mercredi 18 juillet 2018

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô misère ! Ô spectacle affligeant de cynisme ! PUBLIÉ PAR SALEM BEN AMMAR...


N’ai-je donc tant vécu pour qu’un jour je sois témoin d’une telle infamie,

Je ne croyais pas mes yeux en voyant ce que je n’aurais jamais cru voir de mon vivant,
Des voilées ceintes du drapeau tricolore dans les rues de Paris en cette soirée de couronnement mondial,
Je gardais en moi une lueur d’espoir que l’islamisation de la France est un mythe,
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Mais la réalité des faits s’est étalée de toute son étendue sous mes yeux éberlués à la lumière de la nuit de folie parisienne,
Hagard et tétanisé, chagriné et atterré par la vue de ce que je pensais être un spectre, un mirage, mais point de tout cela,
Elles étaient là sur la place d’Alésia à 11 h du soir pour célébrer ce qui n’était pas à elles,
Que nenni ! C’est plus que leur victoire, elles ont gagné la coupe du monde,
Non pas du ballon rond, celle de l’installation de l’islam dans le trône de France,
Arrivé à la porte d’Orléans, peiné et attristé par des scènes f’hystérie collective endiablées,
Que fut encore une fois ma surprise une volée à vélo avec le drapeau tricolore à la main comme le Dey d’Alger soufflettant de son éventail le consul de France,
Le drapeau national français n’était pour elles, pour eux, qu’un subterfuge, un esbroufe pour afficher un patriotisme de façade,
ô cruelle désillusion ! ce n’est pas la France qu’ils exaltent c’est la France qu’ils ont gagnée et qui est plus que jamais la leur.
La fin de mon périple dans cette jungle aurait pu mal se terminer,
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Deux Nord-africains, portant bien leur cinquante ans, alcoolisés, ne semblant pas apprécier ma vue, m’avaient abreuvé d’insultes nauséabondes sans raison aucune,
Ne cédant pas à leur provocation j’ai mon chemin suivi,
Toujours les mêmes ou presque qui gâchent la fête, toujours quasiment les mêmes qui n’ont qu’intolérance pour leurs semblables différents d’eux,
Je gardais en moi une lueur d’espoir que l’islamisation de la France est un mythe,
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Mais la réalité des faits s’est étalée de toute son étendue sous mes yeux éberlués à la lumière de la nuit de folie parisienne,

Que nenni ! C’est plus que leur victoire, elles ont gagné la coupe du monde,
Non pas du ballon rond, celle de l’installation de l’islam dans le trône de France,
Arrivé à la porte d’Orléans, peiné et attristé par des scènes f’hystérie collective endiablées,
Que fut encore une fois ma surprise une volée à vélo avec le drapeau tricolore à la main comme le Dey d’Alger soufflettant de son éventail le consul de France,
Le drapeau national français n’était pour elles, pour eux, qu’un subterfuge, un esbroufe pour afficher un patriotisme de façade,
ô cruelle désillusion ! ce n’est pas la France qu’ils exaltent c’est la France qu’ils ont gagnée et qui est plus que jamais la leur.
La fin de mon périple dans cette jungle aurait pu mal se terminer,
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Deux Nord-africains, portant bien leur cinquante ans, alcoolisés, ne semblant pas apprécier ma vue, m’avaient abreuvé d’insultes nauséabondes sans raison aucune,
Ne cédant pas à leur provocation j’ai mon chemin suivi,
Toujours les mêmes ou presque qui gâchent la fête, toujours quasiment les mêmes qui n’ont qu’intolérance pour leurs semblables différents d’eux,
Et à chaque fois que je suis agressé c’est absolument toujours par les mêmes.Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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