Elle n’est pas encore en place, mais elle montre déjà le vrai visage de son élection. Elle veut supprimer le « Plan Canal » et on découvre ses accointances avec le part Islam.
Passons sur les anecdotes. Catherine Moureaux se dit victime de « menaces de mort ». Une maladie de famille : déjà, en 2011, son père Philippe Moureaux, sentant vaciller son pouvoir avait ameuté la presse servile pour d’illusoires « menaces de mort » (voir ici).
Sachant très bien qu’elle est l’élue de la population immigrée de Molenbeek et pas celle des Molenbeekois de souche (y compris une partie de la population d’origine maghrébine), Catherine Moureaux nous ressert le même plat. Et avec la même sauce : c’est l’extrême droâââte ! On attend ses preuves, des noms – mais il faudra attendre, car cela fait 7 ans que nos attendons les preuves de Philippe Moureaux. En réalité, cela ne concerne pas le PARTI POPULAIRE, qui n’est pas d’extrême droite.
Autre anecdote : la soudaine résurrection de Philippe Moureaux. Les médias subsidiés l’annonçaient à l’article de la mort ; le voilà miraculeusement ressuscité. Il se répand en interview, comme un jeune socialiste, pimpant, d’attaque, se disant « au septième ciel » (voir ici l’article de la DH). Encore un peu de patience et on transformera son appartement de luxe, à l’avenue des Tamaris, en lieu de pèlerinage. Après les miracles de Beauraing et de Banneux, hosanna à Molenbeek !
1. LE RETOUR DES TERRORISTES. Elle n’en a jamais parlé pendant la campagne électorale. Deux jours après le verdict des urnes, elle tombe le masque : Catherine Moureaux veut démanteler le Plan Canal.
La criminalité dans la zone de police Bruxelles-Ouest a baissé de 14,2% durant le premier semestre de cette année en comparaison avec la même période l’année passée. En 2016, ce taux avait baissé de 3% par rapport à 2015.
Mis en place par les ministres de l’Intérieur (Jan Jambon, N-VA) et de la Justice (Koen Geens, CD&V) en 2015, le plan Canal a porté ses fruits. Selon le bilan établi par Jan Jambon (voir ici le site de l’Intérieur et l’évaluation des résultats), « 87 combattants étrangers ont été suivis dans la zone de Bruxelles-Ouest, dont 15 combattants de retour, 9 qui souhaitaient partir vers les zones de combat et 18 suspectés de vouloir partir. Egalement suivis dans la zone, 5 prédicateurs de haine et 2 ‘home(grown) terrorist fighters‘, ceux qui sont incités à passer à l’acte chez eux plutôt que de partir combattre au Moyen-Orient.(…) Les contrôles administratifs ont abouti à 11.000 maisons contrôlées, 1.539 personnes qui ont fait l’objet d’une admonestation administrative. 1.600 ASBL ont également été contrôlées, dont 113 sont suspectées de faits criminels, 546 font l’objet d’une procédure judiciaire et 133 ont été dissoutes« . (voir les résultats ici).
Dès le 22 février 2016, le PTB de Molenbeek partait en guerre contre le Plan Canal, avec des arguments plus loufoques les uns que les autres. On y parlait de « régime policier », ce qui est assez piquant pour un parti glorifiant la Corée du Nord et le Venezuela… (voir ici la prose du PTB).
Avide de pouvoir, la Moureaux s’empresse de se ranger aux thèses criminelles du PTB, afin d’attirer ce dernier dans une « majorité de progrès » (voir ici les déclarations de Moureaux). Avec des communistes staliniens, on est assuré de foncer vers « le progrès ». Moureaux sacrifie la sécurité des Molenbeekois à sa soif de pouvoir et de prébendes (voir sur Cumuleo ses 5 mandats qui lui assurent de copieux revenus).
Que l’on ne s’y trompe pas : cette annonce est un appel du pied particulièrement lourdingue au PTB, afin qu’il accepte d’entrer dans la « majorité de progrès », alors qu’il se fait désirer actuellement. Mais c’est d’abord une trahison des Molenbeekois qui veulent vivre en paix.
Car il s’agit d’un formidable appel d’air pour tous les terroristes prêts à retrouver leurs pénates à Molenbeek.
2. LA COMPLICITE MOUREAUX/PARTI ISLAM. Une méchante rumeur circule dans les couloirs de la maison communale. Tout le monde a remarqué que le Parti Islam s’est fait très discret pendant la campagne électorale – hormis des effets d’annonce concernant le dépôt de listes qui n’eurent pas lieu. A Molenbeek, Islam n’a pratiquement pas fait campagne. Et pour cause : les candidats Islam ont conseillé à leurs fidèles de voter pour Moureaux. Ce qui est confirmé par la présence des candidats à la fête en rue, ce dimanche soir, lorsque la Moureaux est apparue, seule femme parmi des hordes de barbus.
En compensation à leur forfaiture, les candidats Islam auraient reçu la promesse de la construction d’un méga-mosquée (1.500 à 2.000 places) aux alentours du parc du 
Scheutbos, dont le recteur (afin d’obtenir des subsides, les mosquées se camouflent toujours en « asbl culturelle ») serait choisi parmi les membres du parti Islam.
Scheutbos, dont le recteur (afin d’obtenir des subsides, les mosquées se camouflent toujours en « asbl culturelle ») serait choisi parmi les membres du parti Islam.
Cette complicité Moureaux/Islam n’aurait rien d’extraordinaire, compte-tenu des excellents rapports de la candidate bourgmestre et de son compagnon, Carlo Crespo (PS – directeur du MRAX) avec les islamistes turcs et maghrébins.
3. NEGOCIATIONS DE CHIFFONNIERS. A l’heure où nous écrivons ces lignes (mercredi 17 octobre), les négociations %oureaux/PTB patinent. Une réunion « décisive » devait avoir lieu aujourd’hui : le PTB l’a décommandée.
Moureaux envisage une alternative : une coalition PS/Liste de la Bourgmestre). Problème : Françoise Schepmans aimerait occuper le siège majoral pendant 3 ans, laissant la place à Moureaux, en 2021). Ce qui ne plaît absolument pas à Moureaux, impatiente de faire passer toutes ses mesures scélérates au plus vite – avant que ne faiblisse son étoile, quand son électorat musulman constatera qu’elle ne peut pas tenir ses promesses mirobolantes.
Prudent, Mustapha Er, le porte-parole de Françoise Schepmans, a remis sa démission, ce lundi 15 septembre.
Ola partie de poker menteur que joue Catherine Moureaux présente un aspect positif : elle démontre que l’islam « modéré » n’existe pas. On n’a pas fini d’entendre parler de Molenbeek…
D.K.
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