Très peu de gens dans le monde – dirigeants d’Etat compris – ne se posent la question de savoir pourquoi le Fatah a été créé par Yasser Arafat en 1959, l’OLP en 1964 et que leurs action terroristes ont débuté en 1965, soit avant la Guerre des Six Jours, alors que les fameux « territoires » ainsi que la partie orientale de Jérusalem étaient aux mains des Jordaniens.
Ne pas se poser la question est aussi une manière de refuser de se confronter à la réponse qui ne cadre pas avec l’histoire que l’on veut raconter: le but du mouvement national ‘palestinien’ n’est pas de « libérer » le Mont du Temple ou les collines de Judée et de Samarie, mais de faire disparaître l’Etat juif.
Pour cela, le moyen utilisé pour y arriver a toujours été le terrorisme et l’incitation au terrorisme. Pour célébrer le lancement des opérations terroristes du Fatah, le 1er janvier 1965, quoi de mieux pour l’organisation dirigée par Mahmoud-Abbas-le-modéré que de diffuser des affiches glorifiant toute une série de femmes terroristes qui ont assassiné des Juifs. C’est le critère du mérite et de la gloire à l’échelle du palestinomètre.
C’est ainsi qu’ont été mises à l’honneur Dalal Al-Mughrabi (35 morts dont 12 enfants et 71 blessés), Wafa Idriss (un mort et plus de 140 blessés), Shadiya Abu Ghazaleh (tuée par la bombe qu’elle préparait à Tel-Aviv), Andalib Khalil Fatfateh (6 morts et plus de 80 blessés), Iyat Al-Ah’ras (2 morts et 28 blessés) ou encore Zinab Abu Salaam (2 morts et 30 blessés).
La seule icône vivante qui a eu droit à une affiche est Ahed Tamimi, la nouvelle coqueluche de la propagande arabe palestinienne.
Au Fatah on sait comment glorifier la femme…

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