Ariel a terminé la déclinaison V8 de l'Atom. Un engin à mi-chemin entre l'auto et la moto qui va faire des étincelles : 475 ch (500 ch pour la piste). 25 exemplaires seulement de ce bolide seront construits.
L'Ariel Atom est déjà une voiture ultralégère et puissante. Avec le V8, elle devient ultrapuissante. Son moteur de 3 litres, composé de deux blocs moto Suzuki accolés et retravaillés, affiche 500 chevaux. Le tout pour 465 kilos. La boîte séquentielle à six rapports passe d'une vitesse à l'autre en 40 ms. Inutile de dire que cela pousse : 0 à 100 km/h en 2,3 s. La vitesse maximale pointe à 320 km/h. Mais, cette version est réservée au circuit. Heureusement, une variante « dégonflée » de 475 ch de l'Atom V8 sera également proposée. Ici, le 0 à 100 km/h perd 0,2 s et elle pointe à maximum 275 km/h. On la reconnaître par ses jantes et son châssis dorés. Mécaniquement, les suspensions ont été adaptées à la puissance. Le cockpit accueille une instrumentation spécifique. 25 exemplaires seulement de l'Ariel Atom V8 (circuit ou route) seront vendus, au prix de 150.000 £, soit un peu plus de 180.000 euros.
Un seul chiffre, 500, pour 500 chevaux et 500 kilogrammes ! Ces deux valeurs, une fois associées sur un même véhicule, l'Ariel Atom, donnent un résultat ahurissant ! Pour rappel, l’Atom 300, avec 200 chevaux de moins, réalise déjà le 0 à 100 km/h en 3 secondes et grimpe à 160 km/h en 7 secondes environ !
Il faut dès lors un esprit franchement fertile pour oser imaginer la force de frappe de cette version V8 ! Avec un rapport poids/puissance d’un kilo par cheval, l’Ariel 500 fera partie des engins à quatre roues les plus extrêmes jamais réalisés. A ne pas mettre entre toutes les mains donc... D’ailleurs, elle ne sera construite qu’en nombre limité.
Le pétard qui sert à dynamiter ce poids plume est un V8 conçu par Russell Savory. Cubant 2.4 l, doté de cinq soupapes par cylindre et violemment suralimenté, il fournit 500 chevaux à 10.000 tr/min. Le tout est associé à une transmission à six vitesses de type séquentielle. Pour démarrer en force, un « lanch control » est prévu. Pour ne pas voir toute la puissance s’évaporer en patinage, Ariel a aussi muni son bolide d’un antipatinage...
D’une pureté typique de la maison, l’engin se reconnaît, entre autres, à sa couleur unique, à l’usage intensif de fibre de carbone, à ses massifs étriers de freins et à ses jantes en magnésium. La voiture sera produite à l’usine de Somerset et les premières livraisons ne sauraient tarder. Les tarifs ne nous ont pas encore été dévoilés mais Ariel nous promet que la voiture sera aussi intéressante face au chrono que face au portefeuille !
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