lundi 27 mai 2013

Pourquoi égorgent-ils ?


Qu’y a-t-il de commun entre Daniel Pearl, Nick Berg, les Juifs des pogroms de Hébron et les membres de la famille Fogel ?

Ils ont été tués à l’arme blanche.

Pas seulement tués à coups de couteau, mais tués par une action délibérée visant à leur couper la tête ou provoquer une hémorragie mortelle dans la carotide.
Encore un petit détail qui est commun à tous : ils ont été abattus par des musulmans.
On peut ajouter à cette liste les innombrables filles et femmes musulmanes partout dans le monde tuées d’une manière similaire, par leurs frères, pères ou autres parents parce qu’elles auraient déshonoré leurs familles.
La question qui vient à l’esprit est : d’où vient cette tendance des Musulmans à tuer leurs victimes en les égorgeant ?

La réponse est simple : l’abattage est une pratique courante et de routine dans les familles musulmanes.
Beaucoup d’enfants musulmans observent comment leurs pères égorgent un mouton pour célébrer un événement important et pour célébrer la fête de l’Aid Aladha, la fête du sacrifice, cela fait partie des commandements de la fête.

En revanche, dans les sociétés modernes, l’abattage des animaux pour la consommation de viande se fait dans les abattoirs, à l’abri du regard du public, en particulier des enfants.

Les gens recoivent une viande nettoyée, sans poils ni sang, en morceaux prêts à être cuisinés ou consommés.
Cette viande stérile protège le public de la vue de l’abbatage, du sang et des sons qui l’accompagnent.
Beaucoup d’occidentaux qui assistent à l’abattage d’un animal deviennent végétariens.

Mais dans les sociétés musulmanes, l’abattage se fait généralement à la maison, devant les petits garçons et les petites filles pour qui cela devient une routine de la vie quotidienne.

Ils en prennent l’habitude et ne sont ni impressionnés par la vue du sang qui coule de la gorge de l’animal, ni terrifiés par ses cris, ni par la vue de l’animal mort.
Très souvent ce sont les enfants qui tiennent les pieds de l’animal alors qu’il est égorgé pour le maintenir en place et ils sentent très bien l’animal se débattre dans des souffrances terribles alors qu’on plonge le couteau dans sa gorge.

La présence des enfants et leur implication dans l’abattage des animaux les rendent mentalement insensibles à cet acte et quand ils deviennent adultes, à leur tour ils pratiquent la coutume de l’abattage de leurs propres mains et en présence de leurs propres enfants.

L’immunité mentale provoquée par l’abattage permet à un musulman d’adopter cette méthode à tout moment quand il sent qu’il doit se débarrasser définitivement de quelqu’un.

L’abattage de l’agneau au cours de la fête du sacrifice est accompagné d’une récitation :

"au nom d’Allah le miséricordieux et compatissant", tuer une fille dont le comportement n’est pas conforme est aussi une sorte de rituel d’exécution.

Celui qui l’effectue estime qu’il fait un devoir important et utilise un moyen de routine auquel il est habitué dès la petite enfance.

Dans les sociétés occidentales, l’acte d’égorger un animal est perçu comme barbare alors que les sociétés musulmanes considèrent que c’est un acte adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est fait.

Ainsi le fait d’égorger des Juifs, des Chrétiens ou tout autre ennemi, n’est pas considérée par la société musulmane traditionnelle comme une manière de tuer inacceptable.

C’est ce qu’on appelle dans un langage professionnel : la "différence culturelle".
Mordechai Kedar

Adapté de l’hébreu par Danilette

Mordechaï Kedar a raison : égorger a bien une dimension « culturelle »

Le blog de Danilette vient de publier l’adaptation en français, répercutée par le site desinfos.com d’une réflexion de l’universitaire israélien, spécialiste de littérature arabe et de groupes islamistes, ancien des renseignements israéliens, Mordechai Kedar.

Il pose et répond à cette question : « pourquoi égorgent-ils ? ». Réponse qu’il convient de lire, évoquant le choc traumatique initial de tout enfant musulman, lors de l’Aïd elkebir.

Réponse que l’on peut étayer en apportant, hélas, d’autres exemples.

Une appétence démesurée pour un geste barbare : le choc initial de la fête de l’ Aïd Elkebir ou Aid Aladha

Cette question que pose Mordechaï Kedar, spécialiste de littérature arabe et de groupes islamistes, ancien du renseignement israélien, au lendemain de la mise à mort barbare d’un soldat britannique à Woolwich, est des plus pertinentes et plus d’un se la sera posée sans nul doute devant la fréquence des égorgements pratiqués par des assassins islamistes, même si d’autres, mais beaucoup moins nombreux, égorgent aussi leur victime, : « Pourquoi égorgent-ils ? ».

Et il faut remercier Danilette d’avoir adapté en français et mis en ligne la réponse et à desinfos.com (et JForum), de l’avoir reprise.

En effet, Mordechaï Kedar a on ne peut plus raison.
Il voit à l’origine de cette appétence pour ce geste barbare au choc initial formateur de – pratiquement - tout enfant musulman lors de la « fête de l’Aïd Elkebir » - grande fête en arabe – ou Aid Aladha, la fête du sacrifice. -

En référence au sacrifice auquel Abraham allait consentir en sacrifiant son fils pour Dieu.
Son fils Isaac, dans la Bible, son fils Ismaël dans le Coran, écrit plusieurs siècles plus tard...-.
Cet enfant voit son père, qu’il admire forcément et prend pour modèle, aiguiser un couteau et égorger un mouton entravé.

Animal pacifique, sans défense, être vivant dont le sang coule aussitôt abondamment.

Motif de grande réjouissance et de grand excitation festive puisque les hommes présents découpent aussitôt l’animal, le vident de ses entrailles, et les femmes cuisent les morceaux et préparent les accompagnements.

Dans une ambiance des plus festives qui durera sur plusieurs jours.

Égorger et dépecer répondant également à un commandement religieux.

Des égorgements de victimes juives, mais pas seulement, au nom de l’Islam

C’est sans doute effectivement ce traumatisme initial infligé aux enfants musulmans qui explique une fascination très présente pour l’égorgement mais aussi le sang versé.
Mordechaï Kedar cite l’égorgement de Daniel Pearl, Nick Berg, les Juifs des pogroms de Hébron et les membres de la famille Fogel.

On peut, hélas ajouter maint autre exemple d’égorgements ou de barbarie extrême, de ce goût du sang à cette liste abominable.

Il faut se souvenir de l’égorgement de Théo Van Gogh, en novembre 2004, peu après la diffusion de son film « Submission » à la télévision néerlandaise – traitant de la maltraitance des femmes au nom de l’islam – par un individu portant djellaba.

Ou, plus récemment, celui de trois jeunes gens qui auraient été assassinés avec la complicité ou la participation de l’un des terroristes présumés de l’attentat de Boston, Tamerlan Tsarnaev – dont la mère a loué Allah depuis, on le sait - , et un autre Tchétchène, Ibragim Todashev.

Personnage interrogé à Orlando dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Boston.

Alors qu’il était sur le point de signer une confession, reconnaissant les meurtres et impliquant, semble-t-il, Tsarnaev, il a attaqué un policier qui a dû l’abattre.
Les trois victimes tuées en 2011, peu après l’anniversaire des attentats du 11 Septembre, et dont le meurtre n’avait pas été élucidé, ont été poignardés à multiples reprises et eurent aussi la gorge tranchée.
Ils étaient juifs..

Des soldats israéliens assassinés, dépecés et égorgés dans la Bande de Gaza en 2004, torturés à mort dans un commissariat de Ramallah en octobre 2000
En mai 2004 six soldats israéliens ont été assassinés et dépecés dans la Bande de Gaza, alors encore sous contrôle israélien.

Des morceaux de leurs corps furent exhibés en ville.
Il est diffcile, voire impossible, de trouver aujourd’hui la vidéo de ce macabre spectacle.
La BBC rapportait l’incident précisant qu’Al Jazeera avait montré deux « militants » exhibant une tête humaine »..

L’homme avait donc été égorgé et décapité

Quant aux images où l’on voit l’assassin du soldat britannique, les mains rouges du sang de sa victime qui vient d’être dépecée, elles renvoient immanquablement à celles du Palestinien exhibant les siennes à la fenêtre du commissariat de Ramallah où deux réservistes israéliens, d’une unité bon combattante, qui s’étaient perdus avaient été livrés à la foule qui les avait torturés à mort.

Alors qu’ils étaient sous la responsabilité de la police de l’Autorité palestinienne.

La foule qui se pressait au pied du commissariat avait applaudi ce spectacle barbare.

Les images de leur corps, que l’on trouve sur d’autres sites, sont insoutenables.

Une obsession palestinienne entretenue par l’Autorité palestinienne

Ce goût du sang versé, cette obsession de voir le sang couler, de se féliciter qu’il « irrigue la terre », quand c’est le sien, de le boire, lorsque c’est celui de son ennemi, etc. on les retrouve des dizaines de fois dans ce que publie à divers titres et en interne l’Autorité palestinienne.

Palestinian Media Watch en dresse une liste qui donne la nausée...

Hélène Keller-Lind/Désinfos.com

Fogel Itamar

http://www.jforum.fr/forum/international/article/pourquoi-egorgent-ils

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