mardi 4 novembre 2014

Les rebelles syriens modérés "protègent" la frontière israélienne....


L'ASL aurait convaincu les forces radicales de se rapprocher de Damas; implosion des partis arabes israéliens
L'armée syrienne libre sur le plateau du Golan tente de pousser les forces d'oppositions au régime d'Assad à s'éloigner de la frontière israélienne afin de combattre les troupes gouvernementales vers Damas, a révélé un membre de l'ASL au Times of Israel dimanche.
Selon l'opposition civile, la nouvelle force de l'Armée syrienne libre unifiée, sous le commandement du général Ibrahim Fahd Al-Nu'aimi, est parvenue à convraincre ses éléments les plus radicaux (incluant des membres du front al-Nosra), de quitter les villages syriens à la frontière israélienne, comme la ville de Ghadir Al-Bustan et Al-Qseibah dans la province de Quneitra. Ces propos n'ont pas pu être vérifiés par le site israélien.
Par ailleurs, selon un général de l'armée israélienne, Tsahal n'hésitera pas à "frapper un village druze syrien frontalier (le village Hader face au village druze israélien de Majdal Shams sur le plateau du Golan) afin de protéger ses soldats", a rapporté dimanche la radio israélienne, à l'aune d'attaques ou de tirs perdus en provenance de Syrie sur le sol israélien.
De surcroît, le conflit syrien a amené les partis arabes israéliens à s'affronter. Le parti Balad (nationaliste arabe), dirigé par des députés arabes anti-sionistes, s'est divisé en deux camps, après que le parti a officiellement retiré son soutien au président syrien Bachar al-Assad. Selon les séparatistes du parti, qui se sont réunis sous la bannière de "Kapach" (lutte) mené par l'ex-député en exil Azmi Bishara, le soutien aux rebelles est motivé par des intérêts étrangers.
"Israël et le Mossad conspirent contre la Syrie", a déclaré un autre soutien aux forces pro-Assad du parti arabe-israélien, fustigeant sévèrement la tenue du partie par les députés Jamal Zahalka et Hanin Zoabi.

2000 morts en 10 mois dans les prisons syriennes

Près de 2.000 personnes sont mortes en dix mois dans les prisons et les centres de détention des services de renseignements syriens, où croupissent plus de 200.000 détenus, a affirmé dimanche une ONG.

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), du 1er janvier au 31 octobre 2014, 1.917 personnes sont mortes dans les geôles du régime, dont 11 femmes et 27 jeunes de moins de 18 ans.

L'ONG précise que les décès sont causés par les conditions déplorables de détention et à cause de la torture qui est pratiquée systématiquement par les autorités en Syrie. En 2013, 2.389 détenus avaient perdu la vie.

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