« Les manifestants du 11 janvier ont enterré l’esprit soixante-huitard dont Charlie était l’un des derniers fleurons. (…) Face à un ennemi redoutable, la fête est finie, la Nation redevient une patrie aimée.
Mais, tandis que le peuple descendait dans la rue de manière extraordinaire, les habitants des quartiers restaient chez eux. » Alain Finkielkraut.
L’écrivain et philosophe Alain Finkielkraut était l’invité d’Olivier Galzi mercredi soir. Il a livré son analyse sur l’année 2015.
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