Une place dans le 14e arrondissement de la capitale pour rendre hommage au mythomane sénile et admirateur du Hamas français, Stéphane Hessel.
Lundi, à 11H15, le nom de l’anti-israélien le plus célèbre de France a été gravé sur une plaque située a l’intersection des rues d’Odessa, du Montparnasse, Delambre et du Boulevard Quinet.
La veuve du facho qui militait pour une palestine Judenrhein (purifiée de ses juifs – une palestine où les juifs n’ont pas le droit de vivre à l’image de l’Allemagne nazie), Christiane Hessel, le maire de Paris, Bertrand Delanoë et le maire du 14e arrondissement, Pascal Cherki étaient présents pour l’inauguration.
Et le choix du lieu n’est pas un hasard, puisque le type qui a fait semblant toute sa vie d’avoir rédigé la Déclaration universelle des Droits de l’Homme a vécu dans ce même arrondissement.
« Le Conseil de Paris a souhaité saluer les convictions généreuses et le destin exceptionnel de cette figure de notre histoire contemporaine, en attribuant le nom de Stéphane Hessel à une place du 14e arrondissement, à proximité immédiate du lieu où il vécut durant de nombreuses années », écrit l’Hôtel de ville dans un communiqué.
A 95 ans, Stéphane Hessel est mort dans la nuit du mardi 26 au mercredi 27 février. Ses obsèques ont eu lieu le 7 mars, au cimetière du Montparnasse, et ont été marqués par un discours de Michel Rocard et d’Edgar Morin. D’autres lieux prévus pour honorer la mémoire de l’ancien diplomate font, à l’instar de la ville de Villeneuve-sur-Lot, toujours polémique.
Lors de son oraison funêbre, le président François Hollande avait carrément traité Hessel de « menteur »:
« Il pouvait aussi, porté par une cause légitime comme celle du peuple palestinien, susciter, par ses propos, l’incompréhension de ses propres amis. J’en fus. La sincérité n’est pas toujours la vérité. Il le savait »
Cette plaque, qui fait la colère de la communauté juive parisienne, pourrait être cruciale dans les prochaines élections municipales…
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