C’est la photo du jour dénichée dans le magazine Dreuz : en Tunisie, les chefs de la police et de l’armée patrouillent en BMW ou en Land Rover.
Le saviez-vous? « Commercialisée le 22 novembre 2018 en France, la BMW Série 8 dispose d’une gamme facile à retenir : une 840d à 320 ch (six cylindres 3.0 l diesel), une M850i à 530 ch (V8 4,4 l essence). Les plus attentifs auront remarqué l’inflation subie par le V8, connu à 462 ch sur la berline M550i et ici flanqué de 68 ch supplémentaires ! De quoi tutoyer la puissance de l’ancienne M6 (560 ch), égaler le couple de l’actuelle M5 (750 Nm)… et imaginer une M8 à bien plus de 600 ch.
Les prix naviguent à pareille altitude, avec une gamme débutant juste sous les 100 000 € en diesel mais grimpant bien au-delà dans notre version M850i d’essai : 124 750 € minimum, avant les 10 500 € de malus et 4 000 € de surtaxe carte grise. Si le premier niveau est déjà bien doté (voir cascade d’équipements détaillée en page 5), la Série 8 laisse en option des équipements attirants, même sur cette M850i de pointe : toit carbone à 3 050 €, barres antiroulis actives à 2 700 €, ou, pour les rangés de sport, système audio Bowers & Wilkins à 5 700 € et feux LED laser à 1 700 €. Mais, assez parlé d’argent… »
Selon Dreuz : « Le Gouvernement Tunisien fait face à des problèmes chroniques liés à la mauvaise gestion, la corruption institutionnalisée mais aussi le gaspillage systématique des ressources publiques.
- Selon la professeur Sarah Yerkes, de Georgetown University, la corruption affecte tous les aspects du processus de réforme économique, politique et sécuritaire de la Tunisie, sapant la confiance dans les institutions qui laisse craindre une nouvelle instabilité.
Les responsables tunisiens n’ont pas la volonté de faire de la lutte contre la corruption leur politique prioritaire, ni d’adopter des mesures coordonnées et adéquates. Une politique de gestion saine et transparente n’est pas la priorité du gouvernement.
Le gouvernement tunisien est incapable d’adopter une stratégie nationale claire dans la lutte contre la corruption, ni récupérer le temps perdu dans les frictions politiques et les tensions sociales, qui coûtent si cher à la collectivité tunisienne, mais aussi aux contribuables européens ».
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