lundi 3 octobre 2011

La siha guivat shaul..LE JOUR DU GRAND PARDON...





« Car en ce jour [de Kippour], Il fera expiation pour vous purifier de toutes vos fautes, afin que vous soyez purifiés devant D.ieu » – Lévitique 16,30

À Yom Kippour, D.ieu dans Sa clémence efface tous les péchés que nous avons commis « devant D.ieu » –
mais pas les péchés que nous pouvons avoir commis envers notre prochain. Si nous voulons vraiment sortir de
ce saint jour totalement lavés de tout péché, nous devons d’abord solliciter le pardon de toute personne à qui
nous avons pu causer du tord. Ceci s’applique que le tort commis ait été physique, émotionnel ou financier
(auquel cas, la demande de pardon s’ajoute à la réparation du préjudice financier).
Tout comme la personne ayant commis l’offense est enjointe de rechercher sincèrement le pardon, de même, il est attendu de la victime qu’elle pardonne de bon coeur – à condition qu’elle soit sûre que la demande de
pardon est réellement sincère.

Quelques détails :
· Il convient de spécifier les faits pour lesquels on demande pardon, sauf dans le cas où cela causerait une gêne supplémentaire à la victime.
· Si la personne offensée refuse d’accorder son pardon, la personne ayant commis l’offense devra venir la voir à cet effet à plusieurs reprises, en étant accompagnée à chaque fois de quelques amis (pour que ceux-ci tentent de convaincre la victime de la sincérité de l’offenseur.)
· Si la personne à qui vous avez causé du tort est décédée et que sa sépulture est à proximité, emmenez un minyan (un quorum de dix hommes bar-mitsva) sur place et implorez son pardon. Si sa tombe n’est pas proche, vous pouvez demander à quelqu’un de cette ville de rassembler un minyan et d’y demander
son pardon en votre nom.

Seoudat mafseket et Seoudot

Le jour qui précède Yom Kippour est un
yom tov, un jour festif. Car, bien que
nous nous tenions prêts à comparaître
devant le tribunal céleste pour nos
actions de l’année écoulée, nous
sommes confiants dans le fait que D.ieu
est un juge miséricordieux, et qu’Il
décrètera pour nous une année de vie, de
bonne santé et de prospérité.
C’est une mitsva de manger et de boire
en abondance, plus que d’habitude, en
ce jour. Le Talmud affirme que « Tout
celui qui mange et boit le 9 [Tichri], est
considéré comme s’il avait jeûné le 9 et
le 10. »

La journée de Yom Kippour
comporte cinq prières :
1. Maariv, avec le solennel Kol
Nidrei, le soir de Yom Kippour ;
2. Cha'harit, la prière du matin ;
3. Moussaf, qui inclut un récit
détaillé du service de Yom
Kippour dans le temple ;
4. Min'ha, qui inclut le récit de
Jonas ;
5. Néïla, la prière de la « fermeture
des portes », au moment du
coucher du soleil.

Les Kaparot

Il est de coutume d’accomplir le rite des Kapparot (« expiation »
symbolique) en préparation à Yom Kippour.
Ce rite s’accomplit en faisant tourner un poulet trois fois au-dessus
de sa tête en récitant le texte approprié. La volaille est ensuite
abattue selon la procédure halakhique de l’abattage rituel et sa
valeur monétaire est donné aux pauvres, ou, et c’est la pratique la
plus répandue aujourd’hui, le poulet lui-même est donné à une
cause charitable.
Nous demandons à D.ieu que, dans le cas où nous étions destinés à
être l’objet de cruels décrets, puissent ceux-ci être transférés sur ce
poulet par le mérite de la mitsva de charité.

LE JOUR DU GRAND PARDON
« Car en ce jour [de Kippour], Il fera expiation pour vous purifier de toutes vos fautes, afin que
vous soyez purifiés devant D.ieu » – Lévitique 16,30
À Yom Kippour, D.ieu dans Sa clémence efface tous les péchés que nous avons commis « devant D.ieu » –
mais pas les péchés que nous pouvons avoir commis envers notre prochain. Si nous voulons vraiment sortir de
ce saint jour totalement lavés de tout péché, nous devons d’abord solliciter le pardon de toute personne à qui
nous avons pu causer du tord. Ceci s’applique que le tort commis ait été physique, émotionnel ou financier
(auquel cas, la demande de pardon s’ajoute à la réparation du préjudice financier).
Tout comme la personne ayant commis l’offense est enjointe de rechercher sincèrement le pardon, de même, il
est attendu de la victime qu’elle pardonne de bon coeur – à condition qu’elle soit sûre que la demande de
pardon est réellement sincère.
Quelques détails :
· Il convient de spécifier les faits pour lesquels on demande pardon, sauf dans le cas où cela causerait
une gêne supplémentaire à la victime.
· Si la personne offensée refuse d’accorder son pardon, la personne ayant commis l’offense devra venir
la voir à cet effet à plusieurs reprises, en étant accompagnée à chaque fois de quelques amis (pour que
ceux-ci tentent de convaincre la victime de la sincérité de l’offenseur.)
· Si la personne à qui vous avez causé du tort est décédée et que sa sépulture est à proximité, emmenez
un minyan (un quorum de dix hommes bar-mitsva) sur place et implorez son pardon. Si sa tombe n’est
pas proche, vous pouvez demander à quelqu’un de cette ville de rassembler un minyan et d’y demander
son pardon en votre nom.

Le Mikve
Tous les hommes doivent s’immerger dans un mikvé (bain rituel)
le jour précédant Yom Kippour. Dans certaines communautés, les
femmes se trempent également au mikvé en ce jour.
Il y a deux raisons à cette coutume :
1. Afin d’être rituellement pur en préparation au jour le plus
saint de l’année.
2. L’immersion symbolise la conversion. Tout comme le
converti s’immerge dans un mikvé et devient ainsi une
« nouvelle personne », de même, notre intention est de
faire téchouva (repentir) et de devenir de nouvelles
personnes.
Dans de nombreuses communautés ‘hassidiques, les hommes ont
la coutume de se tremper au mikvé trois fois en ce jour : une fois
avant la prière du matin, une fois avant la prière de l’après-midi
puis de nouveau avant le dernier repas, immédiatement avant Yom
Kippour.

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