Des artéfacts et des légendes permettent de remonter plusieurs siècles en arrière afin de retrouver des peuplades juives en Afrique.
Alors que la tradition nous répète depuis des générations que la communauté juive aurait perdu 10 de ses 12 tribus fondatrices, de nouvelles preuves de leur existence apparaissent. D’ailleurs, ce n’est qu’une question d’années avant que les avancées de la génétique nous permettent à tous de tracer nos filiations sur des milliers d’années jusqu’au grands groupes nomades fondateurs. Les 12 tribus juives seront sans doute dépistées via des marqueurs génétiques spécifiques.
Sans plus attendre, nous disposons déjà de traces historiques avérées de ces peuplades en Afrique. Une organisation basée aux Etats-Unis, Kulanu, s’occupe de retrouver les descendants d’une des dix tribus d’Israël disparues. Le site web de l’actualité de la Section Africaine des Chrétiens Démocrates Fédéraux de Belgique a réalisé un travail intéressant de recherche dans divers pays et nous livre ses découvertes. Ils expliquent que les besoins d’expansion du Royaume d’Israël sous les rois David et son fils Salomon ont permis d’établir des comptoirs en Afrique nubienne, en Afrique du Nord et sur les rivages de l’Océan Indien. D’autres événements comme l’exil babylonien ou l’Inquisition espagnole ont participé à ces implantations surprenantes.
C’est ainsi que l’on retrouve des tribus fondatrices du royaume juif du Touat, dans le Sahara ou les Juifs de Tombouctou et du Mali, datant du 13ème et 14ème siècle. On retrouve les peuples Bayuda (descendants des Judah) au Congo et les Abayudaya en Ouganda. Au Rwanda et au Burundi voisin, les Tutsis se disent également descendants du Royaume de Kush, c’est-à-dire le royaume de la Reine de Saba et de son fils Ménélik-David, né de son union avec le Roi Salomon.
Déjà attestés par les tests génétiques, on retrouve les Juifs de Rusape au Zimbabwe dont la tribu possède effectivement les marqueurs ADN des Kohanim. Pratiquant le Judaïsme adapté depuis des millénaires, personne de les prenait au sérieux, à l’instar des Beta Israel, la tribu éthiopienne enfin reconnue par le rabbinat. Les tests ADN pourraient provoquer un afflux massif d’immigrants descendants des 12 tribus en Israël, au-delà des espérances du Ministère Israélien de l’Immigration.
Alors que la tradition nous répète depuis des générations que la communauté juive aurait perdu 10 de ses 12 tribus fondatrices, de nouvelles preuves de leur existence apparaissent. D’ailleurs, ce n’est qu’une question d’années avant que les avancées de la génétique nous permettent à tous de tracer nos filiations sur des milliers d’années jusqu’au grands groupes nomades fondateurs. Les 12 tribus juives seront sans doute dépistées via des marqueurs génétiques spécifiques.
Sans plus attendre, nous disposons déjà de traces historiques avérées de ces peuplades en Afrique. Une organisation basée aux Etats-Unis, Kulanu, s’occupe de retrouver les descendants d’une des dix tribus d’Israël disparues. Le site web de l’actualité de la Section Africaine des Chrétiens Démocrates Fédéraux de Belgique a réalisé un travail intéressant de recherche dans divers pays et nous livre ses découvertes. Ils expliquent que les besoins d’expansion du Royaume d’Israël sous les rois David et son fils Salomon ont permis d’établir des comptoirs en Afrique nubienne, en Afrique du Nord et sur les rivages de l’Océan Indien. D’autres événements comme l’exil babylonien ou l’Inquisition espagnole ont participé à ces implantations surprenantes.
C’est ainsi que l’on retrouve des tribus fondatrices du royaume juif du Touat, dans le Sahara ou les Juifs de Tombouctou et du Mali, datant du 13ème et 14ème siècle. On retrouve les peuples Bayuda (descendants des Judah) au Congo et les Abayudaya en Ouganda. Au Rwanda et au Burundi voisin, les Tutsis se disent également descendants du Royaume de Kush, c’est-à-dire le royaume de la Reine de Saba et de son fils Ménélik-David, né de son union avec le Roi Salomon.
Déjà attestés par les tests génétiques, on retrouve les Juifs de Rusape au Zimbabwe dont la tribu possède effectivement les marqueurs ADN des Kohanim. Pratiquant le Judaïsme adapté depuis des millénaires, personne de les prenait au sérieux, à l’instar des Beta Israel, la tribu éthiopienne enfin reconnue par le rabbinat. Les tests ADN pourraient provoquer un afflux massif d’immigrants descendants des 12 tribus en Israël, au-delà des espérances du Ministère Israélien de l’Immigration.
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