Dans un enregistrement sonore circulant sur internet, depuis dimanche 10 juin 2012, le successeur d’Oussama Ben Laden, compare le parti islamiste Ennahdha à un « hôpital qui refuserait de soigner les malades », suite à la promesse faite par le parti au pouvoir de ne pas imposer la Chariâa comme source de législation.
Selon ses dires, Ennahdha « qui prétend être un parti islamiste modéré et éclairé », n’est pas fidèle « à la loi coranique et à la Sunna » et représente « une preuve de la déchéance de la pensée musulmane ».
Il regrette également que cet Islam [NDLR : revendiqué par Ennahdha] « prétendument modéré et éclairé » ne prenne même pas en considération « les principes et préceptes de la Chariâa comme source de législation ».
Et de conclure en appelant les Tunisiens à « une révolte populaire pour défendre l’Islam et les préceptes du Coran et de la Sunna », les incitant à « refuser toute substitution à la Chariâa […] qui est en train d’être brulée vive, tel que cela a été le cas en Turquie ».
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