mardi 12 septembre 2017

Pourquoi les pieux Bouddhistes de Birmanie ne veulent pas de l’islam ?


NB : Le moine Ashin Wirathu interrogé dans cette vidéo n’est pas une réincarnation de l’abbé Pagès, d’une part parce que la réincarnation n’existe pas, et d’autre part parce que l’abbé Pagès, qui n’est pas mort, n’aurait jamais accepté d’abandonner la foi catholique à laquelle il tient plus qu’à sa propre vie. 
Cependant, tous deux ont en commun d’aimer leurs concitoyens et d’oser dénoncer cette machination démoniaque capable de transformer de braves gens qu’elle soumet en ennemis du genre humain pour les vouer à l’Enfer…
Les Rohingyas, comme ailleurs les autres musulmans, sont des migrants envahisseurs en Birmanie. C’est une petite ethnie Bengalie que les Anglais ont refoulée vers la Birmanie au XIXe siècle et qu’ils avaient classée parmi les « tribus criminelles » (criminal tribes), c’est-à-dire parmi les “minorités dangereuses, parasitaires et prédatrices”.

Comme tous les autres musulmans, ils vivent en communauté, refusant d’intégrer la culture, les traditions et le mode de vie birman ; tout en revendiquant les avantages de la citoyenneté birmane. Les problèmes remontent à une trentaine d’années, dans le sud de la Birmanie où il y a une grande concentration de Rohingyas.

Lors du mois de Ramadan, les Rohingyas avaient saccagé les restaurants, et interdit l’élevage de porcs. Ils voulaient imposer la charia et le mode vie musulman dans un pays où la majorité des gens est bouddhiste. Les moines bouddhistes birmans ne veulent pas se laisser faire ; ils se sont organisés pour combattre les musulmans envahisseurs.

Ce n’est pas facile d’être à la place des autorités birmanes, d’où le silence de Aung San Suu Kyi.
La solution est que les Rohingyas retournent vivre chez eux au Bangladesh au lieu d’organiser la rébellion contre l’armée Myanmar Birman. 

Évidemment les musulmans du monde crient au génocide, une pratique qu’eux-mêmes n’hésitent pas à infliger aux mécréants, comme le leur demande Allah (Coran 5.3 ;  9.5 …).

Le gouvernement birman a entrepris donc d’expulser les migrants clandestins musulmans établis dans la région de Rakhine. Cette décision fait suite aux attaques islamistes perpétrées contre 24 postes de police birmans par des djihadistes de l’ethnie invasive dite des « Rohingyas ». 
Pour garantir la sécurité de la Birmanie et en finir avec le terrorisme islamique, l’armée birmane a donc entrepris d’expulser les clandestins musulmans s’étant établis dans la région de Rakhine et qui forment le noyau dur à l’origine des actions islamistes armées. En moins de deux semaines, 120 000 clandestins ont été renvoyés vers le Bangladesh dont ils ont originaires.

Une campagne antiterroriste qui a suscité la rage des Etats musulmans, des organisations islamistes internationales mais aussi de la presse pro-musulmane occidentale, française en tête. Cette dernière s’en prend violemment à l’actuelle chef du gouvernement birman, le Prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi, dans un article aux accents de réquisitoire.

Ces cris d’orfraie de la part d’une presse de gauche occidentale acquise à la cause de l’islam sont cependant isolés. La Chine et l’Inde ont ainsi apporté leur soutien à la Birmanie.

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