
Auteur Josiane Coeijmans
Justine, l’hérésie
Depuis des mois de travail acharné,Justine rêve à un congé bien mériter,
elle décide donc de partir au couvent pour un séjour de remise en question, une pause à sa vie et comprendre ses pulsions ,une retraite salvatrice...
Les kilomètres commence à chiffrer au compteur,Justine impatiente d’arriver à destination et prendre ses quartier et se reposer un peu.
La nuit tombe bientôt sur le village et les fards éclaire une énorme bâtisse,là voilà enfin arriver, le couvent St Gertrude est là, dresser devant elle .
Gris et morne et de lierre grimpants la façade non chaleureuse accueil Justine,le perron s’allume
et une sœur l’attend,tandis que d’autres viennent prendre ses bagages et lui montrer sa chambre.
Les règlements lui sont donner,une soupe bien chaude lui est servie et la bonne nuit souhaiter.
Le lendemain à l’aube,les chants résonnent dans l’église et Justine s’éveille en trouvant cela plaisant.
La matinée est faite de prières et de travail,tâches confier afin de là faire méditer,sur l’essentiel
Justine s’exécute avec une moue qui trahis déjà son ennui.
Elle pense que sa retraite va devoir prendre un peu de couleur pour lui plaire.
Alors elle va trouver la sœur supérieur et lui fît part de son désir d’organiser une petite soirée
pour fêter sa bienvenue.
Un peu étonnée de cette demande mais sans sourcillé,la sœur accepte et met à la disposition de Justine ,trois autres sœurs pour mettre en œuvre cela au plutôt.
Justine se frotte les mains et d’un petit chant divin,retourne à ses tâches...
Plus tard dans les couloirs,s’agite le monde qui prépare pour certaine le diner du soir et d’autres la fête qui aura lieu demain soir.
Justine est déjà complice avec les sœurs qui l’aide,des fous rires résonnent dans le monastère
mais il leurs faut faire attention de ne pas se faire surprendre par la mère supérieur,qui est d’un caractère austère et de grise mine,comme lui explique sœur Marie la plus folle dingue de toute.
Marie à déjà été traduite en conseil de discipline mais son tempérament lui joue de mauvais tours.
Justine s’en amuse et voie en elle la complice parfaite pour donner de la couleur à son séjour.
Les heures passent,les tâches se termine et le soir tombe sur le réfectoire ou les sœurs dîne en toute sérénité.
La messe prend place ,ensuite et la bonne nuit les conduisent à leurs chambres.
Justine choisi sa tenu qu’elle portera à la fête,n’ayant pas vraiment de tenue dite sage,elle improvise
avec l’aide du vestiaire de ses sœurs complices.
La nuit noir à posé son manteau sur les chambrées et tout le monde dors,même l’incorrigible Justine
à poser sa tête sur son oreiller sans protester.
Le lendemain,un soleil radieux perce les persiennes,la journée commence comme à l’habitude,les chants résonnent,mais celui de Justine se fait entendre au loin,les couloirs donnant l’écho et déjà elle reçoit des réprimandes
Elle s’incline et la journée s’écoule,prenant garde de ne pas voir la fête du soir annulée,par sanction mériter.
Les heures s’écoulent et Justine se réjouit de voir enfin la fête bientôt commencer.
Elle s’habille d’une tunique religieuse noir sans le voile, qu’elle à évidement arranger à son gout
Une sœur complice lui prête une croix à porter en collier,et de ses talons de soulier vernis et de ses yeux fardé à outrance,elle se rend à la salle ou la fête à débuter.
A son entrée un grand Oh ! de surprise est déclamer
Les sœurs sont choqué de sa tunique fendue ou sa chaire est mise à nue
Justine fît mine de rien et commença les réjouissances en portant un toast à dieu et ses servantes
et ajouta,combien elle les admirent de leurs dévouements.
Mais aussi tôt ,elle mit de la musique traditionnel ,autorisé exceptionnellement pour l’occasion.
Les verres se vide ,les dansent se partage,les sœurs supérieurs prennent congé et vont retrouver leurs quartiers,Tandis que les plus jeunes,les novices,s’amuse et rie de bon cœur.
Justine bien éméchée les invitent à des jeux de rôles pas vraiment catholique et des corps à corps s’en mêle dans des slows langoureux,Les sœurs complices savourent ses délices.
La nuit est bruyante et l’alcool à métamorphosé les religieuses en adeptes de l’orgie,qui à lieux jusqu’à l’aube,les laissant nue sur le sol,complètement ivre d’alcool et de sexe.
Un hurlement fit trembler le couvent,la mère supérieur est scandalisé devant une telle scène,et convoque Justine et ses comparses dans son bureau.
Les réprimandes tombent, les renvoient pleuvent et Justine se voie jeter à la porte du couvent avec cris et mépris.
Elle en rie,encore ivre de ses excès,elle rejoint sa voiture et reprend le chemin vers sa vie de débauche comme lui a souligner la mère en colère.
FIN.
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