mardi 26 décembre 2017

Les actions les plus diaboliques de l’ONU en 2017...


Sans le travail de UN Watch, une ONG missionnée pour surveiller l’ONU, personne ne connaîtrait la profondeur de la corruption morale de l’Organisation des Nations Unies. Sans Dreuz.info, personne dans le monde francophone ne connaîtrait le travail remarquable et essentiel d’UN Watch : ils sont tout simplement bannis des médias, leurs rapports ne sont jamais repris, jamais mentionnés, car ils dénoncent les pires régimes et les dictatures que les journalistes ont choisi de révérer.

Voici la liste des actions les plus diaboliques commises par l’ONU en 2017 relevées par Hiller Neuer, le directeur de UN Watch :
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10. Réfutation de la crise alimentaire organisée par le gouvernement du Vénézuela

Lors de la toute première visite de l’ONU au Venezuela, Alfred de Zayas, l' »Expert indépendant pour la promotion d’un ordre international démocratique et équitable », soutenu par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU et soutenu par Cuba, a publié des photos de propagande pour nier la faim généralisée causée par les politiques ratées du régime communiste.
Après que UN Watch ait révélé l’infâme mensonge – en vérité, les hôpitaux vénézuéliens sont remplis d’enfants affamés – le responsable de l’ONU auteur du mensonge a été poussé à supprimer son rapport de son blog et son tweet.

9. Quand les renards gardent le poulailler

L’ONU a élu le Qatar (qui emploie des esclaves), le Pakistan (qui condamne à mort les « blasphémateurs » chrétiens), la République démocratique du Congo (rendu coupable de viol collectif comme arme de guerre), l’Afghanistan (coupable de graves abus des droits des femmes) et l’Angola (régime corrompu et oppressif) au Conseil des droits de l’homme pour un mandat de 3 ans à compter de janvier 2018. L’Arabie saoudite, la Chine, Cuba et le Venezuela comptent déjà parmi leurs membres actuels.

8. Mugabe nommé ambassadeur itinérant

En octobre, l’Organisation mondiale de la santé des Nations Unies a nommé le dictateur du Zimbabwe Robert Mugabe « ambassadeur itinérant ».
Les protestations d’UN Watch ont fait scandale dans le monde entier, provoquant un déluge de reportages dans les médias (CNN, Washington Post, Newsweek et 140 autres agences de presse). Grâce à UN Watch, des États donateurs, dont les États-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada, ont protesté, et le dictateur a été récusé.
Un mois plus tard, Mugabe fut renversé – mais pas grâce aux Nations Unies qui ne cherchaient qu’à le légitimer.

7. Faire de Poutine la victime

L’expert des Nations unies Idriss Jazairy, ancien diplomate algérien, a publié un rapport concluant de façon stupéfiante que la Russie était victime de violations des droits de l’homme – dues, a-t-il dit, aux « mesures coercitives unilatérales » des États-Unis et de l’UE.
Hillel Neuer, de UN Watch, a pris la parole au Conseil des droits de l’homme pour remettre en question l’éthique de Jazairy.
Pourquoi ?
L’honorable expert a récemment accepté 50 000 dollars de la Russie !
Jazairy s’en est pris à UN Watch, et a nié toute influence.
L’histoire a été rapportée dans le monde entier par AP, The Independent et Radio Free Europe.

6. Harcèlement du bureau des droits de l’homme de l’ONU contre une de ses employées

Le bureau du conseil a exercé des représailles contre Emma Reilly, une employée du Conseil des droit de l’homme, après qu’elle eut tenté d’empêcher la remise à la Chine des noms de dissidents qui devaient assister à une session du Conseil des droits de l’homme.
Dans un autre dossier, une ONG indépendante a également demandé que le prince Zeid al-Hussein, directeur des droits de l’homme des Nations unies, soit suspendu et placé sous le coup d’une enquête pour les mauvais traitements infligés à des dénonciateurs tels qu’Anders Kompass, qui a tenté d’empêcher le viol d’enfants par des casques bleus en République centrafricaine, et Miranda Brown, qui a exposé le transfert illégal, par l’ONU, d’ordinateurs et de firewalls américains à la Corée du Nord.

5. La Syrie génocidaire récompensée

L’ONU a élu le régime génocidaire syrien à un poste de haut niveau au sein d’un comité de décolonisation chargé de s’opposer à « l’asservissement, la domination et l’exploitation » des peuples. La victoire de cette propagande fut évidemment rapidement claironnée par le régime d’Assad.

4. Hommage à l’agent de Kadhafi

En mars, la séance d’ouverture du Conseil des droits de l’homme de l’ONU a donné un poste honorifique à son membre du Comité consultatif, Jean Ziegler, co-fondateur et récipiendaire en 2002 du « Prix Muammar Kadhafi des droits de l’homme ».
Deux semaines plus tard, Eric Tistounet, haut fonctionnaire du Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, s’est joint à un panel pour saluer Ziegler en tant que grand « intellectuel ».
UN Watch a protesté dans une lettre détaillée qui documentait le bilan abject de Ziegler en faveur de régimes meurtriers.
Le directeur exécutif Hillel Neuer a pris la parole au Conseil pour lancer un défi à M. Ziegler :
« J’ai une question à poser au membre du jury qui, en 1989, a cofondé le Prix Mummar Kadhafi des droits de l’homme et qui s’est rendu à Tripoli, en Libye, le 29 septembre 2002, pour remporter lui-même ce prix. 
Étant donné que ce Conseil a fini par renverser sa position sur le régime Kadhafi et a suspendu la Libye en 2011 pour ses abus flagrants et systématiques, regrettez-vous vos actions ?
Les médias suisses ont rapporté que le prix vous a rapporté 100 000 francs suisses.
Voudriez-vous rendre ces fonds au peuple libyen ? »

3. En novembre, l’UNESCO a élu la Turquie à son conseil exécutif

A peine un an après que le président Erodgan eut expulsé 100 000 enseignants, doyens d’universités, universitaires, juges et autres fonctionnaires. Après les persécutions de journalistes courageux, comme Can Dundar et Yavuz Baydar, la Turquie va désormais être juge de la liberté de la presse pour l’ONU. La propagande turque a bien entendu célébré cette victoire, comme le rapporte UN Watch.

2. La galerie infâme

En septembre, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a réuni le plus méprisable panel de présentateurs de toute son histoire, dont la présence fut légitimée par le discours d’un ancien haut fonctionnaire de Human Rights Watch. Ils ont parlé des « mesures coercitives unilatérales », c’est-à-dire pourquoi les sanctions occidentales contre des régimes oppressifs comme la Russie, le Soudan ou le Venezuela sont pour eux illégales.
De gauche à droite:
  • Jean Ziegler, un conseiller du CDH qui a fondé et remporté le prix Kadhafi, a utilisé son poste pour défendre ouvertement le régime de Maduro et attaquer les prisonniers politiques de Vénézuela.
  • Idriss Jazairy, le diplomate algérien qui est le plus grand ennemi des experts légitimes des droits de l’homme des Nations Unies.
  • Peggy Hicks, représentante du Haut Commissaire Zeid al-Hussein et ancienne représentante de l’ONU.
  • Jorge Valero, ambassadeur du régime oppressif de Maduro et modérateur officiel du panel.
  • Alena Douhan, une universitaire biélorusse douée d’un faible pour la Russie, dont le doctorat portait sur le principe de la « non-ingérence » dans les « affaires intérieures » des pays.
  • et Alfred de Zayas, expert du CDH dont l’histoire révisionniste de la Seconde Guerre mondiale en a fait un héros des négationnistes de l’Holocauste.
UN Watch a été la seule voix aux Nations Unies à prendre la parole, au Conseil et à l’extérieur, pour contester cette perversion des droits de l’homme.

1. L’Arabie saoudite, élue à la Commission des droits des femmes de l’ONU

En avril, le Conseil économique et social des 54 nations a élu l’Arabie saoudite à la Commission des droits des femmes de l’ONU, malgré son assujettissement horrible aux femmes.
Le rapport d’UN Watch est devenu complètement viral, cité sur CNN, Newsweek et dans les principaux occidentaux – et même dans Teen Vogue.
Lorsque UN Watch a également révélé qu’au moins cinq États de l’Union européenne avaient voté pour les Saoudiens, un scandale majeur a éclaté en Belgique – le Premier ministre a été contraint d’admettre son vote immoral et il s’est excusé – et des controverses ont éclaté dans les parlements et les médias irlandais, norvégiens et suédois.
Source : https://www.unwatch.org/en/
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