Le chanteur a des opinions très arrêtées.
Rappelez-vous, en 1976, Michel Sardou sortait son titre "Je suis pour", chanson dans laquelle il exprimait sa position en faveur de la peine de mort. Mais aujourd'hui, son discours a quelque peu changé.
Invité sur le plateau de Quotidien, il a expliqué qu'il était désormais contre cette sentence mais il a fait l'éloge d'une autre forme de "justice" qui a créé un certain malaise dans l'émission.
"C'est-à-dire t'as tué mon gosse, moi je te flingue. Et ça je te le dis tout de suite, je le pense toujours. Je te flingue moi, on me mettra en prison moi", a-t-il déclaré.
Et quand Yann Barthès lui a demandé s'il pouvait réellement tuer quelqu'un pour se venger, la réponse du chanteur a été sans appel: "Si on tuait mon môme? Il n'y a même pas l'ombre d'un doute et puis je tire bien. Ah oui je sais très bien tirer, je suis même tireur d'élite, j'ai appris ça à l'armée, j'ai fait deux ans d'armée".
Invité sur le plateau de Quotidien, il a expliqué qu'il était désormais contre cette sentence mais il a fait l'éloge d'une autre forme de "justice" qui a créé un certain malaise dans l'émission.
"C'est-à-dire t'as tué mon gosse, moi je te flingue. Et ça je te le dis tout de suite, je le pense toujours. Je te flingue moi, on me mettra en prison moi", a-t-il déclaré.
Et quand Yann Barthès lui a demandé s'il pouvait réellement tuer quelqu'un pour se venger, la réponse du chanteur a été sans appel: "Si on tuait mon môme? Il n'y a même pas l'ombre d'un doute et puis je tire bien. Ah oui je sais très bien tirer, je suis même tireur d'élite, j'ai appris ça à l'armée, j'ai fait deux ans d'armée".
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