L’horreur au tribunal. Ce mardi s’est ouvert, devant la cour d’assises des Yvelines, à Versailles, le procès de Mustapha B. pour le meurtre de sa compagne, accompagné de viol, d’actes de torture et de barbarie.
Une épreuve difficilement soutenable pour la famille et les proches de la victime, tuée dans la nuit du samedi au dimanche 22 juillet 2012 à Mantes-la-Jolie, et qui ont dû entendre une fois de plus le récit et revoir les images d’un meurtre d’une violence extrême.
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« J’ai trente-quatre ans de police, dont treize de brigade criminelle, mais je n’avais jamais vu ça », a indiqué en début d’après-midi l’ancien chef du district de Mantes-la-Jolie qui est revenu sur la scène de crime qu’il a découvert le 24 juillet 2012. « La victime était quelqu’un de petit et chenu mais là c’était juste une plaie. C’est un crime d’une violence inouïe ».
Ce soir-là, l’accusé dit être « devenu enragé » quand, après être rentré chez lui, sa femme lui aurait dit avoir été victime de viol par plusieurs individus. Il se saisit alors d’un câble Ethernet pour fouetter la victime à de nombreuses reprises, alors que les quatre enfants, âgés de 1 à 6 ans, se trouvaient au domicile. Il la transporte ensuite dans une autre pièce et continue de la frapper avec une ceinture en cuir cette fois-ci. Puis Mustapha B. aurait procédé à une relation sexuelle non consentie avec la victime après lui avoir infligé tous ces coups.
Sur son corps, le médecin légiste relèvera 81 hématomes et ecchymoses ainsi que sept côtes cassées. « Les lésions sont impressionnantes mais n’ont pas entraîné la mort », indique l’expert médico-légal à la barre. Selon le rapport d’autopsie, la victime est décédée à la suite d’une asphyxie sans que son origine exacte ait pu être déterminée.
Et les féministes resteront silencieuses, car elles arrêtent leur combat aux blancs et refusent de défendre la femme arabe, la plus maltraitée, car elles sont de gauche, et à gauche, les victimes sont désignées selon le gain politique qu’elles représentent. Et attaquer l’islam n’apporte aucun gain politique – pour l’instant.
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