dimanche 22 août 2010

Barack Hussein, l'Iftar, et le Djihad - par Guy Millière

Edifiant...à lire jusqu'au bout...et vous saurez tout !






Barack Hussein, l'Iftar, et le Djihad - par Guy Millière


14 Août 2010 -


Barack Hussein, vous connaissez : c'est le type qui a voulu sauver un autre Hussein, Saddam Hussein, en s'opposant au changement de régime en Irak. C'est un type qui n'est pas du tout musulman : il a simplement une famille musulmane, à commencer par son père, décédé après avoir abusé de boissons haram (ce qui n'est vraiment pas bien), et en continuant par sa s'ur, son frère, ses multiples demi-frères et demi-s'urs. C'est un type qui n'a que très peu fréquenté l'école coranique : juste deux ans. C'est un type qui n'est pas du tout extrémiste et proche de lectures radicales de l'islam : c'est parce qu'il avait de beaux yeux de biche, et fait du tourisme à Islamabad, que Khalid Abdullah Tariq al-Mansour, anciennement Don Warden au temps où il était membre fondateur du Black Panther Party, gestionnaire des fonds du Prince Alwaleed bin Tatal, a rassemblé les moyens financiers nécessaires pour payer ses études à Harvard. C'est un type qui n'est pas extrémiste pour un sou, pas non plus pour une pièce de 25 cents, mais pour quelques milliers de dollars de plus, cela devient envisageable, et cela lui a même permis de devenir l'un des organisateurs en 1995 de la marche d'un million d'hommes organisée par son ami et voisin Louis Farrakhan, grand admirateur d'Hitler et pourfendeur de hymies (la traduction du mot est dans les dictionnaires). C'est parce qu'il aimait le son de ses prêches qu'il a fréquenté l'église de Jeremiah Wright, devenu Chrétien tendance Che Guevara après avoir quitté The Nation of Islam sans jamais s'en éloigner.


C'est un type qui est devenu Président des Etats-Unis et qui a déjà créé tant de catastrophes diverses dans son pays et sur la planète que la population américaine se demande comment elle va pouvoir s'en débarrasser. C'est un type qui passe son temps, dès qu'il est à l'étranger, à s'excuser d'être Américain et du fait que les Etats-Unis existent encore, mais, ajoute-t-il en privé à ses interlocuteurs, cela ne fait pas même deux ans qu'il est là, et détruire les Etats-Unis, ce n'est pas une tâche facile. C'est un type qui a épousseté le sol devant le roi d'Arabie Saoudite, mais que le roi Saoudite n'apprécie plus autant qu'avant dès lors que Barack Hussein lui fait des infidélités et regarde en direction de Téhéran où un petit Mahmoud barbu semble l'élu de son c'ur : si Mahmoud n'a pas encore répondu à ses avances, Barack Hussein ne désespère pas, et ce n'est pas l'antisémitisme de Mahmoud qui le gène, oh que non. En termes d'antisémitisme, Barack Hussein a déjà tout entendu : non, ce qui le gène, c'est que Mahmoud ne veut pas dire qu'il aime Barack Hussein. Pour autant, Barack Hussein ne désespère pas : James Jones, conseiller à la sécurité nationale de Barack Hussein dit que la rencontre est espérée à l'automne, à New York, à l'ONU, et James Jones est un homme sérieux, un ancien militaire et un participant régulier aux travaux de l'Arab American Leadership Summit. John Brennan, autre conseiller à la sécurité nationale, dont la ville musulmane préférée est al Quds (les non musulmans disent Jerusalem, mais John Brennan ne fait, semble-t-il, pas partie des non musulmans) se chargera des préparatifs.


Barack Hussein a prononcé un beau discours au Caire, à l'université al-Azhar, qui est une dépendance de la mosquée du même nom, et où un certain Ayman al-Zawahiri a appris la prière avant de passer aux travaux pratique au côté de son ami Oussama.


Lui, Barack Hussein, qui avait informé le monde quelques mois plus tôt que les Etats-Unis comptaient cinquante sept Etats, a appris au monde alors que les musulmans avaient tout inventé, sauf, peut-être le fil à couper le beurre, qu'ils avaient construit les plus hauts immeubles des Etats-Unis (sans doute pensait-il au World Trade Center de New York qu'effectivement des musulmans ont achevé le 11 septembre 2001), et qu'Israël était un Etat pratiquant l'apartheid.


Il n'est pas du tout musulman, mais apprécie d'avoir des femmes voilées à la Maison Blanche (il y en a deux pour le moment : Ingrid Mattson et Dalia Mogahed), des musulmans approuvés par le Council on American Islamic Relations responsables de la sécurité intérieure des Etats-Unis (Arif Alikhan et Kareem Shora), et un ambassadeur plénipotentiaire des Etats-Unis musulman lui-même à l'Organisation de la Conférence Islamique (Rashad Husain).


Il n'est pas du tout musulman, mais célèbre les fêtes musulmanes à la Maison Blanche. Le 13 août au soir, il a organisé un iftar à la Maison Blanche : vous ne savez pas ce que c'est ? C'est que vous-même n'êtes pas encore allé à l'école coranique, mais il paraît que la télévision française organise en ce moment des séances de rattrapage. L'iftar est la rupture du jeûne du ramadan.


Pour l'entrée de tous les musulmans du monde dans la période de ramadan, dont les musulmans qui résident à la Maison Blanche, Barack Hussein qui n'est pas du tout musulman et a juste deux prénoms musulmans dont il est très fier, et une prononciation impeccable des prières musulmanes en arabe, a prononcé une allocution dont je ne puis me lasser. Cette fois, il n'a pas parlé de sciences ou d'architecture, mais il a parlé comme s'il voulait être invité sur al Djazira et al Manar. L'islam, donc, dit Barack Hussein, fait avancer la « dignité de tous les êtres humains ». J'ai ajouté à mon dernier article la couverture de Time magazine la semaine dernière. Je dispose de tout un assortiment de photographies de femmes défigurées au couteau ou à l'acide, brûlées vives, lapidées dans divers pays du monde musulman et qui sont toutes des femmes à qui l'islam a incontestablement apporté beaucoup de dignité. J'ai aussi des photographies de femmes et de petites filles excisées, mutilées, et elles aussi beaucoup plus dignes. Et puisqu'il s'agit de tous les êtres humains, il faudrait ajouter la liste de tous ceux à qui on a coupé la tête au couteau de cuisine, de tous ceux qui sont morts déchiquetés dans des bombes de toutes sortes ou qui survivent mutilés. Il faudrait ajouter la liste des trois mille morts du World Trade Center. L'islam a fait avancer la « tolérance » : cela se voit tous les jours en France, ailleurs en Europe, et cela se voit tout particulièrement au Proche-Orient où les gens du Hamas, ceux de l'Autorité Palestinienne ou ceux du Hezbollah sont des tolérants frénétiquement pratiquants qui tolèrent très bien les juifs à condition qu'ils soient morts et qu'on ait pu danser sur leur cadavre. Des danses très pudiques et couvertes de voiles noirs, bien sûr. Et des danses sans musique : les gens du Hamas, en particulier, aiment tellement la musique que lorsqu'ils en entendent dans la bande de Gaza, ils ont des fourmillements dans les doigts, et comme leurs doigts sont sur la détente de mitraillettes, cela aboutit à ce que la musique s'arrête trop vite. L'islam est si tolérant que tous les pays musulmans sont demandeurs de la construction d'église et de synagogues : il n'y a, simplement, pas la place. Le nombre d'habitants au kilomètre carré à Hong Kong semble élevé, mais si vous regardiez l'Arabie Saoudite : il n'y a vraiment pas la place, non, désolé. Le monde musulman est si tolérant que l'Arabie Saoudite et le Liban seraient prêts à accueillir des juifs et des Israéliens sur leur sol, mais, une fois encore, il n'y a pas la place. C'est terrible ce manque de place. Le deuxième livre saint du monde musulman proche-oriental, un livre qui s'appelle en arabe Mon Djihad (ce qui donne Mein Kampf en version allemande) emploie un mot allemand pour définir le manque de place : lebensraum.


Barack Hussein a ajouté que les musulmans ont « toujours fait partie de l'histoire des Etats-Unis ». Après avoir informé le monde que les Etats-Unis avaient cinquante sept Etats, Barack Hussein a sans aucun doute d'autres scoops à sortir de sous la burqa que porte Michelle quand elle ne loue pas des palaces en Espagne et quand elle est dans l'intimité de sa chambre à coucher, au moment où Barack Hussein, qui n'est pas musulman, déroule le tapis de prière, non pas pour prier, mais parce qu'il le trouve joli. Barack Hussein va bientôt nous apprendre que George Washington, Thomas Jefferson et John Adams étaient des convertis et ne sortaient jamais sans leur Coran. Il va nous apprendre que les pilgrim fathers arrivés à l'époque du Mayflower étaient des gens qui se rendaient en pèlerinage à La Mecque et qui ont simplement perdu leur boussole en pleine mer : en arrivant, ils croyaient être en Arabie, et ils ont été très déçus de ne pas trouver la Kaaba. Ils ont voulu construire des mosquées, mais comme ils n'avaient pas de modèle sur place, on a pris cela pour des églises. Le thanksgiving day est sans doute la façon qu'ils avaient de célébrer l'iftar. Et les dindes à l'époque étaient consommées après un abattage halal. C'est pour commencer à remédier à ces erreurs qu'ont commis tous les historiens avant Barack Hussein que Barack Hussein, lorsqu'il doit parler dans une salle où figurent des signes chrétiens, demande à ce qu'ils soient enlevés ou recouverts : il a failli annuler l'an dernier, en avril, un discours à la Georgetown University parce qu'il restait une inscription faisant référence à Jésus au pied de l'estrade.


La soirée d'iftar de Barack Hussein n'aurait pas été complète s'il n'avait pas choisi cette occasion pour dire solennellement qu'il approuvait la construction de la mosquée de Ground Zero. Cela s'est fait en deux temps : Barack Hussein a d'abord dit que Ground Zero était une « terre sacrée ». Il a dit ensuite que les musulmans avaient le droit d'y « construire un lieu de culte ». Sans doute pour y consacrer une grande victoire elle-même « sacrée » : l'assassinat de trois mille personnes sur le sol américain même, et la destruction du plus grand centre d'affaires des Etats-Unis, cela se commémore, et une mosquée, c'est fait pour commémorer. Barack Hussein n'est pas du tout musulman, mais alors là, absolument pas, mais on lui a sans doute dit que les musulmans construisent des mosquées sur les lieux de leur triomphe aux fins de marquer que le territoire concerné n'est plus de l'ordre du dar el harb (territoire de la guerre), mais de celui du dar el islam (territoire de la soumission). On lui a expliqué aussi, sans doute, qu'il y avait le petit djihad (la guerre violente et l'assassinat), et le grand djihad, qui implique de chanter les louanges de l'islam et d'expliquer pourquoi l'islam est exemplaire : Barack Hussein, ce qui est la preuve ultime qu'il n'est absolument pas musulman, favorise partout la pratique du petit djihad (guerrier), en entérine les résultats en entérinant le fait que le Sud de Manhattan puisse devenir dar el Islam, et, par ailleurs, pratique lui-même le grand djihad dès qu'il en a l'occasion.


Les élections de novembre prochain s'annoncent chaque jour plus désastreuses pour les démocrates : on se demande bien pourquoi. Le peuple américain doit être décidément très bête : il ne comprend pas la grandeur de Barack Hussein. On peut même penser que Barack Hussein en pratiquant le grand djihad tout en n'étant pas musulman, a assumé le fait qu'il ne ferait qu'un seul mandat et rentrerait chez lui en janvier 2013. Ce qui lui laisse deux ans et demi pour accomplir sa tâche.


Dans le monde musulman, la cote de popularité de Barack Hussein chute, en ce moment, aussi vite qu'aux Etats-Unis. C'est incompréhensible. Mais je ne doute pas que, lorsqu'il aura quitté la Maison Blanche, lorsqu'on pourra, bien qu'il ne soit pas musulman, l'appeler Hajj Barack Hussein, cela s'arrangera. Il lui suffira pour cela, comme le mot l'indique, de pratiquer le Hajj, le pèlerinage, qui est le cinquième pilier de l'islam, et d'aller égorger un mouton à La Mecque avant de passer à d'autres aventures.


Guy Millière


Barack Hussein Obama II, né le 4 août 1961 à Honolulu, dans l'État d'Hawaï[1], est le 44e et actuel président des États-Unis.


Fils d'un Kényan noir et d'une Américaine blanche du Kansas[2], il est le premier afro-américain ayant accédé à la présidence des États-Unis. Son parcours a suscité chez les électeurs comme dans les médias du monde entier un grand intérêt.


Né à Hawaï, élevé plusieurs années en Indonésie, diplômé de l'Université Columbia et de la Faculté de droit de Harvard, il est, en 1990, le premier Afro-Américain à présider la prestigieuse Harvard Law Review, événement historique dans un pays qui a connu une ségrégation raciale jusque dans les années 1960.


Après avoir été travailleur social, plus spécifiquement « organisateur de communauté » (community organizer en anglais), dans les quartiers sud de Chicago durant les années 1980, puis avocat en droit civil à sa sortie d'Harvard, il enseigne le droit constitutionnel à l'Université de Chicago de 1992 à 2004.


Barack Obama entre en politique en 1996 : il est élu au Sénat de l'Illinois où il effectue trois mandats, de 1997 à 2004. Il connaît l’échec lors de sa candidature à l’investiture du Parti démocrate pour la chambre des représentants en 2000 mais l'obtient en mars 2004 pour le Sénat des États-Unis. Barack Obama se distingue notamment par son opposition précoce à la guerre lancée par George W. Bush en Irak et par le discours qu’il prononce en juillet 2004 lors de la convention démocrate qui désigne John Kerry comme candidat à la présidence, prestation remarquée qui le fait connaître pour la première fois au plan national.


Élu sénateur en novembre 2004, il déclare sa candidature à l’investiture démocrate pour la présidence des États-Unis le 10 février 2007 à Springfield. Il remporte les primaires face à Hillary Clinton et est officiellement désigné candidat lors de la convention de son parti à Denver, le 27 août 2008.


Après avoir remporté avec 52,9 % des voix et 365 grands électeurs, le 4 novembre 2008, l'élection présidentielle contre le républicain John McCain[3], Barack Obama entre en fonction le 20 janvier 2009. Sa présidence intervient dans un contexte de guerre en Irak, de guerre en Afghanistan, de crise au Moyen-Orient, d'importante récession de l'économie américaine et de crise financière et économique mondiale.


Le 9 octobre 2009, il reçoit le prix Nobel de la paix[4].

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