« 5% des femmes en moyenne souffrent de ces fausses couches répétées chaque année » estime le Pr. Bashiri, qui travaille sur la question depuis plus de 15 ans dans le service dédié qu’il dirige à l’hôpital Soroka de Beersheva et qui a obtenu des résultats dans le traitement de ses patientes.
C’est pour faire avancer la recherche dans un domaine plutôt délaissé que le médecin israélien a eu l’idée de ce congrès sur les fausses couches spontanées et répétées, une pathologie pour laquelle il n’a toujours pas été trouvé d’explication systématique.
La deuxième édition de cette rencontre a réuni cette semaine à Cannes des centaines de praticiens du monde entier.
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