lundi 7 juin 2010

Sortie du livre de Bernard Ortega le 17 juin


Sortie du livre de Bernard Ortega le 17 juin .

L'évènement se passe le jeudi 17 Juin 8H30>11H Akléa Société Avocats 73 Avenue des Champs Elysées.
Bernard Ortega : sortie de mon livre le 17 juin au matin

Bernard Ortega
Coach, comédien et metteur en scène
Coach et comédien depuis plus de 20 ans, Bernard Ortega adapte avec succès les techniques de l'acteur et de l'enseignement au monde de l'entreprise.

Après de brillantes études au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique, il débute par une carrière d'acteur au théatre et incarne plus de 20 rôles principaux dans le répertoire classique français et étranger. Il interprète également plusieurs rôles à la télévision et au cinéma.
Il signe également 25 mises en scènes du répertoire classique et moderne : la mise en situation des acteurs est un atout qui jouera un rôle déterminant dans sa méthode de coaching.
Auteur, il signe 6 pièces de théatre créées à Paris et Avignon. Jacques-Pierre Amette (Prix Goncourt) écrit dans le Point qu'il est « un mélange de R. Polanski et de Ionesco ». Claude Mauriac évoque son «authenticité d'écriture».
Parallèlement, il enseigne des années à l'Américan Center sur les méthodes de l'acteur de théatre et du cinéma. Il fera travailler plus de 400 élèves dont Jean-Marc Barr ou encore Gilbert Melki, des acteurs aujourd'hui reconnus et d'autres moins connus, mais tout aussi talentueux. En tant que professeur, il développe un grand sens de la pédagogie.
Pendant 6 ans il travaille pour Hay Group et pour le CECO (Centre Européen de Communication Orale pour chefs d'entreprises), deux grands cabinets de Consulting en Management en tant que Formateur Coaching Management en Communication Orale.
En 2000, fort de toutes ces expériences, Bernard Ortega créé la société TAO Communication.
Il met en place une méthode originale (MBO), sur le Comportement et Management en Communication Orale.
En dehors du fait qu'il intègre le travail acteur dans sa méthode de coaching, il met à profit son apprentissage des Arts Martiaux (Aïkido) qu'il a pratiqué pendant plusieurs années.
La philosophie associée à la pratique des Arts Martiaux lui permet de travailler sur le mental, l'antistress et les énergies. Enfin, depuis 1990, il enseigne les techniques préliminaires des méditations japonaises et tibétaines.


Un mot si simple. Une compréhension si claire. Un joyau rare et précieux qui font de ceux et celles qui l’ont trouvé des gens heureux. Qui font de ceux et celles qui l’ont perdu, des êtres errants, comme des chiens égarés.

Le riche, le pauvre, le patron, l’employé, le cadre, l’artiste sont désemparés devant cette absence, cette perte affreuse. Certains tentent le tout pour le tout en essayant lamentablement de l’acheter. Mais, le prix semble trop élevé. Et ceux qui veulent bien la vendre, ne sont pas certains de la, posséder. Cette confiance semble bel et bien perdue, mais comment vivre sans cet élixir qui redonne foi en la vie, en ses actes, en l’être humain.

Certains se déchaînent en cherchant des arguments pour la trouver. « Il faut retrouver la confiance » hurle les responsables politiques de tout bord. Mais, leur yeux sont vides, aucune lumière de confiance dans leur regard. Ceux qui les écoutent, décèlent cette trace de vide, et se désespèrent davantage. Où trouver ce qu’eux-mêmes ont perdu ! Alors, l’un d’eux précise : Il faut faire confiance dans le Marché. Une hésitation, et tous se précipitent pour trouver ce Marché qui possède la confiance. Mais, comment le trouver ? Ce Marché n’a pas de tête, pas d’oreilles, pas de corps. Le Marché est une idée, une idée passagère, souffle quelqu’un qui n’y croit pas.

Un autre bredouille : « Oui, il faut redonner la confiance aux gens ». Comment, s’insurgent, ces « mêmes gens », on nous l’aurait donc prise. Et, les voilà à nouveau à vociférer, à s’invectiver, à chercher le ou les voleurs. « Il n’y a qu’à observer qui aurait trop confiance en lui » dit l’un « il se fera vite repérer ». Chacun observe l’autre, augmentant encore la suspicion. Les peureux marquent un visage encore plus dépité, pour montrer combien ils n’ont pas de confiance, combien ils sont à plaindre.

Heureusement un sauveur crie : « La confiance a changé de camp ». Aussitôt les camps se guettent, mais ne décèlent toujours pas la moindre confiance chez les autres. D’aucuns suggèrent une guerre car les étrangers, responsables de beaucoup de maux, l’ont peut-être emporté. Ils commencent par regarder et exiger que certains baissent leurs foulards, car la confiance apparaît d’abord sur les visages. Un virus très puissant s’est installé, et le gouvernement veut prévoir, un antidote généralisé, qu’il va commander à des sociétés en qui ils ont confiance. En effet, le « doute » cet affreux parasite gangrène tout le pays. Il a envahi tout l’espace, social, économique, politique, médiatique.

Et le gouvernement sait bien qu’après le doute, la peur apparaît. Qu’après la peur, la violence et la folie peuvent naître. Une recherche généralisée de la confiance se profile. Les chefs d’Etats de toute la planète se réunissent. Ils recherchent un consensus, un accord, une entente, une solution…les mots leur manquent. Mais, l’horreur est au rendez-vous. Etant eux-mêmes atteins par le virus du « doute » la confiance ne peut envahir les corridors des puissants. Ils se jaugent, se dérobent, se faufilent dans la méfiance et se séparent, désolés pour leur peuple en craignant le pire.

Une prime importante est offerte pour toute personne trouvant le chemin de la confiance.

L’une d’elle vient d’être arrêtée par les forces de police. Elle répétait en riant sous les fenêtres des gouvernants qu’on n’avait qu’à dire la vérité, qu’à être sincère, qu’à être authentique, qu’à se mettre au service des gens, qu’à……. Devant le possible désordre public, cette personne est interrogée. Elle est en garde à vue, afin de bien la regarder, peut-être n’a-t-elle pas tout dit. Le doute étant partout, on veut vérifier ce qu’elle prétend où annonce pour trouver des solutions. Un journaliste a réussi à lui parler. Il est ressorti sans rien écrire, car l’homme ni jeune, ni âgé, n’a dit que des choses banales et sans intérêt. Il a même prétendu que la confiance résidait en chacun des individus, et que le meilleur moyen de la partager, de la faire revivre….blablabla. Ce « blablabla » est la conclusion du journaliste.
Ce n’est pas demain que l’on va retrouver la confiance, a-t-il soupiré.

Texte tiré du libre de bernard Ortega (Ed.Beaurepaire) sortie 15 Juin 2010

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