Notre bonne-vieille Madame Soleil peut avoir disparu, ce n’est plus un problème ! Elle est avantageusement remplacée par un important groupe de savants venus de partout, toutes disciplines confondues, réunis comme chaque année depuis 2005, pour « La nuit Européenne des Chercheurs ».
Et ce sont ces scientifiques, forts sympathiques au demeurant, qui vous invitent à les rejoindre le mardi 19 septembre 2017 dans quelques 300 villes d’Europe mais aussi sur le campus de l’Université de Tel-Aviv pour débattre du sujet de cette année : « L’Humanité en 2050 » !
Avant de se transporter dans le futur, un peu de présent : Ce choix n’est pas innocent qui se propose d’envisager quelles seront les préoccupations de tout un chacun dans un avenir proche mais aussi quelles pourraient en être les répercutions pour surtout ne pas se laisser prendre de vitesse.
Et un peu de passé : Il n’y a aucune bonne-mauvaise raison pour que cette soirée ne remporte pas un succès identique à celui de l’an passé, une « réunion de folie » avec plus de 10.000 visiteurs venus sur le campus en curieux pour participer à des ateliers-démonstrations, des conférences et des activités expérimentales diverses et variées…
« La Nuit des Chercheurs, (nous expliquent ses gentils organisateurs), est une initiative de l’Union européenne qui vise à permettre à tous ceux qui s’intéressent aux études enseignées dans les universités et les instituts de recherche de s’y (re)plonger ne serait-ce que pour un soir.
Offrir à ces profanes-volontaires de goûter au plaisir d’une rencontre non formelle… La plus simple qui soit avec « l’homme de l’art ».
Trois petits tours pour s’en revenir à demain :
L’Université de Tel Aviv en sa vision prospective s’interrogera de cette façon :
- Comment se déroulera la vie à Tel Aviv dans un avenir relativement proche ?
- Le paysage du futur sera-t-il différent de celui que nous connaissons ?
- A quoi ressemblera notre ville, et l’humanité en général, en 2050 ?…
Voilà qui est passionnant…
Et vous et moi de nous promener gratuitement sur le campus et rêvasser, visiteur beaucoup plus béotien que syncrétique, à ce qu’aurait pu être notre destin si la vie en avait décidé autrement…
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