lundi 5 novembre 2018

L’antisémitisme de l’ONU condamne Israël pour « l’usage excessif » (???) de la force à Gaza...


L’indifférence à l’antisémitisme de l’ONU qui condamne Israël consacre le nouvel antisémitisme et la haine d’Israël qui se répand dans l’indifférence à la face du monde, ce qui, selon Philippe Val relèverait du « suicide de civilisation ».

L’antisémitisme de l’ONU qui condamne Israël est en prise directe avec la montée en puissance de l’islamisme depuis des années dans le monde entier. Il appelle les musulmans à faire le jihad et à se lancer dans la conquête de l’Occident chrétien en proie à des luttes intestines par le fait de son amour immodéré de l’ennemi intérieur des fraternités UMPS-GOF-LGBT qui veulent sa perte. Les Français doivent savoir que l’antisémitisme de l’ONU qui condamne Israël et le nouvel antisémitisme des fraternités LREM-UMPS-GOF-LGBT de gauche qui sévit en France aujourd’hui est politiquement l‘allié objectif de l’Anti-France.
Quand est-ce que l’on reconnaitra le caractère antisémite des condamnations d’Israël par l’ONU ? C’est ce qui semble faire appel au bon sens populaire et ce qui semble très opportun pour contrer ce mal de l’antisémitisme de l’ONU. Beaucoup de gens se posent la question : pourquoi cette obsession de l’ONU à condamner Israël si ce n’est du fait de l’antisémitisme persistant des pays membres ?
Qu’est-ce que l’ONU, qui se mobilise pour la Palestine, a contre les juifs avant de condamner Israël ? L’antisémitisme est impliqué tragiquement dans l’histoire de la catastrophe européenne. L’antisémitisme de l’ONU met en péril tout l’édifice soi-disant démocratique des États membres. Les juifs seraient contraints de quitter Israël leur pays uniquement parce qu’ils sont juifs. C’est cette réalité de l’antisémitisme de l’ONU qui est brutale et insupportable, pas les mots médiocres de l’ONU qui condamnent Israël !
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Lu sur Le Monde de gauche : « Un amendement des États-Unis visant à condamner le Hamas pour ces violences a été rejeté par l’Assemblée générale de l’ONU » (par Piotr Smolar, Jérusalem, correspondant et Marie Bourreau, New York, Nations Unies, correspondante). L’Assemblée générale des Nations Unies, réunie en urgence, a adopté à une forte majorité un projet de résolution condamnant « l’usage excessif » de la force par Israël contre les (terroristes) civils palestiniens lors de la flambée de violences meurtrières à Gaza.
L’Assemblée générale demande au secrétaire général, Antonio Guterres, de recommander la mise en place d’un mécanisme de protection internationale « dans les territoires occupés« , même si un tel mécanisme a peu de chance d’aboutir puisqu’il doit être validé par le Conseil de sécurité où les États-Unis disposent du droit de veto.
Le texte présenté par l’Algérie, la Turquie et l’Autorité palestinienne a été adopté par 120 voix pour, huit contre, et 45 abstentions. Les États-Unis avaient mis leur veto à une résolution similaire il y a deux semaines au Conseil de sécurité. La résolution condamne, en outre, les tirs de roquette de la bande de Gaza vers l’État hébreu mais ne mentionne pas nommément le Hamas, qui contrôle l’enclave. Les diplomates ont été surpris du score des Palestiniens qui, en comparaison, avaient recueilli en décembre 2017 128 voix pour leur résolution condamnant le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem. Mais l’Algérie et la Turquie ont réussi à rendre le vote plus fédérateur en le présentant sous l’intitulé « protection des civils palestiniens » (en réalité des activistes islamistes et des terroristes palestiniens), note un diplomate familier du dossier.
Les États membres ont ainsi pu reconnaître les violations du droit international et humanitaire (non pas par le Hamas, mais seulement) par Israël. Dans le droit fil de la condamnation d’Israël, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU lance une enquête sur les violences à Gaza après que 120 Palestiniens aient été tués. Un amendement présenté par les États-Unis qui condamnait les violences du Hamas a été rejeté, faute de recueillir les deux tiers des voix nécessaires pour être adopté : 62 votes pour, 58 contre, 42 abstentions.
L’ambassadrice américaine auprès des Nations unies, Nikki Haley, a critiqué un texte à sens unique, alors que le représentant israélien, Danny Danon, a dénoncé une « collusion avec une organisation terroriste« .
La France de Macron fait partie des douze pays européens qui ont donné leur voix à ce texte, rejoints notamment par la Russie et l’Espagne. Seize États dont l’Allemagne, le Danemark, le Royaume-Uni et la Pologne se sont abstenus. C’est la première fois depuis le début des violences en mars que l’ONU parvient à condamner Israël, même si les résolutions de l’Assemblée générale ne sont pas contraignantes.
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L’armée israélienne a tué plus de 120 Palestiniens à Gaza depuis le début des manifestations pour le (mensonge du Hamas sur le) « droit au retour des réfugiés« . L’État hébreu affirme qu’il s’agissait en majorité de combattants du Hamas ou d’autres groupes armés, les Palestiniens (du Hamas voulant faire croire) qu’il s’agissait au contraire de civils non armés. Une honte, selon Israël. Dans un communiqué, le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, s’est félicité de la protection américaine dont Israël bénéficie dans l’enceinte de l’ONU. « La concentration incessante de l’ONU sur Israël ne couvre pas seulement l’organisation de honte. Elle détourne aussi l’attention de bien d’autres sujets pressants« , explique le communiqué. Le premier ministre met en cause le Hamas pour les morts (près de 120) et les blessés (près de 3 700 par balle) enregistrés dans la bande de Gaza depuis le début (du mythe) de la « marche du grand retour ». Il souligne la responsabilité de Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, « qui n’a fait qu’aggraver la situation humanitaire à Gaza en réduisant les salaires [des fonctionnaires] à Gaza et en refusant de payer pour l’électricité fournie [par les Israéliens] à Gaza« . Benyamin Netanyahou se prépare à accueillir le conseiller spécial et gendre de Donald Trump, Jared Kushner, chargé avec l’avocat Jason Greenblatt de mettre la dernière main au plan de paix que propose l’administration américaine. Un plan dont les Palestiniens refusent de prendre connaissance depuis la reconnaissance unilatérale de Jérusalem comme capitale d’Israël par Washington.
Lu sur Le Monde de gauche : « Violences à Gaza : le Conseil des droits de l’homme de l’ONU lance une enquête » (par Marie Bourreau, New York, Nations Unies, correspondante). Les conclusions qui en seront rendues avant mars 2019, ont toutes les chances d’être ignorées par Israéliens et Américains. L’indignation suscitée par la mort de 58 Palestiniens, tués à Gaza, en mai, sous des tirs israéliens, a entraîné une « intense activité (bureaucratique) diplomatique à l’ONU« . Le Conseil des droits de l’homme a voté l’envoi en urgence d’une commission d’enquête internationale indépendante qui devra rendre ses conclusions avant mars 2019.
Sur les 47 membres que compte l’institution, seuls les États-Unis et l’Australie s’y sont opposés, 14 autres pays parmi lesquels la Suisse, l’Allemagne et le Royaume-Uni se sont abstenus.
Ces enquêteurs seront chargés de faire la lumière sur « toutes les violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire » à Jérusalem-Est et Gaza, (non pas du fait du terrorisme du Hamas, mais seulement) « dans le contexte des assauts militaires menés lors des grandes manifestations civiles qui ont commencé le 30 mars 2018« , y compris ceux qui pourraient relever de « crimes de guerre » (palestiniens ?).
Lors de la session extraordinaire, le haut-commissaire aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al-Hussein, a accusé l’État hébreu d’avoir violé le droit international humanitaire. « Le fort contraste entre le nombre de victimes des deux côtés suggère que la réponse [d’Israël] était totalement disproportionnée« , assurant que les morts palestiniens résultaient « d’un usage illégal (???) de la force« . Cette enquête a peu de chances d’aboutir selon Richard Gowan, expert au Conseil européen des relations internationales. « Elle offrira un soutien moral aux Palestiniens qui n’ont aucune perspective de gagner des batailles politiques au sein du Conseil de sécurité actuellement. »

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