CLAUDE ASKOLOVITCH TOUCHE LE FOND.
Par D’ Alain Fabre
La Gauche islamo-soluble dans les grandes largeurs. Le rappeur qui veut pendre les Blancs, assassiner les enfants blancs à la crèche, pas de problème, cette Gauche-là en détourne les yeux. Mais si le père d’une jeune femme massacrée au Bataclan ose se comporter autrement que sur le mode requis : passif et résigné, il est conspué, montré du doigt, traité carrément de fasciste.
Par Askolovitch. C’est d’une dégueulasserie sans nom.
Par Askolovitch. C’est d’une dégueulasserie sans nom.

Askolovitch. Claude. Journaliste. En fait, politicien non élu, auto-proclamé conscience nationale.
Il n’a pas perdu sa fille dans des conditions abominables, lui. Il n’a pas entendu le vacarme de souffrance qui montait du Bataclan le 13 novembre 2015, lui. Il est peinard, Claude Askolovitch, bien dans ses charentaises, devant son clavier, trois ans après. Juge et partie, je m’explique : juge d’un homme fracassé mais qui trouve encore la force d’en vouloir à ceux qui l’ont mis à terre, qui l’ont privé d’un irremplaçable amour. Partie d’une besogne infâme d’omerta qui classe chaque jour davantage le plus grand massacre qu’ait connu la France depuis la 2e Guerre mondiale dans la rubrique des faits divers.
Parce que c’est bien cela, le propos : les morts du Bataclan rejoignent, dans la froide statistique du vivre-ensemble établie par les étouffeurs de vérité, les dizaines de Français qui subissent quotidiennement ce genre de violence.
C’est que, pour moi, le pauvre gamin poignardé en 2017 pour un « mauvais » regard était au Bataclan,
le couple ensanglanté pour le refus d’une cigarette, quelque part en province cette année, était au Bataclan,
les juifs torturés, lynchés, défenestrés, traités de sales youpins avant de trépasser, étaient au Bataclan.
Tous, et les autres si nombreux, anonymes, cent fois tués par le silence des médias, réclament, j’en suis sûr, autre chose que la chape de plomb posée sur leurs cercueils par Claude Askolovitch. Alors, ceci, à l’adresse de notre petit Ieng Sary rectifié Le Monde :
« Citoyen Askolovitch, si tu n’es pas qu’un phasme IV enfanté par un quelconque laboratoire post-soixante-huitard, si tu n’es pas le petit salaud cafteur des copains dans la cour de récréation, présente-toi face à monsieur Patrick Jardin qui, lui, ne se planque pas derrière un clavier d’ordinateur. Il t’écoutera, car c’est un homme bien élevé. Confirme-lui oralement que tu trouves condamnable ce que tu penses être de sa part une dérive vers l’extrême droite. Dis-lui les yeux dans les yeux que cette tare monstrueuse qui sommeillait en lui devait se payer un jour et qu’au fond, la mort de sa fille vient quelque part apurer a posteriori ce compte-là. Dis-lui donc, fort logiquement, que lorsque l’on a une certaine propension à côtoyer ce que tu nommes le fascisme, il faut s’attendre à en payer un jour le prix. En conclusion, assène-lui qu’il ne s’en tire finalement pas trop mal, n’ayant pas accompagné sa fille au concert, et que le mieux à faire pour lui est d’aller allumer quelques bougies devant le Bataclan avant de rentrer à la maison et de se brancher sur beIN TV pour regarder le foot. Demande-lui s’il compte le faire. N’oublie pas de sourire, le dominant, c’est toi.

Parce que c’est bien cela, le propos : les morts du Bataclan rejoignent, dans la froide statistique du vivre-ensemble établie par les étouffeurs de vérité, les dizaines de Français qui subissent quotidiennement ce genre de violence.
C’est que, pour moi, le pauvre gamin poignardé en 2017 pour un « mauvais » regard était au Bataclan,
le couple ensanglanté pour le refus d’une cigarette, quelque part en province cette année, était au Bataclan,
les juifs torturés, lynchés, défenestrés, traités de sales youpins avant de trépasser, étaient au Bataclan.
Tous, et les autres si nombreux, anonymes, cent fois tués par le silence des médias, réclament, j’en suis sûr, autre chose que la chape de plomb posée sur leurs cercueils par Claude Askolovitch. Alors, ceci, à l’adresse de notre petit Ieng Sary rectifié Le Monde :

« Citoyen Askolovitch, si tu n’es pas qu’un phasme IV enfanté par un quelconque laboratoire post-soixante-huitard, si tu n’es pas le petit salaud cafteur des copains dans la cour de récréation, présente-toi face à monsieur Patrick Jardin qui, lui, ne se planque pas derrière un clavier d’ordinateur. Il t’écoutera, car c’est un homme bien élevé. Confirme-lui oralement que tu trouves condamnable ce que tu penses être de sa part une dérive vers l’extrême droite. Dis-lui les yeux dans les yeux que cette tare monstrueuse qui sommeillait en lui devait se payer un jour et qu’au fond, la mort de sa fille vient quelque part apurer a posteriori ce compte-là. Dis-lui donc, fort logiquement, que lorsque l’on a une certaine propension à côtoyer ce que tu nommes le fascisme, il faut s’attendre à en payer un jour le prix. En conclusion, assène-lui qu’il ne s’en tire finalement pas trop mal, n’ayant pas accompagné sa fille au concert, et que le mieux à faire pour lui est d’aller allumer quelques bougies devant le Bataclan avant de rentrer à la maison et de se brancher sur beIN TV pour regarder le foot. Demande-lui s’il compte le faire. N’oublie pas de sourire, le dominant, c’est toi.
Jouis de l’instant, Claude Askolovitch, car « la vie est courte et y’en a qu’une » (Léo Ferré). Puis, en ayant terminé avec ta sentence, face à cet homme brisé mais en colère, bien campé sur tes jambes de vieux dragouilleur place Clichy, droit dans tes bottes épargnées par le sang du 13 Novembre 2015, garde si tu peux les yeux ouverts et attends la réponse. Elle viendra vite.
JS
P-S – Qu’est-ce que tu penses de la vidéo qui ouvre cette rubrique, Claude Askolovitch ? Elle te parle ? Elle t’émeut ? Elle te rappelle les photos du Bataclan ? Tu vas en dire un mot ? Pour Le Monde ? Ailleurs ? Ou alors dans cinq ans, comme pour les petites suppliciées de Rotherham et de Telford. Tiens, rien que pour toi, je la repasse. Je pense, moi, que cet homme à terre est cérébralement mort. Il me rappelle Robert Kennedy, frappé à la tête. Et comme l’a dit Malraux, un froid jour de novembre, « regarde ce visage, faux journaliste et vrai médiocre, car c’est aujourd’hui le visage de la France ».
Source :
https://www.facebook.com/merlhin/posts/10218113469936521

JS
P-S – Qu’est-ce que tu penses de la vidéo qui ouvre cette rubrique, Claude Askolovitch ? Elle te parle ? Elle t’émeut ? Elle te rappelle les photos du Bataclan ? Tu vas en dire un mot ? Pour Le Monde ? Ailleurs ? Ou alors dans cinq ans, comme pour les petites suppliciées de Rotherham et de Telford. Tiens, rien que pour toi, je la repasse. Je pense, moi, que cet homme à terre est cérébralement mort. Il me rappelle Robert Kennedy, frappé à la tête. Et comme l’a dit Malraux, un froid jour de novembre, « regarde ce visage, faux journaliste et vrai médiocre, car c’est aujourd’hui le visage de la France ».
Source :
https://www.facebook.com/merlhin/posts/10218113469936521
Claude Askolovitch est un journaliste français né le 18 décembre 1962 à Paris. Il a travaillé dans divers journaux et magazines tels Marianne ou le Nouvel Observateur, où il est grand reporter de 2001 à 2008. Il devient ensuite rédacteur en chef, puis éditorialiste au Journal du dimanche jusqu’en 2012. Il collabore avec divers autres titres, notamment Vanity Fair et Slate.fr.
Au cours de sa carrière, il collabore à plusieurs émissions de radio et de télévision. Il présente actuellement la revue de presse dans la matinale de France Inter et est chroniqueur depuis 2013 pour l’émission 28 minutes sur Arte.
Journaliste sportif à l’origine, il traite aujourd’hui surtout de sujets sociétaux et politiques, avec une inclination particulière pour les controverses d’opinions et les sujets polémiques. Il a notamment été impliqué dans « l’affaire Siné » et « l’affaire Meklat ». Il a écrit plusieurs livres, dont Nos mal aimés dans lequel il regrette le manque de place accordée à l’islam en France des entretiens avec Rachida Dati ou Manuel Valls.
En février 2017, une polémique éclate sur les réseaux sociaux, puis dans la presse, concernant d’anciens tweets racistes, antisémites, homophobes et misogynes de Mehdi Meklat, jeune écrivain à la mode, ancien de France Inter et figure du Bondy Blog. Claude Askolovitch prend la défense de Meklat sur twitter en ces termes: « Un gamin qui tweetait des blagues Nazes pour tester sa provo est moins immonde que ceux qui utilisent ses conneries passées » ; puis écrit un long texte sur Slate, L’impossible vérité de Mehdi Meklat20, où il s’interroge sur la double identité de Meklat et les hypocrisies de cette polémique. Claude Askolovitch est attaqué par Martine Gozlan dans Marianne : « On croit rêver, c’est à crever. La haine crève l’écran et ils ne veulent pas la voir. » et par l’ancien directeur de France Inter Philippe Val, qui lui reproche de défendre « l’indéfendable »

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