vendredi 14 août 2015

Tel-Aviv sur Seine : Hidalgo crache sur la démocratie israélienne.......


Tel-Aviv sur Seine : Hidalgo crache sur la démocratie israélienne, le silence honteux du CRIF...


Sous couvert d’une mise à l’honneur de Tel-Aviv, la « ville qui ne dort jamais », la Mairie de Paris s’est livrée à une attaque d’une rare violence contre la démocratie israélienne, sans que le moindre responsable communautaire juif n’ose dénoncer avec force cette infâme vomissure anti-israélienne saluée par les pires détracteurs de l’événement.
Anne Hidalgo, la Maire de Paris, à l’unisson avec son Premier adjoint, Bruno Julliard, a appelé les Parisiens à ne pas faire d’amalgame entre la ville « progressiste » de Tel-Aviv et la « politique brutale » des gouvernements Netanyahu.
Ainsi donc, pour la Maire de Paris, le droit d’Israël à se défendre du terrorisme palestinien antijuif, le droit de protéger ses citoyens des attaques terroristes quotidiennes du Hamas et de l’Autorité palestinienne ne sont rien d’autres qu’une vile politique brutale.
Au déni du droit d’Israël à se défendre, la Maire de Paris ajoute la critique du choix souverain du peuple israélien de reconduire par trois fois Benjamin Netanyahu au poste de Premier ministre.
Critiquer la politique sécuritaire menée par le Premier ministre israélien revient à critiquer le choix souverain du peuple israélien, celui d’une démocratie exemplaire malgré un état de guerre permanent depuis l’Indépendance de l’Etat d’Israël.
Une critique honteuse et inacceptable, d’autant plus que la Maire de Paris ne condamne en aucun cas les incitations à la haine et au terrorisme diffusées par le président de l’Autorité palestinienne, le négationniste Mahmoud Abbas, qui, depuis dix ans, tel un dictateur, n’a jamais remis en jeu son pouvoir au suffrage de son propre peuple.
Quand le Hamas a remporté en 2006 les élections, les mêmes qui critiquent aujourd’hui le choix des Israéliens, appelaient à respecter le choix démocratique des Palestiniens. Visiblement, un tel raisonnement ne vaut pas quand il s’agit d’Israël.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), qui n’a pas hésité début août à crier avec les loups, sans avoir retenu les leçons de l’affaire Al-Dura, en fustigeant sans la moindre preuve un présumé extrémisme juif, auteur tout trouvé de l’incendie criminel d’une maison palestinienne, reste à ce jour étrangement silencieux sur cette insulte portée par la Maire de Paris au peuple israélien.
Plus que jamais, c’était le moment de défendre la démocratie israélienne, la démocratie tout court. Mais le CRIF ne l’a pas fait. Le CRIF s’est pathétiquement tu. C’est une faute morale. Une faute tout court.

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