| C'est dans un sang-froid exceptionnel, que l’officier de sécurité de 28 ans - qui se nomme Yonathan, a demandé que ce soit Bibi lui-même qui avertisse sa mère s’il venait à décéder, et surtout, qu’elle ne l’apprenne pas par téléphone. Par Avraham Azoulay Ce qui s'est passé en Egypte il y a quelques jours pour les 6 Israéliens encerclés, ressemble étrangement - à part la fin miraculeuse- à ce qui s'est déroulé à Ramallah en 2000 pour nos 2 soldats lynchés par une foule de ''pauvres Palestiniens'' lâchés en liberté.
Cette fois ci, grâce à une ultime porte blindée, des pressions diplomatiques sans fin pour les libérer, la ruse, des supplications aux dirigeants égyptiens et américains pour lutter contre ces bêtes enragées, les Juifs sont sortis ''physiquement'' indemnes de l'enfer égyptien. Ce qui est sûr, c’est que si la porte était tombée, nos six soldats ne serait pas morts les bras croisés...
On aurait accusé encore les Juifs de carnage comme sur le Marmara. Demain, le scenario de Ramallah ou d'Itamar peut très bien se reproduire en Turquie ou en Jordanie, mais de grâce, « vous les Juifs, laissez nous rêver...
nous les Européens, nous aimons le printemps et les fleurs, la jeunesse pacifique sur le kikar Tahir à la une de nos journaux. » Les Occidentaux ne sont même plus choqués par la cruauté ambiante, elle fait partie de la ballade romantique. Le vent d'hiver qui commence à souffler, est cautionné et même financé par une sollicitude générale, une lassitude toujours prête à comprendre et effacer les pires exactions engendrées par ces foules hystériques primaires en soi-disant révolution printanière. Dans cette saison de la liberté et de l'amour...
Israël se trouve plus que jamais isolé dans la jungle de loups sanguinaires, mais cela n'est pas le plus grave. L'essentiel, d'abord, c'est de ne pas être l'agneau. Notre intelligence et notre diplomatie semblent être traduites en turc ou en égyptien par de la faiblesse,
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