mercredi 16 mars 2011

Message de Gil TAIEB : Président A.B.S.I. – Keren Or

Message de  Gil TAIEB :  Président A.B.S.I. – Keren Or


Chers Amis
Après le rassemblement émouvant et indispensable d’hier en hommage à la famille FOGEL sauvagement assassinée, nous devons agir:
Afin que les medias réagissent il faut une mobilisation utile !
Voici ce que je vous propose: Ecrire à Laurence Ferrari et David Pujadas pour qu'ils en parlent!
Faire des lettres d'èmotion, d'indignation et raconter cet assassinat en détail.
Pas d'attaque mais une mobilisation citoyenne indignée!
Adresse: david.pujadas@francetv.fr ou david.pujadas@france2.fr
Très important: Il faut appeler les radios pour laisser sur leurs répondeurs des messages d'émotion, d'indignation
RTL: 3210
EUROPE1 : 3921
RMC: 3216
Contrairement à ce que l'on imagine, les radios sont trés sensibles à ce genre de messages.
Si 10 personnes différentes leurs parlent du sujet, elles vont se rendre compte de son importance!
Faites tourner ce message et il faut se mobiliser dés ce soir
Nous pouvons réussir
Je compte sur vous tous
Cordial Chalom


Comme le réveil est dur...


Comme le réveil est dur pour ceux qui pensaient que l’amour remplacerait la haine, la démocratie : la dictature et la paix : la guerre.
Comme il est difficile de sentir seul. Comme il est frustrant de se savoir trahi.
Mais la réalité est là : - La presse déverse ses litres d’insanités et de désinformations. 
les médias présentent Israël comme l’éternel coupable et persécuteur.
Les nations condamnent Israël et se rachètent une bonne conscience en cherchant à donner du peuple juif l’image de leur propre médiocrité.
Les juifs n’ont pas le droit d’oublier.
Lorsque par milliers les membres de notre communauté se rendent en Tunisie, au Maroc ou dans d’autres pays « amis d’un jour », quelle image donnons-nous ?
Celle de celui qui tend l’autre joue. Pour nous, discussion ne doit jamais dire soumission. Ouverture ne peut être synonyme de compromission. Sentimentalité ne doit pas sous-entendre faiblesse d’une communauté. La vie ne respecte que celui qui se respecte.
Notre communauté ne peut faire l’aveugle quand Israël est condamné.
Faisons le choix d’affirmer nos positions avec fierté. Sachons dire non aux tentations.
Sachons annuler les voyages « dangereux », car sans âme.
Sachons montrer que nous savons être unis et faire front. Chacun d’entre nous peut devenir acteur plutôt que spectateur de l’histoire :
un appel ou un courrier aux médias lorsqu’ils désinforment et attisent la haine. Faire pression lorsqu’Israël subit le boycott. Au même titre qu’un bulletin de vote est une sanction, un billet d’avion annulé est un moyen de se faire entendre et respecter. Faire pression lorsqu’Israël subit des pressions. Agir aux côtés d’Israël, agir en faveur d’Israël et de son armée.
Choisir son camp et le faire savoir est un devoir et une preuve concrète du soutien à Israël. Dans cette lutte pour la vérité, tous les arguments alors prennent force.
Le droit de revendiquer la grandeur d’Israël implique des devoirs auxquels aucun de nous ne peut se soustraire au risque de disparaître.
Sachons choisir les pays qui nous veulent du bien et non ceux qui veulent nos biens.
Gil TAIEB
Président A.B.S.I. – Keren Or


Ce Shabbat, le sang juif a de nouveau coulé


Dans la nuit de vendredi à samedi, à 1 heure du matin, un terroriste s’est introduit dans une maison de la localité d’Itamar pour y perpétrer un crime horrible.
Udi Fogel, 36 ans
Ruth Fogel, 35 ans
Yoav Fogel, 11 ans
Elad Fogel, 3 ans
Et Hadas Fogel, un bébé de 3 mois ont été égorgés dans leurs lits.
Ce massacre sauvage a replongé tout le peuple israélien devant des images que l’on croyait oubliées ou plus justement que l’on espérait ne plus revoir.
24 heures après ce massacre, seuls les Etats-Unis, la Grande Bretagne et la France ont réagi.
La France a condamné avec force mais s’est empressée d’inciter Israël à la modération dans sa riposte.
Une fois encore, la vérité nous éclate au visage.
Dans tous les médias, l’information a été rapportée, l’horreur du crime racontée, mais les titres de chacun des articles ont assassiné une seconde fois cette famille juive d’Itamar :
« Une famille de colons assassinée », d’un seul mot, les victimes sont devenues des coupables !
La propagande et les mots ont pénétré les esprits de tous les commentateurs et font des juifs des territoires contestés par certains, des coupables.
Cette complicité passive, qui fait d’un terroriste un combattant, arme le bras des assassins qui comme à Itamar peuvent égorger une famille.
La bête meurtrière trouve dans son idéologie la force de son crime.
Trop c’est trop, le terrorisme est condamné partout sauf quand il s’agit de celui qui fait couler le sang juif.
Telle est la réalité ressentie lorsqu’une famille de cinq personnes est massacrée et appelée « colons ».
Les mots ont un sens et celui de colon est le symbole d’une histoire peu glorieuse des pays européens qui ont sur de nombreux continents asservi et opprimé les peuples.
Israël n’a pas à payer le prix de ce passé honteux. 
Israël n’a asservi personne, Israël ne demande qu’à vivre en paix sur sa terre.
A Itamar, cinq juifs sont morts, victimes de la haine des terroristes palestiniens mais aussi de la complaisance des nations.
Udi, Ruth, Yoav, Elad et Hadas sont les victimes de ceux qui laissent diaboliser Israël, de ceux qui délégitiment Israël, de ceux qui boycottent Israël.
Alors, lorsque partout dans le monde est organisée une semaine pour le Boycott d’Israël, qualifié de pays d’apartheid, on laisse faire.
Chacun de ceux qui y participe doit savoir qu’il a sur les doigts le sang de cette famille massacrée à Itamar.
Pour toutes ces victimes innocentes, nous ne devons pas nous taire.

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