’Espagne en 1936, ou celle du soldat américain débarquant sur Omaha Beach en 1944. Des images en noir et blanc, comme toutes celles que nous associons généralement à son nom. 
Mais contrairement aux idées reçues, la couleur était loin d'être marginale dans son travail. C'est ce que prouvent les 120 images de "Capa in Color" rassemblées par l'International Center of Photography (ICP)environ dix ans après la publication du livre que l’agence Magnum a consacré à cette part méconnue de l’œuvre de l’un de ses fondateurs.
Comme le rapporte la commissaire de l’exposition dans un interview accordée à Time, il partait le plus souvent avec deux appareils chargés de différentes pellicules, et parfois même trois, pour pouvoir changer de format. Dès 1938, trois ans après leur mise sur le marché, il demande à recevoir douze films Kodachrome sur le théâtre de la guerre sino-japonaise, dont quatre images seront publiées dans "Life". 
Il est en avance sur ses pairs qui ne prendront véritablement en compte cette légendaire pellicule pour diapositive qu’à partir des années 1950. Au début de la seconde guerre mondiale, il suit les alliés en Afrique du Nord en monochrome et en couleur, puis privilégie un temps le noir et blanc, moins contraignant techniquement, pour suivre le débarquement en Normandie et la Libération de Paris.
Mais c’est surtout après la guerre que la couleur s’impose dans sa production : un voyage avec John Steinbeck en URSS en 1947, des visites en Israël entre 1948 et 1950, des photos de tournage, de voyages, parfois dans les lieux de villégiature de la jet-set, qu’il produit entre autres pour "Colliers" ou "Life" … 
Les lecteurs sont friands de cette avancée technique, et les magazines rémunèrent mieux une photo en couleur. Ses dernières images Kodachrome sont aussi son ultime témoignage sur la guerre, celle d’Indochine, où il mourra à 40 ans, après avoir sauté sur une mine.
 Cet infatigable bourlingueur était né en Hongrie en 1913. Tout jeune activiste de gauche sous la dictature de l’amiral Horthy, il est contraint de quitter son pays et se réfugie à Berlin, où il se forme au journalisme. Il intègre l’agence photo Dephot et, pour son tout premier reportage, est envoyé à Copenhague pour photographier Léon Trotsky. Gauchiste, juif et étranger, l’Allemagne de Hitler le pousse à repartir.
Il choisit Paris, où il arrive en 1934. C’est là qu’il fait la connaissance des photographes Henri Cartier-Bresson, André Kertész, David Seymour, et de la femme de sa vie, Gerda Taro, celle qui l’aidera à trouver le pseudonyme de Robert Capa, qui remplacera avantageusement, pour trouver des clients, son vrai nom d’Endre Friedmann. Robert Capa, c'est nettement mieux pour se faire passer pour un photoreporter américain réputé. Ensemble, ils partent suivre la guerre d’Espagne et en rapportent des images devenues mythiques. Capa y devient célèbre, Gerda Taro y perd la vie. 
Il émigre aux Etats-Unis, puis, en 1947, avec ses comparses Henri Cartier-Bresson, David Seymour, George Rodger et William Vandivert, crée l’agence Magnum, première agence photo fonctionnant comme une coopérative, où chaque auteur conserve les droits sur ses images.
Passé maître dans l’art de l’instantané noir et blanc pris dans l’action des grands conflits de son temps, Capa ne s’occupait pas de style alors, mais de distance, la plus courte possible.
Ses photos couleur surprennent, en dévoilant un autre aspect de son travail, plus esthétisant et plus léger.

Pablo Picasso jouant dans l'eau avec son fils Claude, à Vallauris, en 1948. 
(Robert Capa/International Center of Photography/Magnum Photos)
Pablo Picasso jouant dans l'eau avec son fils Claude, à Vallauris, en 1948.
Des spectateurs aux courses de Longchamp, à Paris, vers 1952. 
(Robert Capa/International Center of Photography/Magnum Photos)
Des spectateurs aux courses de Longchamp, à Paris, vers 1952.
La Place de la Concorde vue des bureaux de Time et Life à Paris, vers 1952. 
(Robert Capa/International Center of Photography/Magnum Photos)
La Place de la Concorde vue des bureaux de Time et de Life à Paris, vers 1952. 

Antisémite, "national-socialiste" : comment devient-on Alain Soral ?


Pilier du système Dieudonné, antisémite et fier de l’être, Alain Soral, bénéficie d’une renommée vénéneuse sur le web et dans les médias. Enquête.


Il n’aime rien tant que parler. Depuis plus de trente ans. Dans les fêtes branchées de la nuit parisienne, les réunions du PC puis du FN, à la télé et dans ses livres, sur les vidéos de son site internet qu’il enregistre à la chaîne. Au début d’Alain Soral était le verbe. Nourri aux meilleurs philosophes. 
Aux dires de ses anciens amis toujours bluffés par son "intelligence" et sa "culture", il les aurait tous lus. Aujourd’hui, ses mots ont un goût de sang. L’ex-noceur des années Palace qui venait pimenter les émissions de Dechavanne ou de Taddeï montre ce qu’il a décidé d’être : "national-socialiste"! Il le dit et le répète. Dans la France de 2014.
Comment devient-on Alain Soral ? La question n’aurait que peu d’intérêt si sa logorrhée violemment antisémite était restée cantonnée dans les arrière-cuisines de la "fachosphère". Mais Soral s’est mué en prédicateur. 
Il est non seulement le maître à penser de Dieudonné mais aussi de milliers de fans qui le suivent sur la Toile. Mi-décembre, il y avait une queue de 200 mètres devant une librairie très comme il faut des beaux quartiers de Paris où il faisait ses dédicaces. Car, suprême consécration, Eric Naulleau, l’écrivain et "polémiste de gauche"  habitué du petit écran, lui a offert une respectable tribune en acceptant de débattre avec lui dans un opus sorti cet automne, "Dialogues désaccordés". Un joli titre. Qui ne sert pourtant qu’à emballer les vénéneuses obsessions de Soral.

Petit minet abonné aux soirées des Bains-Douches

"Je suis un penseur", dit au "Nouvel Observateur" l’homme aux cheveux ras qui cultive ses muscles dans les salles de boxe. En cette mi-janvier, voici pourtant comment il raconte l’un des "moments clés"  de son parcours d’"intellectuel". Nous sommes en 1984. Il a 26 ans. Petit minet abonné aux soirées des Bains-Douches, il lui vient l’idée d’écrire avec deux copains "les Mouvements de mode expliqués aux parents". Un best-seller. Mais seul l’un des trois coauteurs, Hector Obalk, aujourd’hui critique d’art, ira sous les sunlights d’"Apostrophes". 
J’ai été manipulé par un juif qui a tiré la couverture à lui, explique très sérieusement Soral. A partir de ce jour-là, j’ai étudié le Talmud, l’histoire du sionisme. J’ai découvert que la trahison et la solidarité étaient au fondement de cette culture."
 Juste affligeant de bêtise ? Le 11 janvier à Vence, lors d’un meeting sauvage, le même Soral crie au mégaphone : "Les juifs nous prennent pour des goyim, c’est-à-dire des sous-hommes. La Torah dit que notre destin est d’être leurs esclaves. Si on ne se révolte pas, ici, ce sera bientôt Gaza."
Autre moment clé dans la vie d’Alain Soral. En 2001, il met en scène "Confession d’un dragueur" avec Thomas Dutronc en tête d’affiche. "Son scénario était prometteur, se souvient le producteur Jean-François Lepetit. 
Mais au moment du tournage, j’ai réalisé que ce que je croyais être de l’ironie était en fait du premier degré." Critique assassine ("grossier, sexiste, homophobe, scatologique, plat, verbeux, superficiel..."). Film déprogrammé au bout d’une semaine. Soral, qui se voyait cinéaste, sombre dans la déprime.
Aujourd’hui, il éructe : 
J’ai été massacré par les deux cliques qui tiennent ce milieu, les pédés et les juifs."  
Dans le DVD qu’il a fini par éditer lui-même – "parce que "Confession" est devenu un film culte" (sic) - il explique qu’on ne lui a pas donné sa chance alors qu’il avait en lui autant de talent que Kubrick et Tarantino réunis... Sur ces échecs et ces vexations, le théoricien Soral a construit sa "pensée". On est loin de Bernard Lazare - l’auteur de "l’Antisémitisme, son histoire et ses causes"  - dont il a la perversité de se réclamer. On est en revanche au coeur de ses névroses.
 "J’avais prévenu depuis longtemps ceux qui le trouvaient si drôle, se désole sa soeur Agnès, l’inoubliable punkette de "Tchao Pantin". Les Field, les Ardisson... Je leur disais : vous êtes en train d’enkyster sa paranoïa, la violence qu’il a en lui sera un jour dévastatrice." Mais, ajoute-t-elle, "il a même réussi à hypnotiser un grand analyste lacanien. Ils ont fini par sortir ensemble aux Bains-Douches !" , tandis qu’elle a passé sa vie "à se reconstruire" sur le divan. Leur père, un conseiller juridique franco-suisse poursuivi en fin de carrière pour malversations, piétinait sa femme, humiliait et battait ses enfants. 
Comme tous les pervers narcissiques, poursuit la comédienne, il avait aussi un grand pouvoir de séduction. Adorait l’Histoire. Affabulait souvent. Provoquait les voisins en passant à plein volume un disque de chants nazis trouvé par hasard aux puces. En fait, il ressemblait terriblement à Alain." 
A ses amis de jeunesse, Soral confiera parfois : "Quand on a eu une enfance comme la mienne, on n’a que deux choix : devenir victime ou bourreau. On m’a programmé pour être un monstre", s’est-il plaint ainsi, en 2004, dans une émission de Mireille Dumas. Soral se targue de mépriser la psychologie - cet "infini à la portée des gonzesses" - mais il ne se prive pas de l’appeler à la rescousse pour se donner des excuses. 
La faute à son père s’il est méchant. Puis à sa soeur qui, plus tôt et bien mieux que lui, a pris la lumière. Puis à ses amis qui l’ont "trahi" . La faute aux autres, toujours. La "faute aux juifs".A cette élite imaginaire "sur laquelle il a toujours fantasmé, dit Hector Olbak, son ancien coauteur. Parce que, dans son délire, il la juge supérieure et enrage de ne pas en être". Au point de s’exclamer devant Naulleau :
Le "suprématisme juif, je l’étudie, je l’admire même [...]. Les juifs intelligents me respectent pour ça, alors que toi, ils te méprisent, comme un goy, un gentil, cet éternel dominé jobard qui ne voit jamais rien !"
Cette "admiration", c’est en exécutant une "sodomie symbolique"  (la tristement célèbre "quenelle"), devant le Mémorial de la Shoah à Berlin, qu’il l’a exprimée en décembre dernier. Récemment, lors d’une réunion publique, il en a détaillé plus précisément la signification : "Ce Mémorial n’a de toute façon été construit que pour humilier le peuple berlinois, la plus grande victime de la guerre. Et aujourd’hui, vous savez à quoi il sert, ce monument ? C’est l’endroit où les pédés se retrouvent pour s’enculer !" Rires dans l’assistance.
Avec Soral, l’ignoble va souvent de pair avec l’insulte à connotation sexuelle ou, plus précisément, homosexuelle. "Pourtant quand il est arrivé à Paris, se souvient Alexandre Pasche (le troisième larron de "la Mode expliquée aux parents"), il avait pour meilleurs amis des gays, notamment un galeriste chez qui il vivait." Au milieu des années 1990, en revanche, Soral se vantera dans "Sociologie du dragueur"  (son "analyse marxiste de la séduction") de "traquer sans relâche les femmes dans la rue".
Il jouit de ses abjectes transitions
Aujourd’hui, il semble n’avoir d’autre passion que lui-même. Chaque semaine ou presque, il s’installe sur son canapé, face caméra. Filmé par un intervieweur invisible qui lui donne du "président", il jouit de ses abjectes et incessantes transgressions : Israël qui "pour un peuple génocidé se porte bien" , Faurisson "injustement persécuté", Auschwitz où "l’on dit que 4 millions et demi d’êtres humains sont morts en moins de deux ans dans une pièce qui fait 100 mètres carrés. Le plus grand prodige de l’humanité !"...
Certaines de ces prestations, diffusées sur son site Egalité et Réconciliation, ont été regardées jusqu’à un million de fois. Son blog est l’un des plus lus de France. Son avant-dernier essai, "Comprendre l’empire", compilation des sempiternelles cibles de l’extrême-droite, caracole, depuis sa parution en 2011, en tête des livres politiques sur Amazon. 70.000 exemplaires vendus, 200 réassorts par jour depuis l’affaire Dieudonné...
"Alain ne fait jamais de bides", se félicite Franck Spengler, le patron des Editions Blanche, spécialisées dans la littérature érotique. Parmi ses auteurs, Soral, qui en est à son dixième livre, reste le plus rentable. Alors quand il a un "petit coup de déprime", l’éditeur, fils de Régine Deforges – "et donc biberonné à la liberté d’expression" regarde sur les sites de vente en ligne les scores de son poulain. 
"Avec 'Dialogues désaccordés', explique-t-il, grâce à Eric Naulleau, nous avons pu atteindre un lectorat plus 'mainstream'. Un temps, nous avions pensé à Eric Zemmour qu’Alain connaît bien. Mais le débat aurait été moins vif, ils sont quand même assez d’accord sur un certain nombre de choses... Alors on a pris l’autre Eric..."  Le débat a eu lieu par mails interposés. Rien n’a été censuré, hormis un passage sur Anne Sinclair. "Je l’avais laissé passer, précise Spengler, mais on nous a signalé un risque juridique. On a mis des croix à la place. On s’est fait un petit plaisir." L’éditeur a aussi demandé à l’aimable Naulleau d’abréger "ses trop longues digressions sur la littérature bulgare. Je lui disais : Eric, ce n’est pas ça que les gens attendent..."
Les chambres à gaz sont "un dossier qui pue la merde"
Ainsi, Soral a-t-il pu faire imprimer, par une maison qui a pignon sur rue, ce qu’il martèle ad nauseam sur son site. Les "révisionnistes sont les prisonniers politiques de l’Occident contemporain". Les chambres à gaz sont "un dossier qui pue la merde et qui ne tient que par la terreur morale et judiciaire". L’assassinat de trois enfants dans une école juive par Mohamed Merah résulte d’une "opération conjointe franco-israélienne, dans le but de diaboliser les musulmans. 
C’est la version française, petit budget, des attentats du 11 septembre !"... Comme dans une officine de la Gestapo, et sous les yeux de Naulleau, il a pu dresser ses listes : "Madame Rosenberg (le vrai nom pas du tout catholique de Madame Sinclair)" , Christine Angot, née "Schwartz" , Emmanuel Todd "petit-fils du rabbin de Bordeaux" , Salman Rushdie "tête de cafard, suceur de sioniste", Marcela Iacub "Juive argentine"...
Il a pu conspuer, balayant d’un trait de plume les protestations de son impuissant contradicteur, "cette putain fardée qu’est la raie publique parlementaire - en réalité la domination des réseaux sionistes et maçonniques". Rien de nouveau depuis "la France juive"  d’Edouard Drumont, les ligues factieuses des années 1930, l’antisémitisme de Vichy, ou même le "national-socalisme" dont il se réclame désormais ouvertement même s’il prend le soin de préciser qu’il est "à la française"... 
Rien de nouveau si ce n’est - et encore - son copinage avec les dictatures du monde arabe. L’alliance "rouge-brun-vert".
Il claque la porte du FN en 2009
En 2006, par exemple - il se garde bien d’en faire état dans son livre -, on le voit à Damas avec des dignitaires du régime syrien. Un an plus tard, il crée le club Egalité et Réconciliation pour convertir au "nationalisme politique" les Français issus de l’immigration. Entre-temps, il a rejoint le FN avant d’en claquer la porte, en 2009, pour se présenter aux européennes sur une Liste antisioniste avec Dieudonné. 
Une campagne financée par les Iraniens à hauteur de "3 millions d’euros" comme il l’a récemment affirmé sur son site ? "Où est passé ce butin de guerre ?",  lui demande aujourd’hui l’un de ses anciens colistiers, Ahmed Moualek, président de l’association La banlieue s’exprime. La Liste antisioniste (qui avait récolté seulement 1,3% des voix en Ile-de-France) n’a, en effet, officiellement déclaré que 5.796 euros de dons. "Soral est avant tout un homme d’affaires, accuse Moualek. Il va chercher l’argent là où il y en a."
Aujourd’hui, le "président Soral"  assure en avoir fini avec les joutes électorales. Le web lui offre une arène à sa mesure. Ses conférences, le contact direct avec ses fidèles. Celle qu’il a tenue, mi-janvier, dans les quartiers Nord de Marseille s’intitulait "Vers l’insoumission généralisée"  (10 euros l’entrée)... Son public est souvent jeune, plutôt masculin. 
Chômeurs mais aussi étudiants ou cadres diplômés. Il a parmi ses relais un chirurgien-dentiste, Salim Laïbi, compulsif blogueur obsédé par les "réseaux occultes", Camel Bechikh, président de Fils de France, l’"association des musulmans patriotes", mais aussi Farida Belghoul, l’une des figures de la Marche des beurs de 1983.
Le mariage pour tous ? Une machination "maçonnique, satanique, antichrétienne"
Dans sa besace, il a également de quoi satisfaire les tenants de ce qu’il appelle la "droite des valeurs" (notamment l’essayiste Marion Sigaut, membre, jusqu’à il y a encore quelques mois, du bureau national de Debout la République, le mouvement de Nicolas Dupont-Aignan). A ceux-là encore, il désigne les mêmes coupables. Le mariage pour tous ? Une machination "maçonnique, satanique, antichrétienne". Le féminisme ? Une invention du même "lobby talmudo-sioniste" pour "déviriliser le peuple" et mieux lui imposer sa loi...
S’il sait tout cela, dit-il, c’est aussi parce qu’il a été, dans sa jeunesse, "journaliste d’investigation". En réalité, il a pigé pour le magazine féminin "20 ans" où il écrivait, se souvient l’un de ses anciens confrères, des billets d’humeur sur les crottes de chien ou le dalaï-lama, avant d’émarger à "Entrevues", le journal d’Ardisson. A la rubrique "Rumeurs".
Un "bon client" à la télé, scandale et buzz garantis
L’âge venant, Soral a feint de s’étonner de ne plus être invité à la télévision. Il a pris la posture de l’éternel ostracisé. Un comble. Pendant des années, il a eu table ouverte dans la plupart des talk-shows. Etiqueté "bon client". Excitateur d’Audimat. Avec lui, c’était le scandale et le buzz garantis. "Tout le monde le faisait venir", plaide Frédéric Taddeï. Lui l’a reçu dans "Ce soir ou jamais" jusqu’en 2011. Patrick Cohen, l’animateur de la matinale d’Inter, est l’un des seuls à le lui avoir reproché. Lui, disait-il, ne laisserait jamais Soral entrer dans son studio. 
"Faute professionnelle !" s’était aussitôt écrié Daniel Schneidermann qui, du haut de sa chaire d’"Arrêt sur Images", avait fait la leçon à son confrère de la radio publique : lorsqu’on est "un journaliste payé par le contribuable", on ne peut pas "se priver d’invités intéressants parce qu’on n’est pas d’accord avec eux". Intéressant ? A l’époque, Alain Soral avait déjà été poursuivi (en 2004), puis condamné (en 2007) pour incitation à la haine raciale ! Peu à peu, il a perdu, au moins à la télé, la place qu’il n’aurait jamais fallu lui donner.

Aujourd’hui encore, il fait semblant de ne pas comprendre, essaie d’entraîner ceux qu’il pense avoir contaminés : 
Tous les néo-reacs du PAF se sont, plus ou moins, engouffrés dans les brèches que j’avais ouvertes : sur la critique du communautarisme, de la culture victimaire, du féminisme, j’ai fait le boulot avant tout le monde !"
Il assure qu’il a des "dossiers"  sur "ces animateurs, ces hommes politiques, ces célébrités du showbiz" qui se seraient laissé aller en sa compagnie. "Je raconterai tout dans un livre posthume." Ardisson, qui lui a interdit son émission depuis dix ans, rigole : "Il a inventé que le deuxième prénom de mon fils était Benito !" 

Calomnies, chantages, menaces

Calomnies, chantages, menaces. Frédéric Beigbeder n’a pas oublié comment, lors d’une soirée littéraire, en 2004, Soral l’a attrapé au collet. "J’avais dit du mal de l’un de ses ouvrages dans 'Voici'." L’écrivain Simon Liberati a dû lui aussi subir ses colères : "Nous avons été très amis. Mais je ne l’ai pas cité dans les remerciements de mon premier roman parce qu’il était déjà trop sulfureux. Il m’en a voulu."
Dans le Tout-Paris, il ne faut pas trop chercher, malgré tout, pour trouver d’autres anciens proches qui dressent, désormais sous le couvert de l’anonymat, le portrait d’un homme qui, "dans l’intimité", sait se "montrer charmant, drôle, respectueux envers les femmes". "Il y a deux Alain, dit l’une d’entre elles. Celui qui s’exhibe en public ne ressemble pas à celui que je connais." Comment y croire ? Depuis quelques jours, Soral ose poser sur son site en tenue de déporté, avec un numéro de matricule et un triangle marqué d’un F sur la poitrine. Au bas de l’écran, un compteur s’affiche avec une demande de dons pour le soutenir dans les "épreuves qui l’attendent". Alain Soral est ce qu’il a choisi d’être.

Jacqueline Taïeb....


Jacqueline Taïeb est une chanteuse française d'origine juive tunisienne, née en 1948 à Tunis.

Jacqueline Taïeb est arrivée en France à l'âge de 8 ans avec ses parents. Son premier disque sort en janvier 1967. Il s'agit d'un super 45 tours avec lequel elle obtient un assez bon succès grâce au titre 7 heures du matin.
Son deuxième disque sort en avril 1967 avec notamment le titre Qu'est-ce qu'on se marre à la fac, chanson encore appelée La Fac de Lettres.
Plusieurs disques suivent sans obtenir le succès et Jacqueline Taïeb disparaît provisoirement du paysage discographique français.
Elle réapparaît en 1978 en écrivant pour d'autres et en produisant plusieurs disques sous son propre nom, sans toutefois séduire le grand public. Elle compose à cette époque le titre Ready to follow you pour Dana Dawson, une jeune chanteuse de New York.
Il existe une compilation intitulée The Complete Masterworks of the French Mademoiselle (compilation de 15 titres sortie en 2002), et un DVD (sorti en décembre 2005) intitulé 77 minutes de bonheur qui retrace la carrière de Jacqueline Taïeb.
Jacqueline Taïeb sort en juin 2005 un album (12 titres) intitulé Jacqueline Taïeb is back.
En 2010, sa chanson 7 heures du matin est utilisée pour la publicité Si Lolita de Lolita Lempicka, dans laquelle tourne Charlotte Le Bon.
En mai 2011, Jacqueline Taïeb sort un nouveau titre qui s'intitule "Dégage song", en hommage à la Révolution du Jasmin.
En 2012, sa chanson La plus belle chanson est utilisée en Allemagne pour une commerciale télé du déodorant AXE.
En 2012, sa chanson 7 H du matin illustre la pub Bentley 2012 Modèle:Http://jacquelinetaieb.fr/page-9.html

TROUBLE 


I CAN’T HELP FALLING IN LOVE.


ONE NIGHT    


GOOD LUCK CHARM 

La grandeur de Binyamin Netanyahou....

Binyamin Netanyahou était en visite aux Etats-Unis pour la conférence annuelle de l’AIPAC. Cette visite devait être triomphale. Elle a ...