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Rabbi Nathan explique que les voeux et serments sont des choses extrêmement étonnantes. En effet, la Torah donne la possibilité à l’homme de s’interdire personnellement une action par l’intermédiaire d’un Néder (voeu) ou d’une Chvoua (serment). L’exemple le plus fameux est celui du Nazir qui fait le voeu de s’abstenir de vin pendant 30 jours (Paracha Nasso). Il s’avère donc qu’un homme a la possibilité de créer pour lui de nouvelles Mitsvot qui ne sont pas écrites dans la Torah. Si je fais le voeu de réciter chaque jour 10 psaumes, cette récitation me devient obligatoire d’après la Torah. Et chaque fois que je les récite, cela m’est compté comme une Mitsva, mais si je l’oublie (D-ieu en préserve) ce sera considéré comme une faute. Ainsi, ce qui était facultatif (la récitation de 10 psaumes) devient pour moi une obligation. J’ai donc créé, si l’on peut dire, une Torah nouvelle. Néanmoins, on ne devra prononcer aucun voeu ou serment sans avoir auparavant consulté un Rav compétent car les Sages ont insisté sur la gravité de faire certains voeux. Rabbi Nathan continue et explique: puisque toute chose peut faire l’objet d’un Néder, elle peut donc rentrer dans le cadre d’une loi de la Torah qui n’existait pas auparavant et devient directement reliée à la Torah. Il faut comprendre de cela qu’en vérité, il n’existe rien qui ne soit pas attachée à la Torah, c’est à dire à la volonté divine. Il faut savoir que de l’infiniment petit à l’infiniment grand, tout a été créé dans une intention précise même si nous ne pouvons le comprendre, on peut retrouver D-ieu partout. Par conséquent, nous pouvons retenir trois leçons de cet enseignement. Premièrement, D-ieu a donné au Juif la possibilité incroyable d’augmenter, en ce qui le concerne personnellement, le nombre des Mitsvot et de créer ainsi une nouvelle Torah. C’est une des dimensions explicatives de ce que les Sages enseignent quand ils disent que le Juif est le partenaire de D-ieu dans la création. Deuxièmement, nous devinons ainsi la force de la parole car il suffit qu’on prononce un voeu avec sa bouche pour que celui-ci devienne valide autant que n’importe quelle autre loi. Et celui qui veut s’en défaire ne le pourra qu’en se présentant devant un Talmid ‘Hakham ou trois personnes afin qu’ils le délient de son voeu. Quand D-ieu a créé le monde, il l’a fait avec la parole, il parlait, c’est à dire exprimait le voeu de créer une chose et réalisait ensuite sa promesse. De la même manière, quand un Juif fait un voeu, il crée lui aussi une nouvelle loi et se doit alors de la respecter pour ressembler au Créateur qui parle et accomplit. Troisièmement, nous avons appris du voeu que tout pouvait être rattaché à la Torah. Néanmoins, cette capacité de retrouver et de comprendre dans chaque chose quel est son lien avec la Torah, c’est à dire en quoi cette chose peut-elle me permettre de me rapprocher d’Ha-chem, cette capacité
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• En donnant la charité avec les deux mains, ta prière sera entendue. • Quand on fait la charité aux Tsadik (le Juste)im (Justes) authentiques et aux pauvres qui le méritent vraiment, c’est comme si on secourait de très nombreuses âmes juives. • La charité constitue le Tikoun (réparation) général de l’activité commerciale. A chaque étape qu’on franchit dans ses affaires, à chaque pas, chaque parole qu’on prononce, pour toute once de force qu’on investit, on doit penser que le seul but est de faire la charité avec l’argent qu’on gagne. • La charité élargit et élève l’esprit. Elle apporte la bénédiction et les moyens de subsistance. • Grâce à la charité, on peut prononcer des paroles qui rayonnent de la sagesse et la lumière de la Torah. • Les actes de charité et bonté arrivent à éliminer les idées étrangères, et nous épargnent du joug des autorités. Nous pouvons ainsi accéder à la perception de la Divinité. • Il convient de faire la charité avant d’entreprendre un voyage. On évitera ainsi toutes les difficultés et souffrances qu’on pourrait rencontrer. • La charité amène la paix dans toute sa splendeur. • La charité donnée en secret rectifie les pollutions nocturnes . • La charité épargne du péché. • Les Sages nous ont ordonné de donner en charité entre le dixième et le cinquième de nos revenus. Ce prélèvement peut nous protéger de nos ennemis. • La charité est un remède à toutes les blessures.
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שבת שלום !
(Suite de la première page)
Eliahou Haviv
est l’apanage des Tsadikim de la génération. Rabbi Nathan explique que c’est la raison pour laquelle notre verset de référence dit: «Moché parla aux chefs des tribus d’Israël (Raché Ha Matot)». Il n’est mentionné pour aucune autre Mitsva que Moché s’adressa aux chefs des tribus si ce n’est pour celle des voeux et serments. Les chefs représentent les Tsadikim de la génération qui ont eux seuls la capacité de pouvoir rattacher tous les éléments du monde matèriel à la Torah Hakédocha qui nous a été transmise par Moché Rabbenou. C’est pourquoi il nous faut rechercher ces chefs afin de ne pas être dupe de l’illusion de ce monde et de pouvoir retrouver, ou croire, que la volonté de D-ieu est omniprésente. (Adapté du Likoutey Halakhot, Hilkhot Nédarim 8) Kessef ve Zaav Spéciale: Honnêteté dans le Travail Ces derniers temps ont été signalé de nombreuses sociétés installées en France ou Israël recrutant de jeunes juifs français et évoluant entre autres dans le domaine du forex ou des options binaires qui trompent les clients de façon honteuse. Les gains sont mirobolants et malheureusement trop de nos compatriotes tombent dans le piège de l’appât du gain et sont loin d’imaginer les conséquences désastreuses sur leur vie. Cette petite rubrique est dédiée à tous ceux qui pourraient se trouver dans une situation où conscient que son activité n’est pas honnête mais voudraient sortir de là. Morceaux choisis essentiellement dans les ouvrages Sefer hamidot et likuthe Etsot Faire les transactions dans la foi Lorsque un juif s’implique dans une transaction commerciale il doit savoir, d’une part que c’est D. qui au bout du compte lui donnera sa subsistance et non la transaction en elle-même :Il devra donc faire de son mieux pour ne pas tromper son client ,son associé ou son employeur et devra agir en tout point avec honnêteté et bonne foi.
Les Citations de la Semaine
L’aspect essentiel de la mémoire est celui qui consiste à se souvenir du Monde à venir. Rabbi Na’hman de Breslev, Liqouté Moharan I, 54 Commentaire: Un étudiant le sait bien : son année d’étude est conditionnée à l’examen de fin d’année qu’il doit obligatoirement réussir. Si cet étudiant ne tenait pas compte de cet examen, il ferait certainement face à un échec cuisant en temps voulu. Notre passage en ce monde n’est qu’un corridor qui doit nous amener plus loin : dans le Monde à venir. Pour avoir accès au Monde futur, nous devons déployer tous nos efforts afin de suivre la Volonté divine et les commandements qu’elle nous a légués. Plus nous gardons cette vérité absolue présente en notre esprit, plus nous possédons de chance de nous rapprocher du but ultime de notre vie : entrer dans le Monde à venir. Ainsi, le monde qui nous entoure ne doit être perçu qu’à travers cette vision unique : celle du Monde futur et de ses attentes. Peu importe ce que pensent nos semblables et la nature de mode du jour, c’est seulement le Monde à venir qui nous intéresse.
David-Yits’haq Trauttman - site : www.lapausecafe.net
Qui séjournera dans sa tente ? Qui demeurera sur sa montagne sainte ? Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son cœur ( Téhilim 15 ;2). Celui qui fait ses affaires avec foi, alors son esprit se renforcera et se ressourcera de sa fatigue. Il faudra bien connaitre les lois financières (selon la Thora )avant de se lancer dans des transactions commerciales. Ceci afin de ne pas trébucher. Lorsque l’homme fait des transactions commerciales avec honnêteté, il doit grandement préserver sa Emouna contre l’attaque d’agents étrangers qui cherchent à le faire chuter, que D. nous en préserve. C’est pourquoi, il doit traiter ses affaires commerciales avec beaucoup de foi , afin de ne pas enfreindre ce que Rav Safra (Baba Batra 88) nous enseigne : « Il dira la vérité en son cœur »(psaume 15) « Ce qu’il a décidé dans son cœur, il ne doit pas le changer » (Makkot 24) Lorsque l’individu traite avec foi ses affaires commerciales, c’est comme si il présentait un sacrifice journalier et procédait au brûlage de l’encens. Sa foi se renforce pour élever toutes les étincelles saintes qui se trouvent dans les écorces cachées.Celui qui effectue ses transactions commerciales avec foi, grâce à l’étude minutieuse des lois qui s’y rattachent, accomplit une grande réparation. Il fait du bien à son prochain , car chaque transaction commerciale qu’il va effectuer dans la foi permettra à l’esprit de son prochain de se renouveler. Aussi, Il méritera de jouir d’une intelligence renouvelée pour l’étude de la Torah et de s’attacher à D.. . Celui qui vole autrui même indirectement, ne serait-ce que la valeur d’une peroutah (une petite pièce de monnaie), est considéré comme s’il prenait son âme et l’âme de ses enfants. Celui qui (tenté par le vol ), se permet de prendre ce qui appartient à autrui, sera capable de commettre n’importe quelle faute. L’oisiveté entraîne le vol. Le mensonge amène le vol. Le fait de tromper les gens amène des maladies du poumon et de la poitrine. Ceci conduit aussi à avoir des désirs illicites avec une femme non-juive. Voler fait perdre l’intelligence et endommage la vue. Les balivernes, la médisance et l’orgueil, ne peuvent conduire qu’à la pauvreté. On y remédie en donnant la charité qui bénit et enrichit. L’immoralité peut priver l’homme de sa subsistance. Grâce à la prière intense, on a le mérite de recevoir son gagne-pain . Moins on veillera à observer une conduite morale décente, plus l’acquisition du gagne-pain causera de difficultés.
בס“ד
COMMENT L’HYPNOSE AGIT-ELLE ? QUELLES SONT SES INDICATIONS ?
Irène Landau PSYCHOTHERAPEUTE
Un des derniers articles concernant l’hypnose, a suscité de vives réactions et de nombreuses questions de personnes intriguées par le sujet qui désiraient des précisions. Peut-on utiliser l’hypnose pour résoudre certains problèmes de vie ? Et si oui lesquels ? Il faut rappeler que l’hypnose, est un état où le cerveau se trouve dans une sorte de sommeil éveillé, dans lequel la personne a accès à des données non disponibles dans l’état habituel de conscience et où l’on peut dans une certaine mesure intervenir sur l’inconscient. Mais comment fonctionne cette méthode ? Et surtout dans quels cas peut- on y avoir recours ? S’agit-il d’une panacée universelle miraculeuse, censée être la réponse à tout ? Au départ, l’hypnose est une méthode mise au point en psychiatrie. En court-circuitant les processus mentaux, elle permet d’atteindre plus facilement l’inconscient. Cela peut permettre de faire ressurgir certains problèmes ou traumatismes du passé et de travailler dessus. Mais comment cela fonctionne-t-il ? Quelles sont les différentes techniques d’hypnose ? L’hypnose traditionnelle est basée sur la suggestion. La personne, dans un état de très profonde relaxation, reçoit des injonctions verbales, visuelles et corporelles de l’hypnotiseur qu’elle accueille en général plus favorablement que dans un état habituel de conscience. L’’hypnose Ericksonienne, sollicite la participation active du patient qui va pouvoir s’exprimer librement. En réalité le thérapeute utilise souvent les deux
méthodes à la fois. Le thérapeute utilise des métaphores, c’est-à-dire un langage symbolique, pour guider l’inconscient du sujet et l’amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes. Le patient échappe alors à la réalité et se concentre sur un point qu’il désire résoudre. Plus rien n’existe pour lui que la voix de l’hypnotiseur qui continue d’être entendue.Ses mots deviennent un stimulus très particulier qui augmente le pouvoir de la suggestion. Celle-ci peut alors provoquer des changements psychologiques ou physiologiques inhabituels : disparition de douleurs, d’angoisses, de symptômes divers, accès à des données inconscientes, à des découvertes, etc. Dans quel cas peut-on se faire hypnotiser ? De plus en plus utilisée en médecine et en psychothérapie, l’hypnose semble efficace pour se libérer de certaines dépendances, de symptômes ou de mauvaises habitudes comme le tabac, la boulimie, l’anorexie, le grignotage…Elle peut aussi agir sur l’anxiété, les troubles de la sexualité et les phobies, entre autres. Elle permet de se rendre en un lieu où l’on ne va jamais, pour remettre de l’ordre dans les données de notre cerveau. Les mécanismes d’action de l’hypnose comportent encore un certain mystère, bien qu’en réalité ce soit un état très simple où nous nous plongeons nous-même assez facilement si nous en avons l’habitude. Si on peut utiliser l’hypnose pour soulager les douleurs , c’est que pendant l’état hypnotique, la production d’endorphines est à son maximum. Or ce sont de véritables antalgiques naturels, qui peuvent permettre de diminuer les doses de médicaments en cas de maux de dos, de migraines, etc. L’hypnose tente d’agir sur les dépendances psychologiques et d’y substituer d’autres comportements. Par exemple, pour travailler sur l’arrêt du tabac, le thérapeute peut suggérer l’association tabac et nausées , ce qui peut aider le patient à se dégoûter littéralement de fumer. Parfois il est utile d’avoir recours à l’hypnose dans des cas où le patient présente des problèmes de mémoire et a du mal dans une thérapie habituelle à retrouver les données qui pourraient l’aider à avancer dans sa vie. L’hypnose, induisant un état de profonde relaxation diminue rapidement l’impact du stress et apaise le patient. Auréolée d’un certain mystère, l’hypnose évoque à tort une sorte de pouvoir occulte de celui qui l’utilise. Ne vous inquiétez pas, son influence sur votre inconscient n’est pas toute puissante. De toutes façons, c’est un état d’éveil où le patient suit parfaitement tout ce qui se passe et se trouve dans une concentration extrême. Il lui devient alors plus facile de surmonter les blocages du conscient et de la raison et d’accéder à son “véritable moi”, celui qui possède toutes les informations et peut l’aider à se reconnecter avec lui-même pour le faire évoluer. C’est une pratique courante qui apporte de nombreux bienfaits. IRENE LANDAU : COACHING ET THERAPIES : 0522 083 666 CENTRE DE LA GUERISON PSYCHOSOMATIQUE A JERUSALEM Aide à la déprogrammation des troubles physiques ou psychiques : Problèmes de couple, vie bloquée, infertilité, chocs, traumatismes, deuil, angoisses, peurs, dépression, fatigue chronique, insomnies, surpoids, hyperactivité, tics, stress, cancer, leucémie, diabète, cholestérol, ostéoporose, épilepsie, hypertension, douleurs, blocages... Consultations sur place ou par téléphone avec l’étranger : 972-2 65-240-65 le soir. paysage@netvision.net.il http://paysagedejerusalem.blogspot.com Conférences sur 613 TV et en audio sur youtube. Commandez le livre Internet : “126 Histoires thérapeutiques”. Vous pouvez organiser une conférence près de chez vous.
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בס“ד
Likoutey Tfilot Pour nous aider à instaurer le dialogue avec D.ieu existent des prières spécifiques, adaptées à chaque situation particulière. Elles furent composées par Rabbi Nathan sur l’injonction de son Maître Rabbi Na’hman. Celui-ci désira que son œuvre principale, le Likoutey Moharan soit traduite et transformée en prière. Le Likoutey Tefilot est donc la transposition du Likoutey Moharan sous forme de prières. Grâce à ces prières toutes prêtes, on peut plus facilement accéder au dialogue spontané et libre avec D.ieu. Par les prières du Likoutey Tefilot on parvient à mesurer son éloignement vis à vis de D.ieu. On parvient à pleurer et à se renforcer dans la joie ! On acquiert la sérénité et les éclaircissements personnels dont on a besoin. On parvient à entrevoir ce qu’est un juif véritable et on désire le devenir. Avec l’aide de D.ieu on peut y parvenir complètement. La Prière de la Semaine
Détails concernant les bénédictions avant la consommation
CHANTER Que ce soit Ta volonté, Eternel, notre D.ieu et Dieu de nos Pères, Toi qui as choisi Ton serviteur David et sa descendance après lui, Toi qui as préféré ses chants mélodieux, que ce soit Ta volonté de Te souvenir dans Ta grande bonté de la Présence de Ta Puissance qui erre d’un endroit à l’autre comme l’oiseau qui erre loin de son nid. « Et Tu Te lèveras, Tu prendras Sion en pitié, car il est temps de lui faire grâce, l’heure est venue «. Relève l’Assemblée d’Israël
Tenir l’aliment en main au moment de la Bérah’a Lorsqu’une personne s’apprête à réciter une Bérah’a sur un aliment ou une boisson qu’elle désire manger ou boire ou même un parfum qu’elle désire sentir, elle doit tenir l’objet en question dans sa main droite au moment ou elle récite la Bérah’a. les décisionnaires apprennent cela à partir d’une Béraïta dans le traité de Bérah’ott. Le mordéh’i ( un de nos maitres les Richonim, tué en sanctifiant le nom d’Hachem en 1254 en Europe) écrit au nom du Raaviya qu’à partir de cette Béraïta on apprend également que même lorsque l’on récite une bérah’a sur une Mitsva tel que pendant la Havdala, on doit tenir l’objet en main. Il faudra donc tenir le verre de vin dans sa main droite au moment de réciter la Bérah’a de Ha- Gefenn et ensuite le faire passer dans sa main gauche pour prendre les encens dans sa main droite et réciter la Bérah’a de Béssamim. Le Choulh’ann ‘Arouh’ tranche comme l’avis du Ravya dans les règles relatives à la Havdala. Entendre la Bérah’a que l’on récite Il apparait dans la Guémara, toujours dans le traité de Bérah’ott (15a) que toutes les Bérah’ott que l’on récite doivent être récitées de sorte que la personne qui la récite puisse entendre cette Bérah’a elle doit donc élever un peu sa voix. Si une personne a récité une Bérah’a à voix muette, a posteriori elle est qd même acquittée par celle-ci.
et fait la remonter de sa chute. Aide-nous en vertu de Ta grande miséricorde et nous mériterons que notre voix s’élève lorsque nous chanterons afin que nous ayons la force d’ordonner devant Toi des cantiques, des chants et des louanges d’une voix remplie de joie et d’allégresse. Que toute notre vie durant, nous chantions d’une voix mélodieuse et agréable comme Tu le désiresD.ieuD.ieuD.ieu
Réciter la Bérah’a doucement Dans le traité Bérah’ott il est dit qu’une personne ne doit pas jeter une Bérah’a de sa bouche (sans intention), mais elle doit penser à ce qu’elle dit. Et sur celui ou celle qui récite une Bérah’a sans intention ce qu’Hachem a dit au prophète Yécha’aya « bien que se peuple c’est approché, de leur bouche et de leurs lèvres ils m’ont glorifié, mais leur cœur est loin de moi ». Il est donc important de penser au sens des mots que l’on prononce (par exemple lorsque l’on dit « Chéhakol Nihiya Bidvaro », on doit penser au sens de ces mots c’est-à-dire « que tout a été créé par sa parole »). Et celui qui prend l’habitude à penser au sens des mots qu’il prononce dans la Bérah’a, cette habitude deviendra par la suite une nature et il n’aura aucun effort à fournir pour cela. Le Rav ‘Ovadya Chlita met en garde sur un autre point. Au moment de la Bérah’a lorsque l’on prononce le nom divin, il faut bien faire attention à séparer le mot « Ata » du mot « Hachem » sinon on peut entendre « Atadonaï ». Il faut être vigilant à ce propos aussi bien dans les Bérah’ott avant la consommation ......
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