dimanche 28 août 2016

les colonisateurs musulmans protagonistes de la rixe quittent l’ile précipitemment....


Le Point.fr a rencontré une des familles qui a provoqué les bagarres du 13 août. Elle a quitté la Corse pour Paris pour un sentiment de menace.

Jamel B., 29 ans, ne se sent plus en sécurité dans la région de Bastia – où il vit depuis treize ans – depuis la rixe du 13 août, après laquelle il a été placé sous contrôle judiciaire. Ouvrier dans le BTP, titulaire d’un CAP obtenu dans un lycée bastiais, il a pourtant la haine des Français.

Il s’est sauvé de Corse avec sa famille, et arrivé à Paris, le 25 août avec femme et enfant, il a déposé plainte pour menace de mort, en tous cas c’est ce qu’il affirme, et a consulté un collectif d’avocats qui se serait spontanément manifesté pour le défendre, lui et ses deux frères, dont l’un est incarcéré.

« Nous n’avons pas privatisé la plage »

Le Point.fr a rencontré cet agresseur musulman, qui se dit « traumatisé » par la rixe qu’il a déclenchée !
Sur son visage, il porte les marques de la bagarre qu’il a déclenchée, et cherchant à renverser la réalité des faits, « oubliant » l’affaire de la burqa marine, il affirme être victime de racistes.

« On est allés sur la plage de Sisco qui se trouve à 45 minutes en voiture de chez moi pour être tranquilles et faire preuve de discrétion. À aucun moment, nous n’avons privatisé la plage. C’est à tout le monde. Près de nous, d’autres gens se baignaient, il n’y avait aucun problème », dit-il.

« Je n’ai jamais eu de problèmes en Corse auparavant. Ma famille a des liens avec la région depuis 1943 quand mon arrière-grand-père a participé à la libération de la Corse. Son nom est inscrit sur le monument au col de Teghime [qui domine Bastia et rebaptisé col des Goumiers, NDLR]. »

Bel exemple de taqiyya.

Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.

« Personne ne nous protège « 

« Je quitte la Corse, car personne ne nous protège, pas même l’État. On nous a menacés de mort, les gendarmes ont été impuissants devant la horde qui attaquait des femmes et des enfants. Ils ont brûlé nos trois véhicules, j’ai 10 jours d’ITT [incapacité totale de travail, NDLR], alors que l’hôpital de Bastia m’a demandé de quitter mon lit le soir même de mon transfert par hélicoptère. Durant mon transfert, sur la civière, j’ai été frappé et on m’a craché dessus. » Pauvre petite victime.

Selon lui, la situation s’est tendue – il ne dit pas que c’est lui qui a « tendu » la situation -quand des Corses de Sisco ont commencé à prendre des photos de sa femme portant un hidjab.

Jamel détient un harpon. Comme de nombreux Corses, il s’en sert pour pêcher. Selon lui, il était rangé dans sa voiture quand la bagarre a éclaté. A l’entendre, le harpon est certainement sorti par magie du coffre de sa voiture, s’est retrouvé par coïncidence, et de son plein gré entre ses mains, et ce sont ses doigts, et pas lui, qui ont tiré le harpon qui a été agressé par le corps du Corse qui a osé l’arrêter.

« Après la première altercation, on a rangé nos affaires pour quitter les lieux, et le harpon était dans le coffre quand les villageois nous sont tombés dessus. Comme ils ont mis le feu aux véhicules, je pense qu’il ne peut plus servir à l’enquête, assure-t-il [sur procès-verbal, un protagoniste adverse affirme avoir été touché par une flèche de harpon, NDLR]. Mais durant la bagarre, je suis tombé dans les pommes. Je me souviens seulement de mon dernier geste, j’avais mis mon enfant entre mes jambes et j’étais recroquevillé sur lui pour éviter qu’un caillou ne le blesse. On s’est d’ailleurs tous assis, car derrière nous, c’était le vide… »

Audience le 15 septembre

Aucun membre de la famille de Jamel ne vit à Lupino, le quartier populaire de Bastia, où sont venus manifester le lendemain de la bagarre des habitants excédés par les coups de bélier de l’islam aux cris pleins de bon sens d’« Arabes dehors », « On est chez nous ».

D’ailleurs Jamel vient d’une famille normale, comme lui sans histoire : « Mon frère est en détention et mon père attend seul la décision de justice. Mon troisième frère est rentré en Espagne où il réside. »

Le frère en question est soupçonné d’avoir rapidement quitté l’Ile parce que sa radicalisation est visible, et sa présence contredit le narratif victimaire débité par Jamel à des journalistes drogués par la religion opium des peuples – qu’ils se rappellent leurs classiques.

© Gaïa pour www.Dreuz.info

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

La grandeur de Binyamin Netanyahou....

Binyamin Netanyahou était en visite aux Etats-Unis pour la conférence annuelle de l’AIPAC. Cette visite devait être triomphale. Elle a ...