Ces derniers jours sont particulièrement porteurs de Brah’a, d’abord avec la venue du mois de kislev, source de lumière, et en même temps avec l’arrivée de celle qu’on espérait tant, la pluie.
Tout pour nous maintenir en forme, jeunes et partants. Comme l’a si bien décrit le Rav Daniel Epstein, citant rabbi Nahman: »Il est interdit d’être vieux ». A nous de savoir renouveler notre regard, d’être à l’écoute des autres, des changements qui se passent autour de nous.
Au niveau international aussi, on est obligé d’être très attentifs. Les Etats-Unis semblent prêts à tout renverser pour aboutir à une solution négociée dans la région. On ne peut pas leur reprocher de vouloir notre bien, surtout quand ils affirment ne vouloir expulser aucun Juif de sa maison et surtout ne pas diviser Jérusalem. Notre premier ministre, entre deux enquêtes sur les cigares ou sur le champagne, semble satisfait des propositions de son ami Trump. A vrai dire, ravi ou pas, Israël doit se montrer consentant aux propositions de »paix », de règlement du conflit. Ce qui arrive toujours, on le sait, on le vit depuis 70 ans bientôt, est que l’autre camp, celui d’Abou Mazen et son équipe de choc, s’apprête déjà à dire non. C’est pourquoi le gouvernement actuel ne va pas encore tomber, même si on parle ouvertement de deux Etats, même de trois avec Gaza …
La grande nouvelle aussi, c’est bien sûr ce rapprochement presque surréaliste entre Jérusalem et Ryad. Les ennemis de nos ennemis vont-ils devenir nos amis ? Quand l’adversaire représente une menace nucléaire, il semble plus aisé de s’unir et de se comprendre. L’avant-garde en Arabie Saoudite est bien plus attirée par la High Tech que par la guerre. Mais l’Iran, comme dans toutes les séries à suspens, est là pour mettre son nez dans chaque histoire et empêcher le happy end. Le trio Bibi-Donald-Salman réussira-t-il ce pari osé de renverser la vapeur, en neutralisant les Ayatollahs et en normalisant enfin les relations avec Israël ?
Le monde serait bien plus gai si les conflits entre le Qatar et l’Arabie saoudite, par exemple, se résumaient juste à cette vente d’un « Salvator Mundi », peint par Léonard de Vinci qui a été vendu ce mois-ci pour la somme record de 450 millions de dollars.
Pensez à bien conserver vos œuvres d’art, car ce tableau, ne valait que 126 dollars il y a près de 60 ans…
Si quelqu’un parmi vous détient un tableau de quatre femmes, inconnues à l’époque: ‘’Les femmes de Jacob’’, qu’il ne s’empresse pas de le vendre. C’est une valeur montante incalculable…gardez-le!
Ne ratez pas la semaine prochaine votre P’tit Hebdo 826 ! Nous recevrons toute la famille de Haïm Victor Belichat, ainsi que Tsofit Grant, de l’émission ‘’Avoudim’’, pour un moment magique!
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