samedi 1 février 2014

Les petits secrets du président fondateur de Brioche dorée.....


Et maintenant, cap sur l’Asie ! Louis Le Duff vient d’annoncer l’ouverture dans les dix ans de 105 restaurants Brioche dorée au Japon, en partenariat avec le géant nippon Suntory (propriétaire d’Orangina). En ajoutant la Chine et la Corée du Sud, le champion breton du fast-food vise à terme 1 000 établissements en Asie.

Ce fils de maraîchers du Finistère est en train de prouver ce qu’il avait théorisé en 2004 dans son doctorat d’économie : l’incroyable effet de levier de la franchise. 

Grâce à Brioche dorée, aux pizzerias Del Arte, mais aussi, aux Etats-Unis, à La Madeleine et aux ­bagels Bruegger’s, il double son chiffre d’affaires (1,5 milliard d’euros aujourd’hui) tous les cinq ans. 

«Si les Japonais sont venus nous chercher, c’est qu’ils ne peuvent pas faire mieux que nous», commente ce patron hors norme et méconnu de 67 ans.Son profil de faux autodidacte. 

Avec son impayable accent finistérien, Louis Le Duff aime rappeler qu’il a appris le commerce à la dure. A savoir sur le marché de Plouescat, en vendant les artichauts de son père. Adolescent, pour l’assister, il a dû déserter l’école pendant deux ans. 

Pour un peu, on le prendrait pour un autodidacte. Or c’est tout le contraire : après son bac passé à 21 ans, il a enchaîné avec l’école de commerce d’Angers, l’Essca, puis un MBA au Québec.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

La grandeur de Binyamin Netanyahou....

Binyamin Netanyahou était en visite aux Etats-Unis pour la conférence annuelle de l’AIPAC. Cette visite devait être triomphale. Elle a ...