dimanche 17 juillet 2016

Nice : je vouerai à l’islam une haine implacable, inextinguible, aussi longtemps que je vivrai...


Eva a écrit un superbe texte que je vous demande de faire circuler au maximum auprès de vos contacts, sur les réseaux sociaux. Argumenté, déterminé, il rappelle à tous que nous ne gagneronss que si nous avons le courage d’affirmer et de défendre nos pensées, nos sentiments, nos valeurs.
Christine Tasin
Je crois que la haine de l’islam est on ne peut plus légitime. Connaître l’islam et ne pas le haïr serait étrange.
Il ne faut pas craindre que notre haine de l’islam nous fasse ressembler à ceux qui commettent des attentats terroristes, car il y a haine et haine.
La haine qui est le noyau et le moteur de l’islam est basée sur la détestation de tout ce qui n’est pas musulman, car l’existence-même des non-musulmans renvoie aux musulmans l’insupportable reflet de l’infériorité de l’islam, infériorité morale comme intellectuelle. D’où la nécessité, exigée dans le coran, d’asservir et de tuer les non-musulmans, afin de briser tout « miroir ».
Tandis que la haine que nous pouvons ressentir pour l’islam n’est pas comparable à la haine envers un ennemi ordinaire.
Haïr l’islam c’est haïr le mal sur lequel l’islam se base, et les crimes et vices qu’il légalise, et même ordonne dans le coran. (1)
La haine nous ronge quand elle est stérile, mais pas quand elle nous pousse à agir, à combattre l’islam pour nous en délivrer.
Plus je vois les réactions des « vous n’aurez pas ma haine », et des « il faut combattre la barbarie mais en restant civilisé », et plus je réalise la chance que j’ai eue de grandir auprès d’adultes qui n’avaient pas peur d’être mal jugés, car leur priorité était de protéger leurs enfants.
En Orient, j’ai vu des prêtres armés pour défendre leur paroisse isolée et éviter d’être kidnappés, torturés et égorgés.
Certains membres bêlants du clergé occidental me déroutent. Nous chrétiens d’Orient étions entourés et soutenus par des prêtres qui bénissent les combattants en treillis et en armes. Nos prêtres nous donnaient, à notre demande, des images pieuses que nous collions sur la crosse de nos fusils automatiques, que nous glissons dans les poches de nos treillis. Je vois d’ici les mines horrifiées des chrétiens de gauche…
Non ça n’a rien de contradictoire avec les enseignements de Jésus. C’est pour lui que nous combattons l’islam. Sans armes, comment se défendre face à des hordes barbares qui nous envahissent chez nous en pleine nuit, défoncent la porte de notre appartement pour nous torturer, violer et égorger devant nos enfants ?
Nos hommes, depuis 14 siècles, ne se sont pas laissés séduire par les avantages exorbitants que l’islam leur offre en échange de leur conversion. Nos hommes, ils préfèrent n’avoir qu’une seule épouse, ne pas pouvoir la répudier, ne pas pouvoir épouser une mineure, ne pas imposer leur domination aux femmes, bref renoncer à ces privilèges masculins afin de ne pas basculer dans une idéologie criminelle comme l’islam.
J’aimerais leur rendre hommage, je leur suis reconnaissante d’avoir risqué (et parfois perdu) leur vie par refus de la bestialité de l’islam. Je les remercie de s’être armés, de s’être organisés, avec l’aval de nos prêtres et de nos religieuses, pour nous défendre contre la monstruosité à laquelle l’islam nous exposait.
L’Etat était incapable de nous protéger: la police comme l’armée étaient truffées de musulmans qui refusaient d’intervenir lors des attaques musulmanes contre les quartiers chrétiens.
Je ne plaisante pas: en Egypte ou en Turquie par exemple, même les pompiers tardent à arriver quand ils sont appelés pour éteindre un incendie criminel contre une église ou contre une habitation située dans un quartier chrétien.
Au Pakistan, quand une écolière chrétienne est kidnappée par des musulmans, la Police refuse d’enregistrer la plainte de la famille de l’écolière, et de mener une l’enquête pour la retrouver.
Mon père, un homme aimant, casanier et légèrement bedonnant, a une sainte horreur des armes. Il a bien un fusil de chasse, rangé en haut d’une armoire, mais il ne lui serait jamais venu à l’idée de s’acheter des armes de poing et les garder dans son foyer.
Mais il a dû se résigner à acheter des revolvers, qu’il détestait. Il l’a fait pour ses enfants.
C’est mon frère aîné qui a fini par le convaincre. Je me souviens encore de leurs conversations chuchotées sur un ton vif, dans le noir des caves où nous nous réfugions souvent. Mon frère semblait contrarié parce-que mon père ne voulait pas d’armes à la maison, par peur d’un accident, à cause de la présence d’enfants.
Mais massacre après massacre, il a fini par céder. Il a compris que mon frère aîné ne cherchait pas à lui faire acquérir des armes dans le but de jouer au cow-boy. Une nuit, à moitié endormie, j’ai entendu mon frère confier à mon père d’un ton amer:
« Mais Papa, quand nous combattons l’islam, sa charia, ses crimes et ses injustices, les musulmans ne réalisent-ils pas que nous luttons pour eux aussi ? »
Je crois qu’il est difficile de combattre l’islam en gardant une bonne réputation, et de le vaincre les mains propres. Quand les chrétiens de mon pays natal se sont armés et organisés en milices d’auto-défense, le monde entier, Occident compris, nous a traités de fascistes parce-que nous luttions âprement contre l’islamisation de la terre de nos ancêtres, et parce-que nous refusions obstinément de nous détourner de Jésus pour nous convertir à l’islam, et de transformer nos églises en mosquées. Tel était notre crime « fasciste ».
Certains journaux français de l’époque nous comparaient à des nazis, « organisés en milices d’extrême-droite », « isolationnistes », bref incapables de savourer les joies du vivre-ensemble avec les musulmans. Nous étions accablés, et parfois révoltés par ces accusations, mais elles n’entamaient pas notre détermination. Nous connaissions l’islam mieux que les Occidentaux, nous y étions exposés quotidiennement depuis des siècles, et nous n’espérions plus de secours de la part de l’Occident dans notre lutte contre l’islamisation de notre pays. Nous ne demandions pas aux pays Occidentaux de venir combattre avec nous, mais juste de nous vendre des armes. Ils ont refusé. Même le Pape Jean-Paul II, que j’aime pour ses nombreuses qualités, a demandé aux chefs d’état occidentaux de ne pas nous vendre des armes. Ça nous a désespérés. Le Pape ne voulait pas que nous devenions des criminels, alors que nous voulions juste nous défendre, survivre, protéger nos familles des massacres, et nous maintenir coûte que coûte sur la terre chrétienne de nos ancêtres chrétiens. Le Pape ne savait-il pas que Jésus a demandé à ses disciples de s’armer, lorsque les circonstances l’ont exigé ? Influencé par sa propre expérience, et ayant réussi à combattre efficacement le communisme sans user d’armes, le Pape croyait que tous les ennemis se ressemblent, et peuvent être neutralisés de la même manière.
Or le communisme est bien différent de l’islam, et ne peut donc pas être combattu avec les mêmes méthodes.
Acculés, le dos à la mer, nous résistions seuls, livrés aux musulmans par un Occident que nous aimions avec admiration et loyauté, et que les musulmans haïssent implacablement et trahissent continuellement, tout en l’abreuvant de sourires obséquieux et de salamalecs bien veloutés.
Quand on est seul face à la barbarie, on fait de son mieux, on fait comme on peut, et on doit se blinder contre les leçons de morale condescendantes de ceux qui vivent bien au chaud dans des démocraties où leur sécurité est entièrement sous-traitée à un Etat fort, désireux de les protéger.
Oui, la France fut, il n’y a pas si longtemps, un Etat fort, capable de protéger ses citoyens. Cela a bien changé, me direz-vous….
Hier j’ai entendu Jean Léonetti (député Alpes Maritimes) dire à la télévision cette phrase stalinienne:
« Face au terrorisme, il faut surtout éviter ces deux sentiments: la peur, et la haine. »
Or quand on vit dans un pays où l’on emmène ses enfants faire un tour de manège avec le sentiment de les emmener à l’abattoir, il est plus que légitime de ressentir de la peur, et aussi de la haine.
Mais nos responsables politiques, plus nobles que nous, n’éprouvent ni peur ni haine face aux attentats, peut-être parce-qu’eux circulent en voiture blindée, avec gardes du corps armés, et sans racailles dans leur immeuble, ni dans leur quartier, ni dans l’école de leurs enfants.
Avant, on nous donnait des directives pour nous exprimer, pour éviter les « dérapages » verbaux, qui peuvent nous mener au tribunal.
Là nous sommes montés d’un cran dans le stalinisme: on nous dicte ce que nous pouvons ressentir ou pasDes sanctions pénales sont-elles prévues contre ceux qui avoueront ressentir de la peur ou de la haine ?
Et l’on continue de nous présenter l’islam comme un danger nouveau, que nous connaissons mal, alors que l’islam est l’ennemi traditionnel de la France, et du reste de l’Europe.
J’aurais aimé que nous puissions vaincre l’islam avec élégance et bonnes manières, mais l’histoire prouve que cela n’a jamais été possible depuis 14 siècles que l’islam existe et qu’il cherche à envahir l’Europe.
Donc arrêtons d’être obsédés par la pureté de nos sentiments. Pensons plutôt à sauver nos enfants.
Soit on ne met pas d’enfants au monde, soit on doit pouvoir protéger la vie qu’on a donnée. La légitime défense est autorisée par Jésus (2) et elle est autorisée par les lois de notre pays. Et la Marseillaise n’est pas un chant guerrier, c’est un chant de patriotisme et de légitime défense (3). Si actuellement nous n’arrivons pas à nous défendre, c’est parce-que notre gouvernement ne le souhaite pas, allant jusqu’à nous interdire de nommer l’ennemi.
Je suppose que Charles Martel a dû être copieusement traité d’islamophobe, de raciste, de haineux, de faux chrétien…
Il s’en est remis, apparemment. Et par sa lutte contre les envahisseurs musulmans, il a protégé la France de l’islam pour des siècles…
Alors arrêtons de nous soucier de l’opinion que nous inspirons à ceux qui ne combattent pas à nos côtés. Arrêtons de commencer nos phrases par:
« Je ne suis pas raciste, mais… », ou bien: « Je n’ai pas de haine, mais…. » Car enfin nous savons que l’islam n’est pas une race.
Je hais l’islam, qui veut ma perte.
Je hais l’islam, qui est la négation du christianisme.
Je hais l’islam, ennemi mortel de toute civilisation et de toute liberté.
Je vouerai à l’islam une haine implacable, inextinguible, aussi longtemps que je vivrai.
C’est mon droit de haïr ma perte, et la perte de ceux que j’aime. Alors que personne ne s’avise de me moraliser, ou de me culpabiliser.
Le temps presse, alors combattons l’islam par tous moyens. Pensons aux malheureux qui ont été écrasés à Nice et aux innombrables victimes de l’islam, qui ne sont plus là pour se battre contre lui.
Nous devons le faire pour eux, pour nous, pour la France, et aussi en ce qui me concerne, pour Jésus.

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(1) http://ripostelaique.com/mon-coran-mautorise-a-tuer-tous-les-musulmans.html

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