Dans l'histoire des Jeux, certains sportifs se sont illustrés dans la défaite... et parfois le ridicule.
En 2000, aux JO de Sydney, Éric Moussambani, nageur de Guinée équatoriale, termine un 100 mètres nage libre en 1 min 52 s, soit deux fois plus que ses concurrents. Le sportif avait appris à nager huit mois auparavant et s'était fait prêter un maillot de bain juste avant l'épreuve. Grand moment de télévision.
En 2002, à Salt Lake City, Steven Bradbury obtient l'or en short track (patinage de vitesse). En demi-finale, il se qualifie grâce à une chute de ses concurrents. L'Australien réitère "l'exploit" en finale. Opportuniste, il contourne un carambolage de patineurs à quelques secondes de la fin et s'impose, les bras levés vers le ciel. Son nom entre dans le langage courant : "Faire une bradbury !"
En 2002, aux Jeux olympiques d'hiver, Ighina Boccalandro chute sévèrement dans une épreuve de descente de luge. Surnommée "la loutre" par l'animateur Arthur, l'athlète de nationalité vénézuélienne atterrit sur la rambarde de la piste. La vidéo de sa mésaventure est tout bonnement hilarante.
En 2010, aux Jeux olympiques de Vancouver, Marion Rolland est annoncée comme l'une des favorites du ski alpin. Lors de la finale féminine de descente, elle commet immédiatement une faute de carre et chute quelques mètres après s'être lancée. Les commentaires sportifs enfoncent le clou en listant toutes les qualités de la sportive, quelques secondes avant qu'elle ne parte. Tristement célèbre...
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