lundi 24 août 2015

Jeunes migrants, vous êtes des lâches.....


Vous êtes des centaines de milliers à fuir vos pays en guerre. On peut comprendre la fuite des femmes, des enfants, des vieillards, mais pas la vôtre, pas celle des jeunes, des adultes, en âge de se battre.

Vous fuyez vos pays au lieu de les défendre : cela s’appelle de la lâcheté.
Votre devoir est de vous engager physiquement dans cette lutte contre vos ennemis, quels qu’ils soient, dans l’armée, les milices, la résistance, mais pas de prendre le bateau par peur et, surtout, pour des raisons économiques.
Vous n’avez aucun droit au « droit d’asile », qui est destiné fort justement aux courageux, à ceux dont la vie est menacée, et non pas aux fuyards.
Vous vous installez dans des pays que vous prétendez aimer, mais ne serez-vous pas les premiers à fuir ces pays au premier danger qui les menacera ? Comme vous avez fui les vôtres.
En 1940 notre pays, la France, a perdu une guerre et elle a été occupée par l’ennemi nazi. Est-ce que notre jeunesse a déserté pour fuir à l’étranger se mettre à l’abri ? Non, elle est restée et s’est battue. Elle a résisté sur le sol national et dans l’armée d’Afrique.
Notre pays a été libéré de cette occupation par une armée qui se composait, entre autres, de centaines de milliers de jeunes hommes originaires de vos pays, vos grand-pères. Ils ne fuyaient pas, ils venaient offrir leurs vies pour libérer un pays qu’ils ne connaissaient pas. C’étaient des hommes courageux, des combattants et, sous ce prétexte nous devrions accueillir la lâcheté de leurs petits enfants ?
Lors de la guerre d’Indochine, des Indochinois se sont battus jusqu’au bout aux côtés de notre armée. Ils n’ont pas fui !
Lors de la guerre d’Algérie, les Français, à l’exception de quelques lâches (il y en a toujours), et des dizaines de milliers de musulmans, ont risqué, et ont payé, de leurs vies la défense de leur pays.
Et vous, « migrants », comme tous ces « Africains » qui résident en France et manifestent « courageusement » devant les ambassades, sur nos boulevards, à Barbès, etc. où  le seul danger est la proximité de nos forces de l’ordre, au lieu d’aller se battre sur le terrain pour libérer leur patrie, le pays où ils sont nés, celui de leurs parents, sur le sol que défendent, au péril de leur vie, de jeunes soldats français, vous fuyez !
Alors, si vous avez une certaine conscience, une certaine fierté, un jour vous vous reprocherez votre fuite et vous aurez honte de votre conduite.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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