Attentat du Thalys : les Français sont-ils incapables de bravoure ?

L’attaque terroriste du Thalys interpelle, après les attentats de Toulouse, de l’HyperCasher de Vincennes, Charlie Hebdo, l’assassinat d’Ilan Halimi, l’attentat au Musée Juif de Bruxelles, du chef d’entreprise décapité en Isère, ou encore de l’usine AZF de Toulouse.

Le terroriste marocain Ayoub Qahzzani, 26 ans, était lui aussi parfaitement connu des renseignements français. Il avait des armes. Les services de renseignements surveillent ces islamistes, savent qu’ils reviennent de Syrie où ils ont été entraînés à donner la mort et ont sans doute commis des atrocités, été renvoyés par l’Etat islamique pour commettre des monstruosités, et ils les laissent acheter des armes de guerre ?

Le verdict est sans appel : Les soldats américains ont sauvé des Français, probablement des dizaines de vie, ils ont mieux fait que les renseignements, la police et l’armée réunis.

A mon humble avis : si le terroriste avait été arrêté par un français, il aurait fait les frais de la justice !

Souvenez-vous, celui qui s’était interposé pour empêcher un viol a reçu une peine de prison ferme. La légitime défense n’existe plus en France. Mais la ministre Taubira n’osera pas poursuivre en justice ces américains car aux Etats Unis ils ont été honorés pour ce qu’ils sont : des héros qui ont sauvé des vies. Aux Etats Unis, sauver des vies est considéré comme l’acte le plus noble. La vie est encore considérée comme la chose la plus précieuse.

Quelle est l’utilité d’avoir un service de renseignement qui se contente de « classer S » les djihadistes ?

Le carnage évité vendredi porte la signature d’un terroriste déterminé, estiment les experts, dont Jean-Charles Brisard. Les médias préfèrent utiliser le mot suspect car ils tentent de fabriquer une réalité politiquement correcte : cela ne change rien au fait qu’il s’agit bien d’un terroriste.

Un « suspect » armé d’une Kalachnikov AK47, on est en plein délire ! Mais les Francais comprennent le jeu perfide des médias : censurer et manipuler les esprits.

• A quoi sert l’armée française ? A parader sur les Champs Elysées ou sont invités des dictateurs ?
• A quoi sert la police ? A se cacher derrière des radars pour punir les automobilistes ? A éviter les territoires perdus où prolifèrent le salafisme, le trafic d’arme et de drogue ?
• A quoi servent les médias ? A dire ce qui est politiquement correct ? A ne pas froisser la communauté dont sont issus les terroristes ? A lécher les pieds du Qatar qui achète la France et finance les banlieues ?
• A quoi sert le gouvernement ? A bâillonner les islamophobes qui dénoncent les islamo fascistes ?

La culture de la complaisance et de l’excuse permet à la racaille de s’épanouir. Le citoyen français n’a plus que le droit qu’on lui crache au visage, qu’on l’insulte, qu’on le roue de coups pour une cigarette – ou pour rien.

Lorsqu’une personne se fait tabasser dans le RER, personne ne bouge. Quand trois américains les protègent dans un train, ils ricanent, minimisent, changent ce qui s’est passé.

Le pays de la liberté, égalité, fraternité est devenu le pays poltron. Il préfère engraisser les assistés et les immigrés illégaux et abandonner les français historiques qui vivent sous le seuil de pauvreté.

35 000 Francais, ce qu’on appelle les « forces vives » pour ne pas dire ceux qui ont le goût de l’excellence, ont plié bagage en 2013. Dans le contexte, on ne comprend pas pourquoi ils ne sont pas plus nombreux.

Mais le phénomène enfle : 2,5 millions de Français sont partis vivre à l’étranger – et le chiffre augmente de 4 % par an.

Fiscalité en croissance – plus de 70 milliards d’euros de hausse d’impôts en trois ans –, embûches administratives, chômage, insécurité, pouvoir d’achat en baisse, explosion de l’antisémitisme violent des nouveaux arrivés, peur du terrorisme. Les raisons du départ varient et s’aditionnent.

Des attaques terroristes similaires comme celle du Thalys, il y en a des dizaines chaque semaine en Israël. Qu’elles ne soient pas rapportés par les médias ne fait pas qu’elles n’existent pas. Grâce à l’héroïsme de jeunes israéliens, les terroristes sont neutralisés et emprisonnés lorsqu’ils ne sont pas éliminés sur place.

En France, ils voyagent tranquillement en train, armés de Kalashnikov et de munitions.

La France, si elle n’était pas si arrogante, si elle ne considérait pas qu’elle n’a de leçons à recevoir de personne, pourrait s’inspirer d’Israël qui connait si bien le terrorisme. Israël critiqué par l’ensemble des medias pourrait offrir son avancée en matière de lutte contre le terrorisme. Mais non, elle va attendre le prochain carnage, sans bouger. Les discours de fermeté du gouvernement feront l’affaire.

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