Alain Finkielkraut revient sur la figure de Shimon Peres, dressant le bilan de l'action de "l'homme qui ne voulait pas mourir", investi dans la cause du sionisme, cette "croisade désespérée des orphelins d'Europe".
La récente étude de l'institut Montaigne, révélant l'importance de la part des musulmans faisant primer la charia sur la loi républicaine, valide aux yeux de l'académicien l'injonction de Péguy à "dire ce qu'on voit", mais surtout, à "voir ce qu'on voit".
Or, cette maxime n'est pas la plus facile à appliquer chez les sociologues d'Etat...
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