Les cris d’«Allahou akbar» et de «Palestine libre» ont résonné samedi dans les rues de Milan au cours de la «seconde semaine de rage.»
Musulmans, activistes d’organisations pro-palestiniennes, militants d’extrême-gauche et communistes, la fine fleur de la société antisémite italienne, se sont alliés afin de manifester à l’unisson leur haine d’Israël et de Donald Trump.
Environ 700 personnes ont défilé samedi dans le cœur de Milan en scandant des slogans à la gloire de l’Intifada. A 18 h, le cortège s’est arrêté devant la Piazza della Scala et les pieux fidèles d’Allah, le cœur enivré d’amour pour Israël, ont adressé leurs prières, empreintes d’une très grande «spiritualité», à leur divinité belliqueuse.
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Ainsi, imams et représentants de la «Refondation communiste» se sont retrouvés ensemble, unis comme jamais, contre leurs ennemis idéologiques communs : «l’impérialisme américain et le colonialisme israélien.»
Or s’il existait un classement des idéologies oppressives, impérialistes, colonialistes, totalitaires, suprématistes, violentes, meurtrières, l’islam et le communisme seraient en position dominante, généreusement partagée avec le nazisme. L’islam, de par sa nature intégriste, agressive, suprématiste, liberticide, totalitaire et haineuse, s’oppose aux valeurs judéo-chrétiennes et au mode de vie occidental. L’islam prône une doctrine fasciste, plus terrifiante encore que celles qui meurtrirent et ensanglantèrent l’Europe au XXe siècle : le communisme et le nazisme. Et cette idéologie est d’autant plus dangereuse qu’elle excelle dans l’art du déguisement et de la tromperie. Elle se propage sous le masque de la «religion », dès lors elle ne peut être critiquée. Pour l’islam, démocratie et liberté d’expression sont des concepts laïques erronés à proscrire, car ils ne viennent pas d’Allah. Toutefois, les fidèles peuvent en user et en abuser pour défendre la cause d’Allah et propager son idéologie de mort.
Au premier rang du cortège, des groupes de jeunes Palestiniens hurlèrent du début à la fin «Palestine ma terre, Israël va-t’en». Vers le milieu, des banderoles BDS fleurissaient et à l’arrière suivaient des représentants des formations communistes italiennes et des militants syndicalistes, fiers de leur soutien à l’honorable cause palestinienne, qui leur permettait de joindre leur fiel à la bile des Arabo-Palestiniens.
L’un des promoteurs du cortège rappela à l’assistance émue le souvenir de «tous les martyrs, tous» et évoqua le Fatah, le parti d’Arafat et d’Abu Mazen, puis le Hamas.
Communistes et anarchistes, profondément anticléricaux quand ils s’agit de l’Eglise catholique, se sentent parfaitement à leur aise parmi les musulmans.
Le directeur de la Maison de la culture islamique, Mahmoud Asfa, assura, parole d’honneur, qu’il n’y avait eu aucun antisémitisme dans cette manifestation digne, non, pas la moindre petite trace, même si mensonges et anathèmes anti-Israël se succédèrent avec force tout au long de la journée de rage. Sans doute, ce brave homme était sourd!
» Jérusalem, capitale d’Israël, signifie la destruction d’églises et de mosquées» affirma l’un des promoteurs. Bien sûr, le grand respect des églises, des temples, des synagogues dans le monde musulman est de notoriété publique et seuls les affreux islamophobes osent prétendre le contraire.
Les remerciements à l’Italie et à l’Europe, qui prirent lâchement leur distance à l’égard de la décision courageuse de Donald Trump, fusèrent sous les applaudissements.
Une participante expliqua sa vision de Jérusalem : » ville chère aux musulmans et auxchrétiens». Et les Juifs ? Complètement occultés ! Endoctrinée par la propagande arabo-musulmane, cette personne en propage les mensonges les plus grossiers. Les revendications musulmanes sur Jérusalem ne sont nullement justifiées, comme l’explique Daniel Pipes dans son article «The Muslim claim on Jerusalem» dont voici quelques extraits, que les critiques musulmans de Dreuz feraient bien de lire, pour ouvrir leur esprit embué à la lumière. Cela leur évitera de mourir idiots.
» Les attaches liant les Juifs à Jérusalem sont anciennes et puissantes. Le Judaïsme fit de Jérusalem une ville sainte il y a plus de trois mille ans et les Juifs lui restèrent fidèles durant toute cette période. Les Juifs prient dans sa direction, mentionnent son nom constamment dans leurs prières, terminent la Pâque par la déclaration nostalgique «l’an prochain à Jérusalem» et évoquent la ville en rendant les grâces après chaque repas. La destruction du Temple pèse lourdement sur la conscience juive; sa commémoration revêt plusieurs formes, telles qu’une journée de deuil, des maisons dont une partie est laissée inachevée, le maquillage ou la parure des femmes volontairement incomplets et un verre brisé pendant les cérémonies nuptiales.
De plus, Jérusalem a joué un rôle historique majeur, elle est l’unique capitale des Juifs et la seule cité habitée en majorité par des Juifs pendant l’ensemble du siècle passé. Jérusalem représente «la pure expression de tout ce pour quoi les Juifs ont prié, rêvé, pleuré et rendu l’âme depuis les deux mille ans qui nous séparent de la destruction du deuxième Temple».
Qu’en est-il des musulmans? Quelle est la place de Jérusalem dans l’Islam et dans l’histoire des musulmans? Ce n’est pas le lieu vers lequel ils se dirigent pour prier, son nom n’est pas mentionné une seule fois dans leurs prières, et elle n’est liée à aucun événement de la vie de Mahomet. La cité n’a jamais été la capitale d’un État souverain musulman, et elle n’en a jamais constitué un centre culturel ou universitaire. Fort peu d’initiatives politiques islamiques notables y trouvèrent leur origine.»
Pourquoi les manifestants palestiniens arpentent-ils les rues en criant «Nous verserons notre sang pour toi, Jérusalem»
Pourquoi feu le roi Fahd d’Arabie Saoudite exhorta-t-il les musulmans à protéger «la ville sainte appartenant à tous les musulmans de par le monde»? Pourquoi deux sondages réalisés auprès de musulmans américains révèlent-ils que Jérusalem constitue la question de politique étrangère la plus cruciale à leurs yeux?
Les raisons en sont politiques. Un survol historique montre que l’impact de la cité et des émotions qu’elle suscite auprès des musulmans croît régulièrement lorsqu’elle revêt une grande importance politique. Inversement, lorsque l’utilité de Jérusalem s’amoindrit, son statut et les passions qu’elle incarne pâlissent à l’unisson.
Le lien islamique de Jérusalem serait antérieur à ses attaches juives.
Alors que la fondation de Jérusalem précéda celle de l’Islam de quelque deux millénaires? Ibrahim Hooper, du Conseil des relations américano-islamiques (Council on American-Islamic Relations, CAIR) basé à Washington, expliqua ainsi cet anachronisme: «L’attachement des musulmans à Jérusalem ne débute pas avec le prophète Mahomet, il commence avec les prophètes Abraham, David, Salomon et Jésus, qui furent tous des prophètes de l’Islam. «En d’autres termes, les principaux personnages du Judaïsme et du Christianisme étaient en réalité des proto-musulmans. Cette théorie est à l’origine des déclarations de l’homme de la rue palestinien, pour qui “Jérusalem était arabe dès le jour de la création».
Le Coran mentionnerait Jérusalem. L’identification du Voyage nocturne avec Jérusalem est si totale qu’elle a été reprise dans un grand nombre d’éditions du Coran, et plus particulièrement dans ses traductions. Certaines précisent dans une note de bas de page que la «mosquée la plus éloignée «doit» faire référence à Jérusalem. D’autres franchissent le pas (blasphématoire?) consistant à insérer directement le nom de Jérusalem dans le texte, après la mention de la «mosquée la plus éloignée».
Le récit du Voyage nocturne mystique de Mahomet à Jérusalem (…) décrit une expérience non pas physique, mais purement visionnaire.
Jérusalem n’aurait aucune importance pour les Juifs. Le premier pas consiste à nier tout lien entre les Juifs et le Mur occidental, la seule portion préservée du Temple historique. En 1967, un officiel de premier plan du Mont du Temple qualifia l’attachement des Juifs au mur d’acte «d’agression contre la Mosquée Al-Aqsa». Feu le roi Faysal d’Arabie Saoudite aborda le sujet avec un mépris non dissimulé: «Ils viennent pleurer contre le Mur, mais ils n’ont aucun droit historique à le faire. Un autre mur pourrait être construit à cet effet. «Abd al-Malik Dahamsha, un membre musulman du Parlement israélien, déclara sans ambages que “le Mur occidental n’a aucun lien avec les vestiges du Temple juif». Le site Web de l’Autorité palestinienne explique, en parlant du Mur occidental, que «certains religieux juifs orthodoxes le considèrent comme l’un de leurs lieux saints et affirment que ce mur est une partie de leur temple, ce que ni les études historiques ni les fouilles archéologiques entreprises n’ont jamais permis de prouver. “Le mufti de l’AP décrit le Mur occidental comme étant ‘une simple enceinte appartenant au lieu saint musulman” et déclare qu’“il n’y a pas une seule pierre du Mur occidental qui témoigne de l’histoire juive”. On trouve même certains travaux d’études, de l’université égyptienne “Ayn Shams, qui prétendent démontrer que la Mosquée Al-Aqsa précéda l’antiquité juive à Jérusalem, et ce de pas moins de deux mille ans.
Dans cet esprit, les institutions musulmanes font pression sur les médias occidentaux pour qu’ils désignent le Mont du Temple et le Mur occidental par leur nom islamique (Al-Haram ash-Sharif, Al-Buraq), et non par leur nom juif original
Dans un deuxième temps, il s’agit de nier le droit des Juifs à accéder au mur. “Il est interdit aux Juifs de prier au Mur occidental”, affirme un leader islamiste vivant en Israël. Le directeur de la Mosquée Al-Aqsa certifie que “ce lieu est pour les musulmans, et les musulmans seulement. Il n’y a pas de temple ici, uniquement la Mosquée Al-Aqsa et le Dôme du Rocher.”
La troisième étape consiste à rejeter toute forme de contrôle juif à Jérusalem, comme le fit Arafat vers le milieu de l’an 2000: “Je ne saurais accepter une quelconque souveraineté israélienne à Jérusalem. ‘Le prince héritier d’Arabie Saoudite Abdullah ne tarda pas à lui faire écho en déclarant qu’‘il n’y a rien à négocier sur ce plan; aucun compromis n’est possible sur la question de Jérusalem’. Même le secrétaire d’État aux Affaires étrangères d’Oman, Yusuf bin ‘Alawi bin ‘Abdullah, déclara au Premier ministre israélien que la souveraineté de Jérusalem doit être exclusivement palestinienne ‘pour en assurer la sécurité et la stabilité’.
Enfin, l’étape finale consiste à nier aux Juifs tout accès à Jérusalem. À cette fin fleurit toute une littérature qui insiste sur la légitimité de la revendication islamique sur l’ensemble de Jérusalem. Des manuels scolaires font allusion au rôle de la cité dans le Christianisme et l’Islam, mais passent le Judaïsme sous silence. Un Américain affilié au Hamas affirme que Jérusalem est ‘un lieu saint arabe, palestinien et islamique’. Une banderole arborée lors d’une manifestation de protestation résume bien la chose: ‘Jérusalem est arabe. ‘Il n’y pas de place pour les Juifs ici.’ (Daniel Pipes danielpipes.org : les revendications des musulmans sur Jérusalem)
Revenons à notre musulmane éclairée par la désinformation ambiante.
Sa recette pour le Moyen-Orient : ‘Ne jamais négocier avec les Israéliens. Ils veulent faire de Jérusalem un ghetto pour les Juifs.’
Et d’appeler à une nouvelle Intifada contre ce projet funeste. Son idée d’un état palestinien est la suivante : ‘le territoire palestinien doit s’étendre des rives du Jourdain aux rives de la Méditerranée.’ En d’autres termes, Israël ne doit plus exister.
» Israël fasciste, Israël, état terroriste» furent les cris les plus entendus au cours de cette journée de rage, sans aucun sentiment antisémite… bien entendu. Y voir dans ces hurlements amicaux ne serait-ce qu’un soupçon d’antisémitisme relèverait d’une mauvaise foi évidente.
A Milan, ville islamisée, vous devez montrer un certificat ‘antifasciste’ pour avoir doit à des contributions financières de la part de la municipalité, mais vous pouvez librement exprimer votre haine contre les USA et Israël. C’est la liberté d’expression dans l’Italie démocratique de la gauche.
Si la déclaration de Donald Trump sur Jérusalem, capitale d’Israël, a suscité l’ire rageuse du monde musulman et la lâche indignation douloureuse de l’UE, elle a aussi eu le mérite de faire tomber les masques.
Pendant que l’UE poursuit sa politique pro-arabe, anti-israélienne, soutenue par les médias traditionnels occidentaux et arabes, qui régurgitent sans cesse les mêmes slogans anti-Israël en s’inspirant de la propagande palestinienne, de nombreux commentaires d’intellectuels fleurissent sur les réseaux sociaux, expliquant que la raison principale de ce conflit israélo-palestinien, qui n’en finit pas, réside dans la corruption de l’Autorité palestinienne, dirigée par le Fatah et le Hamas. Il fallait oser le dire !
L’Autorité palestinienne, semblent-ils affirmer, a ‘commercialisé’ la cause palestinienne, qui leur a procuré des millions de dollars, mais jamais cela n’est mentionné dans les médias mainstream. Bien au contraire, ces derniers continuent à présenter Israël comme l’oppresseur et les Palestiniens les opprimés. Toutefois, des sondages palestiniens racontent une autre histoire.
Selon une enquête menée en juin 2015 par le ‘Palestinian Center for Public Opinion’ basé à Beit Sahour en Judée-Samarie, 52% des Palestiniens vivant à Jérusalem-Est avaient déclaré qu’ils préféreraient être citoyens d’Israël, bénéficiant de droits égaux, contre 42%, qui choisiraient de devenir les citoyens de l’Etat palestinien.
La plupart des Palestiniens vivant à Jérusalem souhaitent obtenir la nationalité israélienne.
D’après plusieurs sondages, réalisés par le ‘Palestinian Center for Policy and Survey Research’ (PSR) en Judée-Samarie et à Gaza entre le 14 et 16 septembre 2017, la majorité des Palestiniens ne sont pas satisfaits de Mahmood Abbas : 67% souhaitent sa démission; seulement 27% veulent qu’il reste à la tête de l’Autorité palestinienne.
38% des Arabo-Palestiniens ont déclaré que les habitants de Judée-Samarie pouvaient critiquer l’AP sans crainte de représailles. 59% ont affirmé qu’ils n’étaient pas libres de critiquer l’AP. 50% des sondés voyaient l’AP comme un fardeau pour les Palestiniens et 77% percevaient l’AP comme corrompue.
La plupart des leaders du Hamas, qui aiment se décrire comme des djihadistes anti- Israël, sont des millionnaires, voire des milliardaires.
Khaled Mashaal, par exemple, disposerait d’une fortune de 2,6 milliards de dollars, selon les estimations globales, tandis que des commentateurs arabes évaluent sa fortune entre 2 et 5 milliards de dollars, investis dans des banques égyptiennes et des pays du Golfe et quelques projets immobiliers.
Ismail Haniyeh, leader du groupe terroriste du Hamas, dispose d’une fortune estimée à 4 millions de dollars et la plupart des ses biens sont enregistrés à Gaza sous le nom de son beau fils Nabil et sous celui d’une douzaine de ses enfants et autres responsables du Hamas moins connus.
L’Autorité palestinienne en Judée-Samarie est tout aussi corrompue que les leaders de Gaza.
Abbas et autres chefs de l’OLP, souffrant de ‘kleptocracie’, ont volé des millions de dollars destinés au peuple palestinien, sans que les donateurs occidentaux n’interviennent. Ainsi, tandis que l’Occident ferme les yeux sur la corruption des leaders palestiniens, les gens souffrent des conséquences. Et la responsabilité de leurs malheurs est rejetée sur… Israël !
Si la désolation et la misère règnent dans certains quartiers de Gaza, où s’agglutinent des centaines de milliers de Gazaouis, manipulables à souhait, les dirigeants du Hamas eux privilégient les quartiers hyper luxueux, occupent des villas de rêve dotées de tous les conforts et logent dans les hôtels 5 étoiles lors de leurs déplacements à l’étranger.
La devise des leaders palestiniens peut se résumer à ces trois mots : ‘devenir rapidement riche’ et ce n’est pas la honte qui les submerge.
Ces informations devraient être relayées par la presse officielle, or c’est l’omerta ! Cela pourrait ternir l’image de ces preux djihadistes, qui s’enrichissent sur le dos des ‘opprimés’, tout en les incitant à verser leur sang et celui de leurs enfants pour la noble cause, tandis que leurs propres enfants sont à l’abri dans le luxe.
C’est évidemment plus politiquement correct de publier les images d’arabo-palestiniens en colère brûlant les drapeaux israéliens et les mises en scène de Pallywood la désinformation dans le seul but d’attiser la haine anti-Israélienne et anti-juive du monde musulman devrait être considérée comme un crime
En outre, exposer cette corruption finirait par mitiger la fureur et la colère des Arabo-Palestiniens envers Israël et USA et là n’est pas le but des médias mainstream, ni l’objectif de l’UE, encore moins celui des leaders palestiniens. Si ces derniers ont un intérêt personnel à maintenir le peuple dans la misère, quel est celui des dirigeants de l’UE ? A justifier leur détestation à peine voilée d’Israël ? Toujours si prompts à verser une petite larme lors de la commémoration de l’Holocauste, ils s’insurgent pourtant très mollement contre la résurgence de l’antisémitisme musulman en Occident, favorisé par leur folle politique d’importation en masse de musulmans du tiers monde.
Le manque de transparence, les opportunistes hypocrites, qui se servent de ce conflit pour réaliser leurs objectifs secrets et s’enrichir, les médias officiels totalement biaisés, les missions diplomatiques inefficaces, tout cela contribue également à ce que ce conflit perdure ad vitam aeternam.
Déplacer l’ambassade américaine à Jérusalem est la meilleure décision jamais prise par un président américain, car elle va mettre à nu une réalité pourrie et peut-être empêcher les opportunistes hypocrites de perpétuer ce conflit, qui sert avant tout leurs propres intérêts.
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Sources :
‘Imam e comunisti alleati: sfila l’odio per Usa e Israele’ (Il Giornale.it)
‘Gaza’s Millionaires and Billionaires – How Hamas leaders got rich quickly’ (The Allgemeiner)
‘The Palestinian kleptocracy: West accepts corruption, people suffer the consequences.’ (The Hill)
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