Un ami français, sur Twitter, me signalait le dernier article de Nissim Behar du journal Liberation.
J’ai fait quelques recherches, par pure curiosité, et me suis rendu compte que depuis juillet 2014, un certain Nissim Behar, qui prétend être correspondant à Tel Aviv, signe régulièrement des articles violemment anti-israéliens. Personne ne le connait, personne ne l’a jamais vu, excepté le journal pour lequel il travaille : Libération.
Est il juif, arabe, chrétien, athée ? Membre d’une ONG extrémiste anti-israélienne comme B’tselem ou Shovrim Shtika, ce qui expliquerait sa haine ?
Qui le paye ? Le quai d’Orsay, l’OLP, la gazette de Gaza ?
Ce Nissim Behar de Libération, je l’appelle le corbeau car il est inconnu à Tel Aviv. Et il aime beaucoup, mais vraiment beaucoup salir Israël.
En fait, le vrai Nissim Behar (1848–1931) était un éducateur juif séfarade, né à Jerusalem, et très actif pour l’alliance israélite universelle.
Usurpation d’identité, vol d’identité, le corbeau Nissim Behar prend-il délibérément l’identité d’une autre personne dans le but de réaliser des fraudes morales en se faisant passer pour juif ?
Son dernier article, en date du 7 avril 2016, titre : « La ségrégation, pratique courante dans les hôpitaux israéliens. » Le minable journaliste utilise le style narratif pour relater sa vision des faits, et oublie les principaux éléments.
Son article se base sur une une soi-disant enquête de la radio publique Kol Israël (un peu comme RFI) qui révèle que la plupart des grands hôpitaux du pays pratiqueraient la séparation entre les patients juifs et arabes, musulmans ou chrétiens. En fait, il veut nous dire qu’Israël pratique l’Apartheid mais il n’ose pas le dire ouvertement. Minable je disais. Il se régale le corbeau Nissim Behar. Il va faire jouir les Mohamed Merah et Fofana de France avides de prétextes anti-juifs. Il le sait Nissim Behar. Il ne se prive pas de provoquer à la haine.
Sauf que tous les hôpitaux cités dans le reportage de la radio israélienne ont nié procéder à la séparation entre juifs et arabes dans les maternités, même si certains hôpitaux ont admis que si un patient le demande (un arabe qui ne voudrait pas être parmi les juifs par exemple), ils pouvaient l’accomoder. Le ministère de la Santé a également nié l’existence d’une politique de ségrégation, en disant qu’il n’y a « pas de séparation sur une base discriminatoire qui soit autorisée dans les hôpitaux ».
Le corbeau Nissim Behar est donc un gros menteur qui n’a pas enquêté, trop fainéant pour faire son travail de journaliste, trop content d’épingler des juifs en train de faire quelque chose de mal.
Juin 2015. Dans un autre article mensonger, le corbeau Nissim Behar titre : « En Israël, le gouvernement ne finance pas les artistes qui ne lui plaisent pas ». Sa paresse intellectuelle sert bien ses idées nauséabondes. Le talent des grands journalistes est de savoir raconter une histoire en évitant de faire passer leurs propres idées. Pour le corbeau Nissim Behar, c’est tout l’inverse : l’histoire ne sert qu’à faire passer sa haine de la belle démocratie israélienne.
Avec une moyenne de 10 articles par mois sur Israël, le corbeau Nissim Behar qui pretend habiter Tel Aviv n’a jamais dénoncé les attaques terroristes palestiniennes quasi quotidiennes depuis septembre 2015.
Comment oublier l’affaire Tuvia Grossman, une affaire médiatique de manipulation d’image dans le contexte du conflit israélo-palestinien.
La photo diffusée est présentée dans un premier temps comme la photo d’un musulman palestinien agressé par un policier israélien. En fait, c’était celle d’un étudiant juif américain, battu par des manifestants arabes.
En avril 2002, le tribunal de Grande instance de Paris condamnait le quotidien Libération à payer 4 500 euros de dommages à la famille Grossman pour l’usage fait de son image.
Les journalistes francais qui opèrent en Israël et dans les territoires disputés sont connus de la police israélienne pour leurs incitations à la violence.
- Leïla Shahshahani, une journaliste grenobloise anti-israélienne mandatée par sa rédaction pour effectuer un reportage à charge contre Israël en Judée Samarie, a été arrêtée le 20 mars 2016 par la police israélienne et expulsée d’Israël.
- Houda Ibrahim, journaliste française de Radio France International (RFI), refoulée d’Israël en juillet 2005 après avoir tenté d’entrer en Judée par la frontière jordanienne. Cette journaliste avait déjà été expulsée en 2001 par Israël. Mandatée par RFI et le consulat de France, l’activiste radicale était chargée d’assurer la formation des jeunes journalistes à diffuser la propagande arabe palestinienne en la faisant passer pour de l’information.
- Le 2 novembre 2015, un autre article ignoble du corbeau titrait « En Israël, des soldats ont la gâchette facile ». Le titre, abject, parle de lui même : les juifs sont fautifs de répondre aux attaques terroristes. Corbeau Nissim va même jusqu’à écrire que « cinq soldats sont accusés de torture ». Il mentait. Tout simplement. Car il reprenait les articles mensongers du quotidien d’extrême gauche post-sioniste Haaretz (dont l’un des principaux actionnaires est le groupe de presse allemand Dumont-Schauberg, qui a acquis 25% des parts en 2006, et dont le père de l’actuel dirigeant était membre du parti nazi et a fait sa fortune en spoliant les juifs en 39-45).
Le 3 novembre 2015, le corbeau Nissim Behar remet une couche de haine. « L’intifada des couteaux continue, les lynchages aussi. » Ici, les terroristes sont présentés comme les victimes, les méchants sont les Israéliens, qui se défendent de la barbarie terroriste. Le corbeau Behar aime bien inverser les rôles.
Nissim Behar, frère jumeau de Nicolas Ropert ?
Les journalistes français ont des règles : passer sous silence les exactions des arabes palestiniens : les livres scolaires antijuif ? Connait pas. Les médias alimentant l’assassinat de juifs ? Connait pas. Assassinats de mères de familles juives devant leurs enfants, lynchages, actes de terrorisme commis par des adolescents ? Connait pas, connait pas et connait pas, disent en cœur les Nissim Ropert et consœurs.
Libération (il n’est pas le seul), bouffi d’islamophilie, flétri d’anti israélisme, a depuis longtemps troqué l’éthique contre le sensationnalisme, qu’importe les conséquences, le but est atteint : désinformer le lecteur.
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Le secteur média est sous perfusion publique – ou, pour reprendre les mots de la Cour des comptes, sous « dépendance » des aides massives de l’Etat. Le contribuable sera certainement heureux d’apprendre que Libération, par exemple reçoit plus de 10 millions d’euros par an pour quelques dizaines de milliers de lecteurs. Par comparaison, Dreuz tourne à 1.2 million de lecteurs chaque mois en période creuse.
Cette dépendance pourrait bien être à une des sources du mal : en assurant aux titres une source de revenus stables à condition d’obéie à la pensée unique. Et n’oublions pas le pouvoir pernicieux des syndicats communistes, dont le puissant syndicat du livre exerce un chantage sur ce qui s’écrit, et sur les rédactions.
La France est le comptoir de ces pratiques occultes préservées par la bienveillance des dirigeants et l’argent des contribuables.
Jean-Patrick Grumberg a bien raison « les militants porteurs d’une carte de presse qui travaillent à Libération ont une profonde haine pour les valeurs que défendent les Israéliens : leur identité, leur nation, leur religion, leur tradition, leur culture, leur entraide, la réussite exceptionnelle de l’intégration des minorités, leur réussite économique, leur absence de chômage, la coexistence de la loi juive et de la loi démocratique, et le fait qu’ils s’obstinent à voter pour le Likoud, un parti de centre droit (que de rage ils dépeignent comme d’extrême droite). »
Libération se laisse aller à publier des hoax bourrés d’erreurs factuelles, des articles fleuves mensongers, donnant aux antijuifs leur pitance.
Comme le corbeau de Clouzot qui semait la haine et la délation, Nissim Behar ment, manipule et trompe ses lecteurs.
“Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps. Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps. Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps. » disait Abraham Lincoln.
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