mardi 19 juillet 2016

ISLAMEXIT......


Suite au terrible massacre de Nice, les articles critiques sur l’inertie honteuse de nos gouvernements se succèdent. Tous demandent une prise de position ferme, des mesures fortes pour combattre cet ennemi, que nos irresponsables au pouvoir refusent de nommer : l’islam.

Après celui de Magdi Cristiano Allam, voici la traduction d’un autre article italien « Islamexit » paru sur Il Giornale.it, qui propose carrément l’interdiction de l’islam et l’expulsion des musulmans modérés, suivi d’un éditorial d’Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro, intitulé : « Une riposte sans pitié», que j’ai découvert sur Jihad Watch, traduit en anglais.
Si les musulmans modérés n’arrêtent pas les jihadistes islamistes, nous devons tous les expulser. C’est un épilogue politiquement incorrect, mais inévitable.
Qu’ils arrêtent de nous mentir, ces pleutres au pouvoir ! Les islamistes peuvent nous massacrer, où ils veulent, quand ils le décident et de la manière qu’ils choisissent. Il est impossible de protéger une société d’ennemis qui méprisent leur propre vie et glorifient le massacre de civils innocents.
Pour ces monstres, chaque bain de sang est une victoire. Pour nous, chaque massacre est une expérience affreusement dévastatrice et douloureuse. Si nous protégeons nos théâtres, ils frappent les aéroports, si nous surveillons nos gares, ils massacrent les gens qui se promènent en famille un jour de fête nationale.
Les gouvernements, pour apaiser l’anxiété de leurs citoyens, font patrouiller des soldats : exposés à la folie meurtrière de nos ennemis, ils deviennent eux-mêmes des cibles à abattre, des moutons à égorger.
Sur le plan militaire, il n’y a pas de solution. Le responsable du massacre de Nice était un voyou islamiste tunisien, qui, le jeudi 14 juillet, au volant d’un camion loué, a parcouru en zigzag la Promenade des Anglais sur 2 km, fauchant tout être humain se trouvant sur son passage, le réduisant en une poupée disloquée ensanglantée, pour la gloire d’Allah. Plus de 80 morts, 200 blessés, parmi lesquels une cinquantaine d’enfants, frappés avec la précision d’un Hérode du XXIe siècle.
Pourquoi inventer des fictions télévisées ayant pour thèmes des invasions d’Aliens, quand les Aliens sont déjà parmi nous, semblables à nous, nous haïssant par obligation coranique, prêts à nous annihiler sans aucune pitié.
Après chaque massacre de civils occidentaux perpétré par les fidèles d’Allah, nous assistons aux diatribes habituelles sur « l’islam modéré », et sur les jihadistes, hypocritement présentés comme faisant partie d’une toute petite minorité d’affreux, sales et méchants, quand ils ne sont pas décrits comme de pauvres êtres en errance souffrant de troubles mentaux. Des déséquilibrés, capables toutefois de planifier avec précision et une froide détermination des massacres de masse et de les exécuter en hurlant le cri de guerre des soldats mahométans : Allahu akbar !
Ce scénario se joue avec l’aval d’Obama auquel il serait impossible de faire prononcer, même sous la torture, l’adjectif « islamique ».
Il s’agit d’un pur négationnisme, dont le but est de préserver cette fausse vérité de deux islams qui s’opposent. Si c’était vrai, le bon islam aurait déjà produit les anticorps nécessaires à la destruction du mauvais islam.
La gauche mondiale s’insurgea contre Donald Trump, quand ce dernier demanda de suspendre temporairement l’entrée de son pays aux migrants en provenance de régions où prospère le terrorisme, après le massacre de San Bernardino par un citoyen américain d’origine pakistanaise, rejoint par sa femme, une terroriste islamiste pakistanaise.
Pourtant, il serait utile de rappeler que les premiers migrants siciliens et calabrais qui commirent des délits à la Nouvelle Orléans furent poursuivis par une foule en furie, jugés et renvoyés en Italie, sans état d’âme.
« Il faut travailler avec les Services de Renseignements ». C’est devenu un mantra de la gauche. Encore une idiotie ! Ces Services travaillent sous couverture, mais que peuvent-ils faire sans la collaboration des citoyens musulmans dits modérés qui ne veulent rien entendre, comme s’il ne s’agissait pas de leur guerre, cette guerre que leurs frères sont en train de répandre partout en Occident, semant mort et désolation.
Le monde islamique modéré ne s’aligne pas à nos côtés et ne combat pas ses frères. Il se contente de condamner d’un air faussement contrit, sans manquer de souligner après chaque attentat que les musulmans sont les premières victimes du terrorisme…
Un « islamexit » se produisit déjà au XVe siècle en Espagne : la Reconquista du monde chrétien via l’expulsion massive de musulmans d’Espagne en 1492 par Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, tandis que Christophe Colomb partait à la découverte du Nouveau Monde.
Malheureusement, les très catholiques Isabelle et Ferdinand chassèrent également toute la communauté juive, gardienne des trésors de la culture.
Pourrions-nous agir de la sorte de nos jours ? Nos lois et notre morale nous l’interdisent (pour l’instant), le sens commun l’abhorre, le Pape islamophile, protégé par ses hauts murs, s’y opposerait fermement.
(L’exemple funeste espagnol avec l’Inquisition et Torquemada n’est, toutefois, pas un modèle à suivre. D’autres solutions plus conformes à nos valeurs devraient être envisagées, si cela devait s’avérer nécessaire pour notre survie.)
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Mais, aujourd’hui, nous en avons assez de ces discours à la fois défaitistes et rassurants, car cette guerre de l’islam contre le monde libre engendrera de plus en plus de massacres d’innocents. Les seules opérations militaires, même secondées par les forces de l’ordre, ne pourront pas mettre fin à ces boucheries, il sera nécessaire d’agir à d’autres niveaux.
Faire comprendre aux musulmans modérés qu’il n’existe que deux alternatives :
Soit ils assument le fardeau de se débarrasser de leurs frères jihadistes et acceptent de réformer leur livre sacré, soit ils refusent, et alors il y aura une séparation forcée, un « islamexit » décidé par un peuple en furie.
Ce serait un épilogue politiquement très incorrect, mais il n’y aura pas d’autres solutions, si nous voulons sauver nos vies, celles de nos enfants et le peu qu’il reste de notre civilisation.
Dans son éditorial « Une Riposte sans pitié » Alexis Brézet exprime toute sa douleur et sa colère sans langue de bois et rejoint en quelque sorte les réflexions exprimées dans l’article ci-dessus :

Jamais dans l’Histoire un ennemi n’a bénéficié d’autant de complaisance de la part de celui qu’il combat

Merah, Charlie, le Bataclan, Magnanville, et maintenant Nice… Combien de temps avant que nos yeux se dessillent ? Combien d’attentats sauvages, de massacres aveugles avant que nos dirigeants se résignent à admettre que le fanatisme islamiste a engagé une lutte à mort contre notre pays et notre civilisation ? Combien de victimes innocentes — hommes, femmes et enfants — avant que nos gouvernants se décident enfin à prendre contre ces fous d’Allah les mesures sans pitié qu’appelle leur barbarie ?
Merah, Charlie, le Bataclan, Magnanville, et maintenant Nice… Plus de deux cents noms gravés dans la mémoire de notre pays, et toujours les mêmes coups de menton, les mêmes déclarations solennelles, les mêmes trémolos dans la voix. Et ensuite ? Quelques soldats supplémentaires dans les rues, quelques rustines législatives, quelques bombardements lointains, et puis, plus rien…
« Nous sommes en guerre ! » Désormais, c’est dit. Après bien des atermoiements, l’expression est désormais sur toutes les lèvres. Mais, au fond, qui le croit vraiment ? « Aux armes, citoyens ! », crions-nous à pleins poumons, mais nos armes sont celles de la paix : des bougies, des hashtags, des cortèges et les subtilités de notre Code de procédure pénale.
Drôle de guerre, en vérité ! Nous laissons nos frontières (nos lignes, diraient les soldats) ouvertes à nos ennemis. Les agents recruteurs du djihad prêchent impunément leur idéologie de haine dans des mosquées financées par l’ennemi. Les « traîtres » partis combattre en Syrie sont soumis à un simple stage de « déradicalisation ». Quant aux « fichés S », susceptibles de se constituer en « cinquième colonne », ils gambadent dans la nature au motif qu’ils « n’ont encore commis aucun crime »…
La guerre, quelle guerre ? Mais nous vivons comme si nous étions en paix ! L’état d’urgence n’empêche ni les manifestations syndicales ni les rassemblements festifs, dont certains prétendent sans rire qu’ils sont « la meilleure réponse à l’État islamique »… Le président de la République lui-même semble ne pas y croire : il a tranquillement annoncé, le 14 Juillet, la fin de l’état d’urgence et l’allégement du dispositif « Sentinelle », avant de faire machine arrière toute dans la nuit, quand la tragique réalité l’a rattrapé…
Car les soldats du califat, eux, ne font pas la guerre à moitié. Ils viennent jusque dans nos bras « égorger nos fils et nos compagnes », et nous offrons la protection de nos lois à ceux-là mêmes qui veulent nous détruire ! Jamais dans l’Histoire un ennemi n’a bénéficié d’autant de complaisance de la part de celui qu’il combat.
Cet aveuglement volontaire n’a que trop duré. Pour gagner la guerre, il faut la mener sans demi-mesure ni pusillanimité. Et pour donner à ceux dont c’est la mission quelque chance de l’emporter, il nous faut réarmer. Réarmement militaire et policier, bien sûr. Réarmement législatif, partout où cela est nécessaire. Réarmement moral, surtout, pour surmonter collectivement ce syllogisme pervers drapé dans les oripeaux du « vivre ensemble » qui prétend disqualifier, en France, toute action un peu énergique contre les racines de l’islamisme radical au motif que « ce serait faire le jeu des terroristes ». Comme si nous les combattions mieux en tendant notre cou à leur couteau ! Comme si le plus sûr chemin vers des affrontements intercommunautaires n’était pas précisément la démission de l’État, seul détenteur de la force légitime, et seul garant de la paix civile…
Évidemment, pour venir à bout de l’hydre islamiste il n’existe aucune arme miracle. Nous n’écarterons jamais tout risque d’attentat. Est-ce une raison pour ne pas tout tenter ? Bien sûr, cette guerre qui nous a été déclarée sera longue et difficile. Nous essuierons sans doute d’autres défaites. Raison de plus pour ne pas perdre davantage de temps. Merah, Charlie, le Bataclan, Magnanville, Nice… C’est maintenant qu’il faut agir si nous voulons un jour interrompre la sinistre litanie.
Alexis Brézet a entièrement raison.
Quand j’entends un Premier ministre censé veiller à la sécurité des citoyens auxquels il doit sa fonction, répéter en boucle que nous allons devoir apprendre à vivre avec le terrorisme et son cortège d’horreurs, cela me révulse.
Son défaitisme est un signal de faiblesse envoyé aux assassins d’Allah. Son devoir n’est-il pas de rassurer ses concitoyens en leur annonçant la détermination du gouvernement à prendre des mesures-chocs, quitte à déplaire aux communautés musulmanes ? Non, il demande aux gens de continuer à vivre dans la peur, car tel est désormais leur destin. C’est surréaliste.
Nous vivons une époque étrange, où nos dirigeants nous incitent à tendre nos cous aux égorgeurs islamiques, plutôt que de prendre des mesures fortes pour éliminer les bouchers islamistes et leurs sympathisants. Ils préfèrent nous sacrifier par crainte de froisser les communautés musulmanes et leurs richissimes bienfaiteurs arabo-musulmans.
On nous demande de nous résigner à nous faire massacrer par ces monstres islamistes.
Or ces créatures ont été invitées par les Eurocrates de Bruxelles, soutenues par les politiciens de gauche, de droite, les babas cool écologiques, les intellectuels arrogants et hypocrites, les artistes déconnectés de la réalité et un clergé partiellement converti à la « beauté » de l’islam.
Ce sont eux les vrais racistes, occupés à détruire nos identités nationales et souveraines, afin de construire un melting pot absurde.
Ce sont eux qui planifient l’immigration de masse suicidaire pour notre avenir, car elle détruira l’Europe, ce que nous sommes, ce que nous fûmes, en la transformant en Eurabia beaucoup plus rapidement que ne l’avait imaginé Oriana Fallaci, cette grande dame visionnaire, traitée de folle de son vivant par les acteurs malfaisants de ce plan diabolique.
Comme l’a récemment déclaré le ministre de l’Intérieur polonais, le multiculturalisme, le politiquement correct, l’immigration de masse sont responsables de la terreur qui s’abat sur l’Europe. Et il serait temps que nos irresponsables au pouvoir le reconnaissent au lieu de continuer à enfouir leur tête dans le sable et nous conduire vers l’abattoir islamique.
Et s’ils refusent, qu’ils soient démis de leurs fonctions au plus vite, car nul n’est irremplaçable, encore moins de tels incapables, dont les consciences sont rougies par le sang des victimes des attentats terroristes islamistes exécutés par leurs « protégés ».
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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