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vendredi 31 mai 2013

Leonardo sanctionné : le PSG "solidaire" de son directeur sportif..


Le PSG a fait appel jeudi soir de la suspension de neuf mois ferme infligée à son directeur sportif, jugeant "infondée et extrêmement sévère" cette décision.

Leonardo, entendu jeudi 30 mai par la commission, était suspendu à titre conservatoire depuis le 7 mai pour un coup d'épaule à Alexandre Castro, arbitre du match PSG-Valenciennes de la 35e journée de Ligue 1 (1-1)  

Dans la soirée, l'instance présidée par l'ancien arbitre Pascal Garibian lui a infligé une suspension de neuf mois ferme de banc de touche, de vestiaires d'arbitres et de toutes fonctions officielles. En outre, le PSG a été sanctionné d'un retrait de 3 points avec sursis. 
Le PSG, totalement solidaire de son directeur sportif, a décidé de faire appel de cette décisionCommuniqué du PSG jeudi soir
Deux heures à peine après cette décision, le club parisien annonçait dans un communiqué son choix de faire appel devant la commission supérieure d'appel de la Fédération française, qui pourra confirmer, alléger ou alourdir la sanction. "Compte tenu des éléments matériels présentés aux membres de la commission de discipline, (la direction du PSG) considère cette décision infondée et extrêmement sévère

En conséquence, le Paris SG, totalement solidaire de son directeur sportif, a décidé de faire appel de cette décision", selon ce communiqué. 

Il faut dire que la sanction infligée à "Leo", qui encourait jusqu'à un an de suspension, est un véritable problème pour le club parisien. Ce dernier envisageait en effet d'installer le Brésilien comme entraîneur, Carlo Ancelotti, le technicien en poste, ayant fait savoir qu'il souhaitait s'en aller

L'avenir de Leonardo compromis

Désormais, il semble pour le moins compliqué de confier la direction de l'équipe à quelqu'un qui n'aurait pas le droit de s'asseoir sur le banc de touche avant le 8 février prochain dans les compétitions françaises. Le fameux coup d'épaule de Leonardo à Alexandre Castro fut l'une des dernières péripéties disciplinaires du PSG, qui a terminé dans une grande nervosité sa saison de champion de France, avec plusieurs cartons rouges. 

Lors de ce match contre Valenciennes, l'arbitre avait exclu le défenseur parisien Thiago Silva, qui l'avait touché au buste. 
Après le match, au retour vers les vestiaires, des caméras de Canal+ ont filmé Leonardo visiblement en train de donner un coup d'épaule à M. Castro. S'ensuit un petit moment de confusion, puis le Brésilien, barré par des officiels et furieux, lance au directeur de jeu qui s'enfonce dans le couloir: "Vous devez vous préparer mieux!"

Leonardo bouscule l'arbitre Alexandre Castro à la fin de PSG - Valenciennes (1-1), le 5 mai 2013

Pour expliquer ce geste, Leonardo avait dit avoir été lui-même poussé en direction de M. Castro. "Pour moi, il est clair qu'il ne s'est rien passé, avait-il déclaré au Parisien

Je voulais parler à l'arbitre et je l'attendais. Il y avait beaucoup de monde qui rentrait aux vestiaires. Et au moment où M. Castro arrive, il y a un délégué qui est devant moi au début et qui en cherchant à me bloquer, me pousse. Après, avec mon dos, je rentre en contact avec l'arbitre. C'est dur à voir sur les images en direct mais au ralenti on le voit. La vérité c'est ça", s'est-il défendu.

La commission a retenu jeudi "l'intentionnalité"

Pourtant, la commission a retenu jeudi "l'intentionnalité", comme l'a expliqué à la presse son président Pascal Garibian. Il est également revenu sur les images enregistrées par les caméras du circuit interne du Parc des Princes et que Leonardo a présenté pour sa défense. 

"La décision de ce soir vous donne, je pense, une idée de ces images qui n'ont pas apporté d'éléments nouveaux à la commission", a-t-il dit.  

Alain Sars, ancien arbitre international et consultant foot pour RTL, a estimé au micro de RTL que la suspension de Leonardo peut avoir valeur d'exemple dans le football amateur .

http://www.rtl.fr/actualites/sport/football/article/leonardo-sanctionne-le-psg-solidaire-de-son-directeur-sportif-7761873749

Qualité Allemande ! Deutsche Qualität..


 A quand la riposte de PEUGEOT et de RENAULT ?

Hassen Chalghoumi invité du CRIF Rhône-Alpes...

« Islam de France, relations juifs et musulmans de France et regards sur Israël », jeudi 23 mai 2013

À l’initiative du CRIF Rhône-Alpes, 

L’ORT Lyon a reçu le 23 mai 2013, Monsieur Hassen Chalghoumi, Imam de Drancy, accompagné de Monsieur Kemadou Gassama, Imam de Paris représentant de la communauté Sénégalaise de France, ainsi que de Monsieur Abdoulkarim Mbechezi, Imam de Marseille, représentant de la communauté comorienne. La rencontre a eu lieu en présence de Michel Benioilid, Directeur de l'ORT Lyon, Lucien Frech, Président du Comité local du Lycée ORT-Lyon, Christian Coulon, Maire du 8ème arrondissement de Lyon, Évelyne Haguenauer, Adjointe au Maire de Lyon, chargée des personnes âgées et anciens combattants, Nicole Bornstein, Présidente du CRIF Rhône-Alpes, Marcel Dreyfuss, Président du Consistoire de Lyon, Viviane Eskenazy, Déléguée Régionale du FSJU, Prosper Kabalo, Adjoint au Maire de Villeurbanne, Sarah Sultan, Assistante parlementaire de Mme Pascale Crozon, accompagnée de deux collaboratrices, Fatia Farah et Milouka Hadj-Mimoune, Armand Cohen, président du Maguen David Adom, Hervé Sultan et Robert Allouche, Membres du bureau CRIF Rhône-Alpes, Patrick Kahn représentant de la LICRA et Claude Levy, Présidente de l’Amitié judéo-chrétienne, ainsi que de nombreux membres et représentants d’associations.

Les difficultés de communication rencontrées par les enseignants avec les jeunes, surtout dans le domaine de l’histoire ou du fait religieux, sont souvent évoquées. C’est pourquoi le principal objectif de cette réunion dans le cadre de l’ORT était de permettre, au sein d’un établissement scolaire, une rencontre entre lycéens et enseignants d’horizons variés et les Imams pour instaurer un dialogue autour de thèmes d’actualité sensibles.

Les débats ont ainsi porté sur les relations entre juifs et musulmans de France, les problématiques liées à l’islam de France, et le regard des Imams porté sur Israël après les voyages qu’ils y ont effectués.

Pour préparer au mieux cette rencontre, deux enseignants du lycée, professeurs –documentalistes de l’établissement  ont travaillé avec une soixantaine de lycéens de toutes confessions, issus de trois classes, à partir du livre/entretien écrit par l’Imam Chalghoumi et le journaliste David Pujadas : « Agissons avant qu’il ne soit trop tard ».

La salle polyvalente de l’établissement, comble à cette occasion, comptait, au côté des lycéens, de nombreux enseignants ainsi que des personnalités politiques, religieuses et associatives invitées.

La Présidente du CRIF, Mme Nicole Bornstein a ouvert le débat par un discours qui présentait le parcours de l’Imam Chalghoumi.

Monsieur Benoilid, Directeur du Lycée, a remercié, au nom de l’ORT,  la présence de l’Imam et a salué son engagement,  ses initiatives et ses prises de positions courageuses : «Votre regard lucide sur la problématique de l’Islam de France, vos prises de position en faveur d’un rapprochement et d’un dialogue entre juifs et musulmans, votre vision dépassionnée sur le conflit israélo-palestinien et ses implications en France, votre clairvoyance sur l’exigence du travail de mémoire relatif à la Shoah font que, pour une institution juive telle que la nôtre, il est de notre devoir de vous accueillir ».

Tour à tour, M. Gassama, M. Mbechezi et M.Chalghoumi ont pris la parole devant une assemblée captivée par leurs propos de tolérance et d’ouverture, et leur témoignage à leur retour de voyage en Israël et en Cisjordanie. Les élèves ont posé de nombreuses questions relatives à l’efficacité de la prise de position et des actions de ces imams rassemblés autour de Hassen Chalghoumi. 

Les discussions ont porté sur les moyens à mettre en œuvre pour améliorer les relations entre les religions et pour favoriser l’intégration des musulmans en France. Le rôle des parents dans l’éducation a été souligné. Les 3 imams ont largement évoqué  leur  ressenti au retour de leur voyage en Israël ainsi que les réactions des musulmans de France quant à leurs actions. Des échanges chaleureux et sincères ont permis de réaliser un réel travail sur les préjugés.

Les mots clés retenus après ces débats ont été ceux de démocratie, importance de la culture pour lutter contre les préjugés, goût du travail particulièrement remarqué par les imams lors de leur voyage en Israël, respect des libertés (libre exercice d'imams israéliens en Israël), rôle important de la famille. Un autre symbole très fort a été relevé, celui du choix d’un tel débat dans un établissement scolaire après « l’affaire Merah »… 

L’esprit d’ouverture de l’ORT et la très grande diversité de ceux qui la fréquentent ont particulièrement interpellé les trois intervenants. À l’issue de la conférence-débat, qui a duré deux heures, les élèves comme les adultes présents dans la salle ont pris des photos et chaleureusement échangé  avec les Imams. C’était un moment fort. 

La mode mise sur l'humour..


Une déclaration d'humour


Pour faire le buzz, les marques de luxe misent sur la dérision et le second degré. Pourquoi ça marche ?

Elle avait la réputation de se prendre au sérieux. Aujourd'hui, la planète Fashion travaille son potentiel comique. Pubs, défilés et collections cultivent allègrement le second degré, l'irrévérence… voire l'absurde.

Elle arrive, ultra-chic, et s'installe sur le divan de son psy. Celui-ci écoute vaguement ses déboires de femme riche et esseulée. Son regard est attiré par le sublime manteau de fourrure violette qu'elle a accroché sur le perroquet. 

Hypnotisé par ce vêtement, ignorant le monologue de sa patiente, il finit, fasciné, par l'essayer. Prada suits everyone, titre le générique de ce court-métrage signé Roman Polanski et présenté en off au Festival de Cannes 2012. 

Un petit bijou de drôlerie – avec Helena Bonham Carter et Ben Kingsley – qui a fait grand bruit. Signe des temps : l’humour semble envahir un milieu qui se prend parfois très au sérieux. Les créateurs jouent désormais la carte de l’ironie, de la gaieté, comme s’ils voulaient démontrer qu’ils ne sont pas tous des stakhanovistes torturés par la création.

Quelques exemples ? Depuis trois saisons, Olympia Le-Tan, la créatrice qui monte, met en scène des collections rétros pleines d’humour autour de personnages ou de thèmes jubilatoires : Bettie Page, Ronnie Spector ou La Mélodie du bonheur. 

Alber Elbaz saupoudre les robes de la prochaine collection Lanvin automne-hiver de joyeux colliers hip-hop à messages – « Happy », « Help » ou « Cool » – et multiplie les pieds de nez dans les campagnes publicitaires de la maison depuis 2011. 

On le voit danser sur I know you want me, de Pitbull, ou s’enthousiasmer pour Skype dans ces vidéos irrésistibles. C’est fun, décalé, et surtout cela ne passe pas inaperçu.

Mode et humour sont-ils faits pour se rencontrer ?

Les maisons de luxe l’ont bien compris. L’humour est un pouvoir. Il génère du clic et du buzz. « La dérision est un outil positif de communication des marques, explique Jean-Jacques Picart, consultant mode et luxe. Cela leur permet de se moquer gentiment d’elles-mêmes avant que d’autres ne le fasse à leurs dépens. » 

De plus en plus de maisons de luxe osent le second degré. Chez Dior, c’est une Marion Cotillard facétieuse, jouant avec jubilation l’icône excédée par un star-système tourné en ridicule, qui jette le sac qu’elle est censée promouvoir, dans un spot devenu culte, réalisé par John Cameron Mitchell. 

Chez Alexander Wang (pour T, la ligne bis du créateur), c’est le personnage de Bon Qui Qui, incarné par une humoriste américaine, qui joue les vendeuses exécrables dans la boutique de SoHo du designer. 

Un film déjà visionné par 600 000 internautes.

Christian Louboutin s’amuse aussi cette saison avec ses célèbres escarpins à semelles rouges. Il a demandé à Peter Lippmann de les photographier tels des appâts accrochés à un hameçon. Sur le dernier visuel de la campagne, c’est un éphèbe nu qui est le trophée de cette pêche à l’homme décalée. Message : n’importe quelle femme peut séduire un joli garçon avec une paire de Louboutin. 

Il faudrait être déprimé pour ne pas sourire devant ces clichés.

Mode et humour sont-ils faits pour se rencontrer ? Si Elsa Schiaparelli a été l’une des premières à l’affirmer avec son grain de folie aussi surréaliste qu’inventif, l’univers du vêtement a parfois été décrit comme arrogant, voire glaçant. Mais la crise est passée par là. 

« Il y a encore peu de temps, ce qui primait dans ce milieu, c’était une certaine forme de distance un peu froide », explique Marion Darrieutort, fondatrice de l’agence conseil en stratégies d’influence Élan. « Aujourd’hui, la tendance s’inverse. 

Car dans le difficile contexte actuel, deux solutions : soit on pleure, soit on aspire quand même au bonheur. Et les études montrent l’aspiration de tous pour aller vers du positif, une envie de s’amuser et de déjouer la crise. »

Jean Paul, Karl & Choupette

Prenez Karl Lagerfeld. L’empereur du style, qui se cachait autrefois derrière son éventail, est devenu une icône populaire qui partage désormais avec la terre entière les aventures de Choupette, sa petite chatte blanche sacrée de Birmanie, nouvelle it girl de la fashion sphère suivie par 26 000 followers sur Twitter. 

Réputé pour ses saillies irrésistibles, le créateur multiplie les collaborations inattendues... même avec la sécurité routière. Nous avons tous en en mémoire la photo de King Karl habillé du fameux gilet qui titrait : « C’est jaune, c’est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie. »

 Irrésistible. « Karl Lagerfeld est très drôle », confirme le réalisateur Loïc Prigent qui le suit régulièrement et dont le dernier documentaire, Karl se dessine, diffusé sur Arte en mars dernier, ne fait que renforcer cette assertion. « Les jeux de mots, les blagues, le second degré sont légion dans ses collections pour Chanel. » 

Pour preuve, le bonnet en vison de son défilé automne-hiver qui reprenait la coiffure d’Anna Wintour, mais aussi le sac cerceau géant ou la minaudière Lego du printemps.

L'âge d'or des années 1980

« Karl Lagerfeld est un génie de l’ironie, rajoute Jean-Jacques Picart. Mais le plus décalé, c’est Jean Paul Gaultier. Lui, c’est un génie de la pirouette. » L’enfant terrible de la mode a encore fait sensation lors de son dernier défilé haute couture avec un final détonnant où la mariée, soulevant sa jupe à cerceaux, dévoile quatre adorables fillettes indiennes qui dévalent le podium en riant. 

« À chacun de ses défilés, on s’amuse follement, poursuit Jean-Jacques Picart. Ceux des années 1980 étaient plus incroyables encore. Il en est de même pour les shows de Kenzo, qui étaient inoubliables, surtout quand il arrivait juché sur un éléphant et demandait à ses mannequins de rire sur les podiums... » 

Ce n’est pas un hasard si beaucoup de ceux qui osent cultiver l’humour dans la mode officiaient déjà il y a vingt ans. Les années 1980 restent l’âge d’or de l’euphorie et de l’insouciance. À l’époque, la mondialisation et les impératifs économiques des grands groupes de luxe n’avaient pas encore fait leur apparition, et les fortes personnalités pouvaient s’exprimer librement.

Depuis, la donne a changé. « Dans les années 1990, analyse Jean-Jacques Picart, la finance a commencé à s’intéresser à la mode et a imposé de nouvelles règles du jeu où la rentabilité et le succès commercial ont pris le pas sur la liberté d’expression, ce qui a généré une pression sur la création. » 

La mode se met aussi au diapason d’une époque marquée par la première guerre du Golfe : surgit un courant créatif plus sombre, cérébral, minimaliste, incarné par des créateurs belges ou japonais. La légèreté et l’insouciance paraissent révolues. Et pourtant…

Fraîcheur et espièglerie de retour

La mode retrouve le sens de l’humour. Une gaieté et une fantaisie que même la jeune garde des créateurs ose désormais affirmer. C’est le cas de Carol Lim et Humberto Leon, les nouveaux directeurs artistiques de Kenzo, qui ont choisi de renouer dans leur collection avec la fraîcheur et l’espièglerie de la boutique Jungle Jap ouverte en 1970. 

Leurs créations colorées, pétillantes et joyeuses sont un succès total. C’est aussi le cas du Liégeois Jean-Paul Lespagnard, révélation du Festival de Hyères 2008, qui insuffle une bonne dose d’humour dans ses présentations autour de personnages loufoques. 

Cette année, la première collection de Geraldo da Conceicao pour Sonia Rykiel était aussi truffée de clins d’œil en hommage à l’impertinence et à l’anticonformisme de la flamboyante rousse, qui osa la première mettre les coutures à l’envers. « 

Nous avons toujours cherché à proposer l’image d’une femme vivante, gourmande, sensuelle, qui danse, rit, chante, parle et flirte sur les podiums », raconte Nathalie Rykiel, aujourd’hui vice-présidente du conseil d’administration de la maison, « et Geraldo a la passionnante mission d’impulser cette vision dans la réalité du monde d’aujourd’hui ». 

Jean Paul Gaultier, quant à lui, a fait défiler sur son podium du printemps-été 2013, l’album de ses pop stars préférées des eighties.

Les mannequins grimés en Annie Lennox, Michael Jackson, Madonna (période Like a Virgin), Boy George, Grace Jones... ont soulevé l’enthousiasme de l’assemblée. Voici revenu le temps des rires et des chants ? 

« Avec cette collection, j’ai voulu montrer qu’il nous fallait retrouver un peu d’humour et de légèreté, raconte l’enfant terrible de la mode. Nous faisons un métier sérieux, mais si on ne prend pas du plaisir en l’exerçant, cela perd tout son sens. 

Le jour où j’arrêterai de m’amuser, j’arrêterai la mode. »











40% des jeunes trouvent l’islam sectaire et les juifs communautaristes...


Un tiers des 18-24 ans ressent de l’antipathie pour les musulmans et pour la moitié, les juifs sont plus proches d’Israël que de la France selon une étude. L’expert du fait religieux Eric Vinson décrypte cette poussée d’islamophobie et d’antisémitisme chez les jeunes.

Les chiffres sont effarants. D’après une étude Opinion-Way ,près d’un tiers des 18-24 ans ressentent de l’antipathie pour les musulmans, soit dix fois plus que pour les catholiques et les juifs. 

Les jeunes seraient ainsi plus virulents que la moyenne générale des 1001 personnes sondées. Ils ne sont que 4% à croire à la tolérance de la religion musulmane et 40% à la trouver sectaire.

L’islam n’est pas le seul à en prendre pour son grade. Ainsi, près de la moitié des 18-24 ans considèrent que les juifs sont «plus proches d’Israël que de la France». Environ 43% les définissent comme un «groupe replié sur lui-même». Enfin, 20% estiment que«leur influence sur la société est trop importante».

Si 2012 a été l’année du bond des actes antisémites et islamophobes ,encouragés par l’affaireMerah ,la situation pourrait encore se dégrader s’inquiète Eric Vinson, spécialiste du fait religieux et professeur à Sciences Po. Il craint une progression des préjugés parmi des jeunes qui ont grandi dans une société sécularisée et connaissent mal les religions.

Figaro Etudiant - Ces chiffres vous surprennent-ils?

Eric Vinson: Ils reflètent finalement la vision médiatique des religions, qui ne surgissent sur les écrans que lors de drames, comme à Londres, lorsqu’un fou attaque un soldat. On explique pas que l’islam c’est autre chose que cela. Cette méconnaissance des religion pose problème, et va aller en se dégradant avec les jeunes générations.

Les jeunes se montrent plus hostiles à la religion musulmane que les adultes. Comment l’expliquez-vous?

Les adultes ont grandi dans une société où la religion était présente. A leur époque, on allait à la messe etc... Les jeunes sont moins familiarisés avec le fait religieux aujourd’hui. Pour eux, chacun peut proscrire des aliments, comme la viande pour des raisons diététiques ou esthétiques. 

Mais les interdits alimentaires religieux font toujours figure d’intégrisme. Quand certains pratiquent leur religion quotidiennement, ils sont considérés comme sectaires. Dès qu’on parle de communauté, on pense communautarisme puis intégrisme.

Pourquoi une telle réaction épidermique au religieux?

74% des gens pensent que l’islam n’est pas compatible avec les valeurs de la République, pourtant les intégristes musulmans ne représentent qu’une minorité des croyants. 
Derrière cette appelation, je pense que les gens désignent les gens des banlieues. 

Au lieu de dire “immigré”, on dit “musulman”. C’est plus acceptable car les gens pensent que la religion et la République ne sont pas compatibles..

Si les gens déclaraient ressentir de l’antipathie pour les noirs, ce serait du racisme. Quand les jeunes considèrent les juifs comme un groupe replié sur lui-même, qui a trop d’influence et qui plus est, se sent plus proche d’un pays étranger que de la France...C’est purement un préjugéantisémite !

Visites qui dérangent le malade - 2 Halakhot par jour Vendredi 31 et Chabbat 1er juin 2013, 22 et 23 Sivan 5773....


lejudaisme
Vendredi 31 mai et Chabbat 1er juin 2013 – 
22 et 23 Sivan 5773 Paracha de Chéla'h Lékha

Horaires d'allumage des bougies de Chabbat selon le Rav Ovadia Yossef Chlita
 Entréesortie
Jérusalem19h2120h09
Montréal8h17 pm9h32 pm
Paris21h2722h49

Si la majorité des communautés d'une ville reçoit le Chabbat plus tôt que l'horaire du calendrier, les fidèles doivent se référer à la Communauté à laquelle ils sont affiliés et ne pas allumer après l’horaire de cette Communauté, il y un principe Halakhique qui spécifie : Nigrar Aharé Kéhilatam car les fidèles sont attirés malgré eux à leur Communauté.
Références : Rabbénou Acher ztl (Roch) chapitre 2 fin du Siman 24, Le Mordékhi à la fin du chapitre Bamé Madlikin Siman 297, Raavia Siman 199, Chiboulé Haléket Siman 59, Rabbi Yossef Karo ztl dans le Choul’han Aroukh Ora’h Haïm Siman 263 Saïf 12, Rav Epstein ztl dans le Aroukh Hachoul’han Siman 263 Saïf 22, Rabbi Chnéor Zalman ztl de Landy dans le Choul'han Aroukh Harav Ora’h Haïm volume 2 Halakhot Chabbat Siman 261 Saïf 3, Siman 393 Saïf 2 et Siman 527 Saïf 9, Rabbi Yaacov Haïm Sofer ztl dans le Kaf Ha'haïm Siman 263, Rabbi Israël Méïr Hacohen ztl dans le Choul'han Aroukh Ora'h Haïm Halakhot Chabbat Siman 263 Saïf 12 Saïf Katan 51, Rabbi Moché Feinstein ztl dans Iguérot Moché Orah Haïm volume 3 Siman 38, Responsa Béer Moché volume 2 Siman 16, Tchouvot Véhanéaguot volume 3 Siman 85, Rav Ovadia Yossef chlita dans H’azon Ovadia Halakhot Chabbat volume 1 page 294 Saïf 10.
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Vidéos de Rav AtlanArchives des Halakhot

Lois concernant les visites aux malades (12)

Super User

Les Halakhot sont dédiées à l'élévation de l'âme du Gaon Rabbi Yaacov Haï Z.T.L Ben Rabbi Ovadia Yossef Chlita
et à la Réfoua Chéléma de Solange Soulika bat Fanny 
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Halakha N°1  

On ne doit pas rendre visite à un malade qui souffre des intestins, car sa maladie l'oblige à se lever et à sortir souvent et les personnes présentes le gênent. 
Références : Guémara Nédarim page 41a, Rabbi Moché bar Maïmone  z.t.l dans son Séfer le Rambam  Pérek 14 Halakhot Avélout Halakha 5, Ramban Rabbi Moché bar Na’hmanid z.t.l dans son Séfer Torat Haadam page 17, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ Siman 335 Saïf 8, Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 72 Saïf 37, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 386 Saïf 9, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans son Kitsour Choul’han Aroukh Siman 193 Saïf 10.

Halakha N°2

Il en est de même si le malade souffre de maux de tête ou de douleurs dans les yeux ou de toute autre maladie qui rendrait pénible l'entretien avec les visiteurs. Dans de pareils cas, on se rendra chez lui mais on restera en dehors de sa chambre. On s'enquerra de sa santé, de ses besoins, on écoutera sa souffrance et on implorera D. en sa faveur.
Références : Guémara Nédarim page 41a, Rabbi Moché bar Maïmone  z.t.l dans son Séfer le Rambam  Pérek 14 Halakhot Avélout Halakha 5, Ramban Rabbi Moché bar Na’hmanid z.t.l dans son Séfer Torat Haadam page 17, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ Siman 335 Saïf 8, Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 72 Saïf 37, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 386 Saïf 9, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans son Kitsour Choul’han Aroukh Siman 193 Saïf 10.
 
APHORISME DU PIRKE AVOT (Maximes de nos Peres) HILOULOT
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Allumez des bougies, Léilouy Nichmatam, avant Chabbat et par leur mérite, Bézrat Hachem, toutes vos prières seront acceptées par Hakadoch Baroukh Hou, Amen

Schémayah disait : 
"Aime le travail, fuis les honneurs, et ne recherche point la faveur des grands."
 
 Vendredi 31 mai 2013, 22 Sivan 5773
Rabbi Eliyahou Be'hor 'Hazan z.t.lRabbi Ephraïm Navon z.t.l
  Chabbat 1er juin 2013, 23 Sivan 5773
Raphaël Tzema'h ben Chimon z.t.l

Réfoua Chéléma 
Léilouy Nichmat
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Hagaon Rabbi Obadia ben Gorgia Chlita
Harav Yossef 'Haïm ben Emma Sim'ha
Sarah bat Fortunée
Odaya Liliane bat Fortunée
Tsiyon Tal ben Rahel
Oz ben Yaël Simha
Nina bat Rahel
Gabriel Haï ben Guemmara


 
Les Halakhot sont dédiées à l'élévation de l'âme de :
Hagaon Rabbi Mordékhay Tsémah ben Mazal Z.T.L
Hagaon Rabbi Nissim ben Mazal Tov Toledano Z.T.L
Hagaon Rabbi Yossef Chalom Ben Haya Moucha Z.T.L
Rabbi Mikhaël Cohen ben Simha Z.L.Georges Its’hak ben Chlomo Z.LSarah Suzanne bat Roza Z.LFortunée bat Camille Camouna Z.LGérard Guérchon Khélfa ben Georges Itshak Z.LTsipora bat Chlomo Z.LChoulamit bat Léa Z.L
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LES HALAKHOT SONT DEDIEES A LA REUSSITE DE YZIK YTSHAK BEN FARDOSA  
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Définition des générations !


Voilà quelques explications sur les noms des générations !



La génération silencieuse = Ceux qui sont nés avant 1945.



Les Baby Boomers = Ceux qui sont nés entre 1945 et 1959.





La génération Hippie = Ceux qui sont nés entre 1959 et 1970.






La Génération X = Ceux qui sont nés entre 1970 et 1989.





La Génération Y : ceux qui sont nés entre 1989 et 2013 .

Pourquoi appelle-t-on ce dernier groupe La Génération Y ?

Je n'en avais aucune idée...



Jusqu'à ce que je tombe sur l'explication de ce caricaturiste !



Un film sur Google en préparation ? Et oui !



Après Facebook .(« The Social Network », ça vous parle ?), il semblerait que ce soit au tour de Google de faire un saut sur le grand écran
20th Century Fox lâchera très prochainement dans les salles de cinéma américaines un film étonnant, « The Internship ». Déjà évoqué par nos soins il y a quelques temps de cela, il avait retenu notre attention du fait de son implication avec google.

Porté par Vince Vaughn et Owen Wilson, il nous proposera de suivre les pérégrinations du duo, prêt à tout pour rentrer chez Google en tant que stagiaires. Alors, que peut-on décemment attendre d’une comédie potache au possible, s’épaulant de Google pour faire le buzz (ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il a hérité du sobriquet de « the Google movie » outre-Altantique !) ? 

Pas grand chose, si l’on se fie à sa bande-annonce, s’appuyant sur des gags éculés, où il est question pour Vaughn et Wilson d’en ramasser plein la tête.

Mais qui sait ? Peut-être qu’après tout, le film vaudra le coup. En France, il a déjà été renommé en tant que « Les Stagiaires », et sortira le 26 juin 2013.

La grandeur de Binyamin Netanyahou....

Binyamin Netanyahou était en visite aux Etats-Unis pour la conférence annuelle de l’AIPAC. Cette visite devait être triomphale. Elle a ...