mardi 22 juin 2010
La France quitte piteusement la Coupe du monde sur une nouvelle défaite face à l'Afrique du Sud
Un grand n'importe quoi FRANCE - AFRIQUE DU SUD : 1-2
Coupe du monde 2010 - Avec le bonnet d'âne
La France quitte piteusement la Coupe du monde sur une nouvelle défaite face à l'Afrique du Sud
Battue, voire surclassée par l'Afrique du Sud (1-2), l'équipe de France quitte la Coupe du monde avec la dernière place de son groupe, comme en 2002. Les Bleus n'ont pas eu la réaction d'orgueil attendue. Cette défaite vient clore une campagne pathétique, dans le comportement comme dans le jeu.
FRANCE - AFRIQUE DU SUD : 1-2
Buts : Malouda (70e) pour la France - Khumalo (20e), Mphela (37e) pour l'Afrique du Sud
Le cauchemar est terminé, le fiasco est total. Pour son ultime occasion de sauver l'honneur et la dignité de la nation, l'équipe de France a une nouvelle fois failli. Les Bleus se sont logiquement inclinés devant une équipe sud-africaine (1-2), peut-être moins fringante sur le papier mais tellement plus au point collectivement. Raymond Domenech avait pourtant révolutionné son onze de départ en alignant une attaque Gignac-Cissé, en titularisant Clichy, Gourcuff et Squillaci aux dépens d'Evra, Malouda et Abidal et en confiant le brassard à Alou Diarra. Mais dans le jeu, pas de révolution. Khumalo (20e) et Mphela (37e) se sont chargés de mettre un terme au rêve bleu, déjà compromis par l'expulsion de Gourcuff (26e). La réduction du score de Malouda (70e), entré à la pause à la place de Gignac pour inscrire le seul but français de ce Mondial, restera anecdotique.
Une nouvelle fois, la faillite collective tricolore a été totale. Les Bafana Bafana n'ont pas eu à forcer leur talent pour faire voler en éclat une défense déjà aux abois face au Mexique (2-0). L'absence d'Abidal, impliqué sur les deux buts mexicains, n'a pas changé la donne. Comme souvent, les Bleus ont craqué sur un coup de pied arrêté, un corner tiré par Tshabalala. Une sortie manquée par Lloris, Diaby qui ne saute pas au marquage de Khumalo et le défenseur sud-africain n'a eu aucune difficulté pour ouvrir la marque au deuxième poteau (1-0, 20e). Un gros quart d'heure plus tard, c'est le côté droit qui a pris l'eau sur un centre de l'intenable Tshabalala renvoyé par Diaby dans les pieds de Masilela. Au deuxième poteau, Mphela n'a été que trop peu gêné par Diarra pour pousser le ballon dans les filets français (2-0, 37e) sur le centre du défenseur du Maccabi Haïfa. Entre temps, Gourcuff avait été - sévèrement - expulsé pour un coup de coude involontaire dans un duel aérien (26e). A dix, avec deux buts de retard, les Bleus étaient déjà promis à l'enfer à la pause.
Ça n'a pas été plus glorieux en attaque. A l'image d'un Gignac sans conviction sur la première occasion du match (3e), les Bleus ont affiché leur incapacité traditionnelle à produire du jeu et à se créer des occasions. Hormis un coup franc vicieux de Ribéry (40e), on n'a rien vu de la première période. Les entrées de Malouda et de Henry (55e), pour sa 123e et probablement dernière sélection, n'ont apporté qu'un mieux trop léger, récompensé par un but flatteur de l'ailier de Chelsea servi par Ribéry seul face au but vide (2-1, 70e). Car les Bafana-Bafana, portés par le rêve d'une victoire écrasante synonyme de qualification, étaient bien les plus dangereux sur le terrain, à l'image de l'intenable Mphela. L'ancien Strasbourgeois a mis Lloris à contribution (43e, 58e) et surtout trouvé le poteau sur un service de Tshabalala (58e) en profitant d'un alignement des plus aléatoires de la défense française. Ces Bleus, sans rigueur en défense, sans combativité au milieu, sans génie en attaque, ne méritaient pas mieux. Et encore, on ne parle que du terrain...
Eurosport
Commentaire :
Voici ce qu'a dit Govou reconnaissait à la veille du match contre le Mexique : l’existence de clans ethniques au sein de l’équipe de France. Interrogé sur l’existence de tels groupes, le milieu de terrain avait répondu : “Dans la vie de tous les jours, on cherche des affinités, alors en équipe de France aussi. Et quand on cherche des affinités, la couleur c’est la première chose qui vient à l’esprit”.
Yoann Gourcuff, écarté. Le jeune Breton qui évolue à Bordeaux a été la première victime de cet esprit clanique au sein de l’équipe de France. écarté lors du dernier match au profit de Malouda, il serait jugé “trop poli”, trop bien élevé voire trop “beau gosse” ou “gendre idéal” s’exprimant trop calmement… attisant d’autant la jalousie de certains de ses co-équipiers comme Franck Ribéry ou Nicolas Anelka notamment.
Et après ils diront que les français sont racistes, alors qu'ils sont les premiers à faire du racisme anti-blanc, tout comme les racaillos de banlieue et cités. Et pourtant eux n'ont pas l'excuse de ne pas avoir de boulot ou de ne pas gagner d'argent, ils en ont beaucoup trop, c'est peut-être aussi le même résultat avec les extrêmes ??
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