samedi 18 juin 2016

Après le massacre d’Orlando, Obama déclare l’islam sacré et irréprochable.....


En refusant de nommer l’ennemi, le président Obama favorise l’avancée d’une nouvelle version de « l’Edit de Milan » – beaucoup moins favorable aux Chrétiens, et plus proche du Pacte d’Omar – garantissant l’octroi d’un statut privilégié aux musulmans et à l’Islam, non seulement sur tous les autres groupes et religions, mais également sur l’Amérique…

En 2013, Barack Hussein Obama prêta serment pour un second mandat présidentiel.
Or 2013 fut aussi l’année du 1700e anniversaire de l’Edit de Milan.
L’Edit de Milan, promulgué par les empereurs Constantin Ier et Licinius en 313, était un édit de tolérance, grâce auquel chacun allait désormais pouvoir « adorer à sa manière la divinité qui se trouve dans le cielˮ. Cet édit de la tolérance accorda la liberté de culte à toutes les religions et permit aux chrétiens de ne plus devoir vénérer l’empereur comme un dieu.
L’Edit de Milan revêtit explicitement une importance universelle dans l’Empire, car il fut conclu à Milan en 313 après J.-C. par l’Empereur Constantin, maître incontesté de l’empire d’Occident et Licinus, l’empereur d’Orient.
Moins de 80 ans plus tard, en 380 après J.-C., le christianisme devint la religion officielle de l’Empire romain sous Théodose 1er (gardez cela à l’esprit, vous les jeunes, quand en 2050 vous commencerez à entendre des discours proposant de faire de l’islam la religion des USA, après la capitulation de l’Europe en 2025 -Ralph Sidway)
L’Edit de Milan protégeait les droits des Chrétiens à pratiquer librement leur culte, à construire des églises et prévoyait la restitution des biens confisqués aux Chrétiens à leurs propriétaires légitimes.
Dans l’islam, le pacte d’Omar (1) est, en quelque sorte, la version opposée de l’Edit de Milan. Il interdit aux Chrétiens tout signe extérieur de leur foi, de construire de nouvelles églises, de réparer les anciennes, il exige le paiement de la jizya, et fait des Chrétiens des dhimmis, des citoyens de seconde ou tierce zone. Toutes ces interdictions et humiliations visaient et visent à saper la volonté et le dynamisme de la population chrétienne sous domination islamique.
L’islam débuta avec Mahomet et le coran fut codifié plus tard par le calife Omar. Il offrait aux Chrétiens conquis trois choix :
  1. renier le Christ et se convertir à l’islam et
  2. s’ils refusaient, ils devenaient des citoyens de seconde zone et devaient payer l’impôt de capitation, la jizya ;
  3. s’ils n’acceptaient pas le statut de dhimmi, ils étaient alors passible de la peine de mort, conformément au coran et aux hadiths : Coran 9 :29 Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés . ..
Ainsi, le Pacte d’Omar, imposant l’avilissement aux Chrétiens tombés sous le joug musulman, abrogea l’Edit de Milan et leur nia leurs droits conférés par l’Empire romain.
Partout où l’islam s’imposa – par l’épée – du Levant christianisé à l’Afrique du Nord et de la péninsule ibérique au 7e siècle, à Constantinople, des Balkans à l’Asie centrale à l’époque ottomane, cette révocation de l’Edit de Milan fut appliquée avec force et violence par les musulmans aux Chrétiens asservis.
Ce fut seulement au 19e siècle, lors de la montée des grandes puissances européennes, que la domination de l’islam fut ébranlée, avant d’être éventuellement anéantie.
L’Empire ottoman fut sommé par la Grande Bretagne, la France et la Russie d’accorder l’égalité des droits aux Chrétiens dans les Balkans, ce qui n’empêcha pas les Turcs musulmans de commettre le génocide d’environ 4 millions de Chrétiens entre 1894 et 1923.
Dans son livre Crucified Again*, Raymond Ibrahim explique comment, à partir du XIXe siècle et pendant plus de cent ans, la domination occidentale avait réussi à rétablir certains droits pour les Chrétiens en terre d’islam.
Aujourd’hui, avec la montée violente des mouvements islamistes, comme l’EI, les Frères musulmans, le wahhabisme, la salafisme, Al-Qaïda, Al-Nusra, Boko Haram, Al-shabaab, le Hamas, l’Autorité palestinienne, le Hezbollah et autres sinistres organisations islamistes, nous assistons à l’extermination sous nos yeux des Chrétiens dans leurs terres ancestrales.
Même si les administrations américaines se sont, depuis des décennies, de manière bien mal avisée, rangées du côté de certains régimes extrémistes musulmans pour atteindre divers objectifs de politique étrangère, c’est seulement sous la présidence de Barack Hussein Obama qu’une politique explicitement pro-islamiste a été ouvertement adoptée.
Du soutien ouvertement affiché d’Obama aux Frères musulmans, dès le début de son premier mandat et lors de leur prise de pouvoir en Egypte, à l’inclusion de Frères musulmans dans son administration, et à son appui militaire direct aux factions liées à Al-Qaïda en Libye et en Syrie, ce qui permit la montée de l’EI, le désastreux président américain a accompli un changement drastique dans la politique étrangère américaine, loin des valeurs qui embrassent les droits de l’Homme, le pluralisme et la liberté religieuse pour tous.
Il s’est éloigné de ces concepts occidentaux qui dérivent directement des principes chrétiens de la tolérance, du respect, de l’amour du prochain, pour s’acheminer vers une idéologie qui exalte les forces du mal, la persécution et la soif de sang.
L’un des exemples les plus accablants de cette nouvelle alliance américaine – sous l’ère Obama – avec les forces du mal fut donné par le Secrétaire d’Etat John Kerry, quand il mit en garde le gouvernement nigérian de ne pas empiéter sur les droits de l’Homme du groupe terroriste islamiste sanguinaire de Boko Haram, devenu l’allié de l’EI.
De même, l’administration Obama accorde ouvertement un traitement préférentiel aux réfugiés musulmans, tout en claquant la porte aux réfugiés chrétiens, fuyant la persécution génocidaire de l’Etat islamique.
Bien au-delà des alliances temporaires et opportunistes des administrations américaines précédentes avec des mouvements extrémistes islamiques, Obama cimente son soutien aux islamistes en appelant à respecter leurs droits fondamentaux. Mais contrairement à la notion libérale occidentale des droits de l’Homme (mes droits s’arrêtent là où commencent les droits de l’autre) les droits des islamistes supplantent toujours les droits des non musulmans partout dans le monde. D’ailleurs ils ne se privent pas de le rappeler clairement.
L’Etat Islamique, les Frères musulmans, les Wahhabites, les Salafistes ou Al-Qaïda poursuivent tous le même objectif : l’instauration d’un califat mondial, régi par la seule loi d’Allah, la charia, où le Pacte d’Omar sera scrupuleusement appliqué aux Chrétiens. Ainsi, les derniers vestiges de l’Edit de Milan seront définitivement balayés. Le soutien d’Obama à ces groupes islamistes, qu’il soit secret ou public, revient à appuyer leurs objectifs suprématistes et liberticides.
Le plaidoyer constant d’Obama pour l’islam et le statut privilégié accordé aux « refugiés » musulmans au détriment des Chrétiens persécutés représente un virage sans précédent dans l’histoire de l’Occident.
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En effet, comme Todd Starnes a récemment fait remarquer :
« Ces huit dernières années, ce président a été plus un apologiste en chef de l’islam, qu’un commandant en chef des Etats-Unis.» (2)
Les observateurs de la géopolitique d’aujourd’hui devraient avoir à l’esprit l’aphorisme du philosophe hispano-américain George Santayana :
ˮ Ceux qui oublient les leçons du passé sont condamnés à les répéter. »
La sympathie croissante de l’empereur Constantin pour le christianisme et sa volonté de le protéger aboutit à l’Edit de Milan en 313 après J.-C et à son élévation au rang de religion d’Etat.
Aujourd’hui, l’empathie d’Obama pour l’islam nous conduit à penser qu’il poursuit un but primordial à ses yeux : l’abrogation de l’Edit de Milan par la condamnation et la destruction du christianisme et l’exaltation de l’islam et des musulmans.
Selon la tradition chrétienne, l’Empereur païen Constantin aurait vu, avant la bataille du pont Milvius sur le Tibre, contre son rival Maxence, une Croix apparaître dans le ciel.
constantinLa nuit même, Jésus lui serait apparu en rêve et lui aurait montré un chrisme flamboyant dans le ciel, formé des lettres grecques Khi (Χ) et Rho (Ρ), (XP), soit les initiales de Christ.
« In hoc signo vinces » lui aurait dit le Christ : « Par ce signe tu vaincras » et le signe était le monogramme grec du Christ, le chrisme.
Bien que païen, Constantin décida de faire apposer ce symbole sur son étendard et sur les boucliers de ses soldats. Ce signe devint depuis l’emblème de la Chrétienté combattante, notamment dans l’Empire romain d’Orient.
Ce qui est troublant dans cette apparition, c’est qu’il s’agit du Christ et non d’une quelconque divinité romaine.
(Cette vision a été rapportée par l’historien chrétien Eusèbe de Césarée dans « Vie de Constantin*ˮ)
in hoc
« Par ce signe tu vaincras. »
Pour les Chrétiens d’aujourd’hui, ce message est pris dans un sens spirituel.
Obama, par contre, quand il voit la Croix, il entend le message : « Conquiers ce signe » !
Vous ne le croyez pas ?
⇒ En avril 2009, la Maison Blanche demanda à l’Université catholique romaine de Georgetown de recouvrir la Croix et le monogramme « IHS » du nom de Jésus avant l’arrivée d’Obama, invité à y faire un discours. Pour un soi disant chrétien, cette demande fut pour le moins étrange !
IHS
Par contre, lors de sa première visite, en tant que Président, d’une mosquée à Baltimore dirigée par un imam homophobe, Obama tint son discours fièrement entouré de versets coraniques en arabe … Pour un musulman, rien de plus normal…
Par ses paroles, sa politique, et le biais d’évènements hautement symboliques, Obama a prouvé qu’il cherche avant tout à remplacer la Croix par la calligraphie d’Allah.
En refusant de nommer l’ennemi – l’islam et le jihad islamique – Obama révèle ses véritables sympathies. A se demander si sa mission n’était pas de contribuer, grâce à sa fonction présidentielle, à l’islamisation de l’Amérique et à la destruction du christianisme. Le désastre Obama, c’est peut-être aussi cela ! (3)
islamic attacks
(1)Le Pacte d’Omar, ainsi nommé d’après le deuxième calife Omar bin al-Khattab (r. 634-644), stipule les conditions de soumission des non musulmans à l’autorité islamique. Il s’agit d’une législation très dure, qui concerne en premier lieu les Juifs et les Chrétiens, et qui fixe, à l’instar des organisations mafieuse, les conditions de soumission ou de protection des non musulmans en terre d’islam ou en terre conquise par l’islam.
Islam, « religion » de tolérance, de justice, de paix ? La bonne blague…
Si les Musulmans devenaient majoritaires en Occident, les occidentaux seraient soumis aux conditions du Pacte d’Omar. Les Chrétiens, les Juifs, les non Musulmans devront alors soit se plier aux règles islamiques de la dhimmitude, soit être tués.
Voici le texte du pacte de dhimmitude, tel qu’il apparaît dans Ibn Qayyim Al-Jawziyya :
Après la conquête de la Grande Syrie par les Musulmans, le calife Omar ibn Al-Khattab fixa les conditions de « dhimmitude » suivantes à l’attention des chrétiens :
  • Ils ne doivent pas construire de nouveaux monastères, églises ou cellules de moines dans leurs villes et leurs alentours ;
  • Ils ne doivent pas rénover les bâtiments délabrés, ni reconstruire les bâtiments détruits, qui étaient érigés dans les quartiers musulmans ;
  • Ils doivent accueillir et offrir l’hospitalité à tout musulman qui le souhaite et le nourrir pendant trois jours ;
  • Ils ne doivent pas héberger des espions, car cela reviendrait à collaborer avec les ennemis des Musulmans ;
  • Ils doivent dénoncer tout acte de trahison envers les Musulmans ;
  • Ils ne doivent pas enseigner le coran à leurs enfants ;
  • Ils ne doivent pas montrer des symboles religieux en public, (bibles, croix) ni faire du prosélytisme ;
  • Ils ne doivent pas empêcher les membres de leurs familles de se convertir à l’islam, s’ils le demandent ;
  • Ils doivent faire preuve de déférence envers les Musulmans ;
  • Ils doivent céder leurs places assises aux Musulmans qui souhaitent s’asseoir ;
  • Ils doivent se différencier des Musulmans par leurs tenues vestimentaires ;
  • Ils ne doivent pas porter de noms musulmans ;
  • Ils ne doivent pas conduire sur une selle ;
  • Ils ne doivent pas porter d’épée, ni détenir aucune autre arme ;
  • Ne pas garder de cochons ou vendre de la viande de porc dans le voisinage des musulmans ;
  • Ils ne doivent pas vendre de vin ;
  • Ils ne doivent pas se couper court la frange ;
  • Ils doivent se revêtir de leur habit chrétien où qu’ils se trouvent ;
  • Ils doivent se ceindre la taille d’une écharpe ;
  • 

Ils ne doivent pas porter de crucifix ou l’un de leurs livres saints sur le chemin des Musulmans ;
  • Ils ne doivent pas enterrer leurs morts à proximité des Musulmans ;
  • Ils ne peuvent faire sonner leurs cloches que doucement ;
  • Ils ne doivent pas lire à haute voix dans leurs églises, si des Musulmans se trouvent à proximité ;
  • Ils ne doivent pas porter de rameaux le dimanche des rameaux ;
  • Ils ne doivent pas se lamenter ou exprimer leur chagrin à haute voix pendant le deuil, ni porter des flammes pendant les funérailles ;
  • Ils ne peuvent pas acheter des esclaves capturés par les musulmans en temps de guerre ;
  • Ils ne peuvent pas construire de maisons plus hautes que celles des Musulmans ;
  • Ils doivent mener les affaires selon la loi musulmane : les Musulmans doivent demeurer la partie dominante ;
  • Ne pas battre les Musulmans.
Si l’une de ces conditions n’était pas respectée, le Pacte serait rompu et les Chrétiens reprendraient leur statut d’infidèles non soumis, ennemis de l’islam, et pourraient dès lors être tués.
Le Pacte d’Omar est loin de n’être qu’un texte historique ou théorique révolu. Il revient hanter l’esprit des organisations islamistes, et les Chrétiens des villes occupées par les islamistes en font l’amère expérience.
Il est dès lors aisé de comprendre pourquoi, dans le monde islamique, les Chrétiens sont attaqués, leurs église bombardées, incendiées, le permis de reconstruire et de rénover refusé, leurs bibles, leurs croix et autres symboles du « polythéisme » confisqués ou détruits ; pourquoi les Chrétiens, qui parlent publiquement du christianisme sont accusés de prosélytisme et de blasphème, crimes passibles de prison ou de la peine de mort, et pourquoi les chrétiens sont obligés de payer un impôt ou se convertir à l’islam ou mourir.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
(2) Starnes, Fox News : More an apologist for islam than a president – The Dispatch.
(3) “Obama’s Post-Orlando Tirade: Islam is Sacred and Beyond Reproach” by Ralph Siday (traduit et adapté par Rosaly)
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1 commentaire:

  1. Vraiment un ramassis de mensonge se document(texte) que vous avez publiez!?
    Aujourd'hui nous sommes en 2017 et qui a combattue les terroristes outils des puissances US SIONISTE ET LEUR SUIVEURS LES GOUVERNEMENT EUROPÉEN......PS/DE LA PAR D'UN CHIITE QUI PROTÈGE TOUTES LES HUMAINS PEUX IMPORTE LEUR RELIGIONS ET COMBAT LES CRIMINEL..POSER VOUS LA QUESTION VIVRE DANS UN MONDE CHIITE!?

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