Article paru dans "JSS"
En France, l’opinion publique reste très largement sensible aux thèses pro-palestiniennes relayées par les médias mais aussi par un certain nombre d’intellectuels et de formations politiques. D’ailleurs, on peut facilement constater que la politique du Quai d’Orsay n’est pas si éloignée de celle de la Ligue arabe lorsqu’il s’agit du dossier israélo-palestinien.
En France, l’opinion publique reste très largement sensible aux thèses pro-palestiniennes relayées par les médias mais aussi par un certain nombre d’intellectuels et de formations politiques. D’ailleurs, on peut facilement constater que la politique du Quai d’Orsay n’est pas si éloignée de celle de la Ligue arabe lorsqu’il s’agit du dossier israélo-palestinien.
Face à un climat franchement hostile à Israël, certains français aux parcours très différents osent malgré tout apporter leur soutien à la seule démocratie du Moyen-Orient. Rencontres avec celles et ceux qui se tiennent aux côtés du peuple juif.
Au départ, Steven François ne se sentait pas particulièrement concerné par le conflit israélo-arabe. C’est à force de suivre les informations et d’en entendre parler autour de lui que ce jeune militant engagé politiquement à droite s’intéresse davantage au sujet.
Au départ, Steven François ne se sentait pas particulièrement concerné par le conflit israélo-arabe. C’est à force de suivre les informations et d’en entendre parler autour de lui que ce jeune militant engagé politiquement à droite s’intéresse davantage au sujet.
Libéral sur les questions économiques, conservateur sur celles en rapport avec la société et atlantiste, il s’aperçoit que différentes personnes autour de lui apportent leur soutien à Israël.
C’est ainsi qu’il commence à analyser les clichés présentés en France par les grands médias et prend conscience de la réalité sur le terrain bien plus compliquée que la version présentée habituellement à la télévision.
C’est ainsi qu’il commence à analyser les clichés présentés en France par les grands médias et prend conscience de la réalité sur le terrain bien plus compliquée que la version présentée habituellement à la télévision.
Ce jeune « breton de Nantes » comme il se définit lui-même s’est très vite « aperçu qu’Israël représentait la liberté, l’égalité et la démocratie », des principes qui lui sont chers et qui motiveront son engagement pro-israélien qui suscite parfois l’interrogation mais avec lequel il n’a malgré tout jamais rencontré de problème.
Il lui apparait comme étant légitime et normal de soutenir ce pays qui appartient « à la même civilisation ».
L’intérêt que Steven porte à la politique intérieure israélienne est plutôt « occasionnel », c’est surtout au moment des élections qu’il suit de près la situation : « un changement de gouvernement peut avoir des répercussions sur la politique internationale ».
Lorsqu’on lui demande s’il a une préférence : « ce qui m’importe c’est la puissance israélienne et je soutiens par conséquent les dirigeants politiques qui ne s’excusent pas d’être présents ici ».
A 19 ans, il se présente comme étant un « ami des israéliens et du peuple juif » et espère un jour avoir la chance de visiter le pays pour faire une petite immersion dans la société israélienne ainsi que pour visiter les lieux saints chrétiens. Il admire par ailleurs le courage des israéliens qui arrivent selon lui à « faire de très grandes choses malgré un contexte difficile ».
A 19 ans, il se présente comme étant un « ami des israéliens et du peuple juif » et espère un jour avoir la chance de visiter le pays pour faire une petite immersion dans la société israélienne ainsi que pour visiter les lieux saints chrétiens. Il admire par ailleurs le courage des israéliens qui arrivent selon lui à « faire de très grandes choses malgré un contexte difficile ».
Il cite comme exemple la « Silicon Valley israélienne qui inspire le respect parce qu’elle se développe au milieu de conditions difficiles ».
Karine est Bat Noah ce qui signifie qu’elle croit en D.ieu et respecte les Sept Lois de Noé. Le Judaïsme rejette le prosélytisme à l’égard des non-juifs mais considère tout celui qui vit en accord avec les lois noahides comme « juste » et méritant ainsi sa part dans le monde futur.
Karine est Bat Noah ce qui signifie qu’elle croit en D.ieu et respecte les Sept Lois de Noé. Le Judaïsme rejette le prosélytisme à l’égard des non-juifs mais considère tout celui qui vit en accord avec les lois noahides comme « juste » et méritant ainsi sa part dans le monde futur.
Attachée aux enseignements de la Torah, cette toulousaine âgée de 33 ans se tient résolument engagée aux côtés d’Israël et du peuple juif.
Une semaine avant l’attentat contre l’école Ozar Hatorah de sa ville, Karine décide avec son mari de faire leur voyage de noces en Israël après avoir vu les photos du dernier séjour dans le pays d’un ami juif dont l’influence fut d’ailleurs déterminante dans leur parcours.
Une semaine avant l’attentat contre l’école Ozar Hatorah de sa ville, Karine décide avec son mari de faire leur voyage de noces en Israël après avoir vu les photos du dernier séjour dans le pays d’un ami juif dont l’influence fut d’ailleurs déterminante dans leur parcours.
Le 19 mars, elle est bouleversée par la terrible nouvelle et constate avec effroi qu’après la Shoah, en France, à cinq kilomètres de son lieu de travail, «on pouvait encore assassiner des enfants parce que juifs ». Quinze jours après, elle passe son premier shabbat chez des amis en allant à la synagogue du lieu où s’est déroulé la tuerie.
C’est à la suite de cet évènement tragique qu’elle prend conscience du traitement un peu particulier de l’information par les médias français. « Je me suis posée beaucoup de questions, j’en ai parlé avec mes amis juifs et je me suis rendue compte qu’il y avait énormément de désinformation.
» Elle rejoint ainsi Facebook afin « d’obtenir l’information à la source et donc pour suivre l’actualité autrement. Depuis, j’ai à cœur de m’investir dans la défense d’Israël sur internet. »
Karine observe d’ailleurs la politique israélienne de loin et commence tout juste à s’y intéresser. « J’ai suivi en direct à la télévision la venue de Binyamin Netanyahou à Toulouse, son discours et les mots qu’il a prononcé m’ont ouvert le cœur et m’ont fait vibrer. La personnalité du Premier ministre israélien m’a beaucoup plu tout comme le fait qu’il ose chanter Am Israel ‘Hai à Toulouse.
Karine observe d’ailleurs la politique israélienne de loin et commence tout juste à s’y intéresser. « J’ai suivi en direct à la télévision la venue de Binyamin Netanyahou à Toulouse, son discours et les mots qu’il a prononcé m’ont ouvert le cœur et m’ont fait vibrer. La personnalité du Premier ministre israélien m’a beaucoup plu tout comme le fait qu’il ose chanter Am Israel ‘Hai à Toulouse.
» En dehors de cette impression positive sur le leader du Likoud, elle éprouve de façon plus générale une grande considération envers les personnalités et les formations politiques qui résistent aux pressions internationales et qui n’hésitent pas à se battre pour qu’Israël reste l’Etat du peuple juif.
Une nation qu’elle connait mieux depuis son voyage de noces. Lorsqu’elle en parle au travail, certains collègues lui demandent de déposer pour eux une prière au Kotel. « J’étais un peu surprise mais il faut dire que beaucoup trop de personnes considèrent encore les juifs comme des voleurs de terre.
Une nation qu’elle connait mieux depuis son voyage de noces. Lorsqu’elle en parle au travail, certains collègues lui demandent de déposer pour eux une prière au Kotel. « J’étais un peu surprise mais il faut dire que beaucoup trop de personnes considèrent encore les juifs comme des voleurs de terre.
Pour les amis qui me sont proches, par contre, j’ai toujours eu un très bon retour sur cette question. Pour ma part, je considère que malgré 2000 ans d’exil et de souffrances, l’Espoir et le respect de la Vie sont deux qualités qu’Israël et son peuple partagent encore avec les Nations. »
Lorsqu’elle sort de l’avion et découvre pour la première fois Israël, Karine éprouve la sensation d’être à la maison. « Une fois arrivée à l’aéroport, j’étais comme dans un rêve et je ne me suis d’ailleurs jamais autant sentie chez moi qu’en Israël. Chaque minute du voyage était source de joie intérieure. J’étais dans mon élément d’autant plus que j’avais appris à lire l’hébreu et que ce séjour organisé par Léo Guez était justement destiné aux Bnei Noah.
Lorsqu’elle sort de l’avion et découvre pour la première fois Israël, Karine éprouve la sensation d’être à la maison. « Une fois arrivée à l’aéroport, j’étais comme dans un rêve et je ne me suis d’ailleurs jamais autant sentie chez moi qu’en Israël. Chaque minute du voyage était source de joie intérieure. J’étais dans mon élément d’autant plus que j’avais appris à lire l’hébreu et que ce séjour organisé par Léo Guez était justement destiné aux Bnei Noah.
Durant dix jours, on a eu le temps de faire une grande traversée dans le désert puis nous sommes passés avec notre groupe par Ein Gedi, ‘Hevron et bien sûr Jérusalem. Sans oublier ce moment vécu à Yad Vashem qui restera à jamais gravé dans ma mémoire lorsque je remontais l’allée avec une amie juive en nous promettant plus jamais ça ».
Nicolas Mariani est étudiant en droit. A 18 ans, ce militant de droite avait « un a priori favorable » motivé par son engagement politique. C’est en parcourant des sites comme JSSNews ou Dreuz qu’il prend progressivement conscience du décalage existant entre la vision des médias français qu’il qualifie de « pro-palestinienne » et la situation réelle sur le terrain.
Nicolas Mariani est étudiant en droit. A 18 ans, ce militant de droite avait « un a priori favorable » motivé par son engagement politique. C’est en parcourant des sites comme JSSNews ou Dreuz qu’il prend progressivement conscience du décalage existant entre la vision des médias français qu’il qualifie de « pro-palestinienne » et la situation réelle sur le terrain.
Il précise d’ailleurs que son engagement pro-israélien est une démarche personnelle : « c’est un sujet qui ne passionne pas les personnes autour de moi même si elles sont parfois d’accord avec mon discours ».
Passionné par la politique américaine et proche du parti républicain, Nicolas s’est intéressé aux récentes élections législatives israéliennes durant lesquelles il avait une préférence pour « le Likoud qui reste le parti qui se rapproche le plus de mes convictions ».
Passionné par la politique américaine et proche du parti républicain, Nicolas s’est intéressé aux récentes élections législatives israéliennes durant lesquelles il avait une préférence pour « le Likoud qui reste le parti qui se rapproche le plus de mes convictions ».
Il ne comprend d’ailleurs pas le « camp de la paix » et les opposants à Netanyahou dont « le pacifisme forcené et le soutien à la création d’un Etat palestinien à n’importe quel prix sont autant de menaces pour la sécurité d’Israël ».
Lorsqu’on lui demande pourquoi il admire tant cette nation, ce jeune blogueur (http://barreatribord.overblog.com/) et rédacteur pour le média libéral de référence DTOM.fr met en avant la « réussite d’un pays qui contraste avec ses voisins alors qu’on retrouve une multitude de dictatures et de pays pauvres à travers le Moyen-Orient.
Lorsqu’on lui demande pourquoi il admire tant cette nation, ce jeune blogueur (http://barreatribord.overblog.com/) et rédacteur pour le média libéral de référence DTOM.fr met en avant la « réussite d’un pays qui contraste avec ses voisins alors qu’on retrouve une multitude de dictatures et de pays pauvres à travers le Moyen-Orient.
Depuis 1948, Israël est un pays démocratique au développement économique exceptionnel et désormais membre de l’OCDE. Et puis, les minorités y sont respectées et on y retrouve une grande émulation intellectuelle ainsi qu’un nombre important de prix Nobel sans oublier les nombreuses inventions « made in Israël » qu’on utilise quotidiennement à travers le Monde. »
Corse et catholique pratiquant, il tient à rappeler que ses « frères chrétiens sont respectés en Israël alors que le simple fait de se rendre dans une église en Egypte est un acte de courage lorsqu’on a conscience des menaces et discriminations qui visent les chrétiens à travers la région. Et puis concernant Jérusalem, si la ville est sous souveraineté israélienne, cela relève tout simplement du bon sens : Rome est catholique, la Mecque musulmane et Lhassa bouddhiste… d’un point de vue historique et religieux, Jérusalem est indéniablement liée au Judaïsme ».
France-Israël
Agnès vit en Martinique. Agée de 59 ans aujourd’hui, c’est depuis son adolescence qu’elle éprouve un amour inconditionnel envers Israël et le peuple juif. « J’étais toute jeune lorsque je souhaitais me porter volontaire dans un kibboutz. A l’époque, la majorité était fixée à 21 ans, mes parents ne m’ont pas donné leur accord. Ils craignaient pour ma sécurité sur place suite aux nombreux conflits et attentats ».
Avide de tout connaitre sur Israël, le peuple juif et le judaïsme ; on peut dire qu’avec le temps, cet amour est devenu une véritable passion. D’ailleurs, quand on analyse le parcours d’Agnès, il est difficile de trouver un élément déclencheur. Elle propose néanmoins une piste : « à l’époque où j’étais encore adolescente, mon père disait souvent que ma grand-mère était juive. Papa est décédé avec le temps et je n’ai jamais pu faire de recherches sérieuses à ce sujet ».
Citoyenne française comme elle se définit, Agnès considère que « la droite et la gauche, c’est bonnet blanc, blanc bonnet ». Bien qu’elle éprouve quelques difficultés à comprendre le système très particulier qui caractérise la vie politique israélienne, cela ne lui empêche pas d’avoir une certaine sympathie pour Binyamin Netanyahou.
Admirative d’Israël et de Tsahal, elle n’a pas encore eu la chance de voyager dans le pays bien qu’elle en rêve depuis toujours. « Je ne pense pratiquement qu’à ça. Hélas, l’occasion d’y aller ne s’est pas encore présentée faute de moyens. Je n’ai pas pu réaliser mon rêve mais je ne désespère pas.
Corse et catholique pratiquant, il tient à rappeler que ses « frères chrétiens sont respectés en Israël alors que le simple fait de se rendre dans une église en Egypte est un acte de courage lorsqu’on a conscience des menaces et discriminations qui visent les chrétiens à travers la région. Et puis concernant Jérusalem, si la ville est sous souveraineté israélienne, cela relève tout simplement du bon sens : Rome est catholique, la Mecque musulmane et Lhassa bouddhiste… d’un point de vue historique et religieux, Jérusalem est indéniablement liée au Judaïsme ».
France-Israël
Agnès vit en Martinique. Agée de 59 ans aujourd’hui, c’est depuis son adolescence qu’elle éprouve un amour inconditionnel envers Israël et le peuple juif. « J’étais toute jeune lorsque je souhaitais me porter volontaire dans un kibboutz. A l’époque, la majorité était fixée à 21 ans, mes parents ne m’ont pas donné leur accord. Ils craignaient pour ma sécurité sur place suite aux nombreux conflits et attentats ».
Avide de tout connaitre sur Israël, le peuple juif et le judaïsme ; on peut dire qu’avec le temps, cet amour est devenu une véritable passion. D’ailleurs, quand on analyse le parcours d’Agnès, il est difficile de trouver un élément déclencheur. Elle propose néanmoins une piste : « à l’époque où j’étais encore adolescente, mon père disait souvent que ma grand-mère était juive. Papa est décédé avec le temps et je n’ai jamais pu faire de recherches sérieuses à ce sujet ».
Citoyenne française comme elle se définit, Agnès considère que « la droite et la gauche, c’est bonnet blanc, blanc bonnet ». Bien qu’elle éprouve quelques difficultés à comprendre le système très particulier qui caractérise la vie politique israélienne, cela ne lui empêche pas d’avoir une certaine sympathie pour Binyamin Netanyahou.
Admirative d’Israël et de Tsahal, elle n’a pas encore eu la chance de voyager dans le pays bien qu’elle en rêve depuis toujours. « Je ne pense pratiquement qu’à ça. Hélas, l’occasion d’y aller ne s’est pas encore présentée faute de moyens. Je n’ai pas pu réaliser mon rêve mais je ne désespère pas.
Je crois que tout le monde devrait visiter au moins une fois Israël pour rencontrer le peuple juif et se faire une autre idée de ce pays afin de voir comment la vie se déroule réellement sur place sans passer par les médias. Je crois qu’en Israël, les gens sont croyants, courageux… bref, c’est le pays idéal ! ».
Cette amie du peuple juif en sait davantage chaque année sur les fêtes et les différents évènements qui caractérisent le calendrier hébraïque.
Fan de musique israélienne, elle en écoute aussi régulièrement qu’elle en partage sur Facebook. Agnès essaye d’ailleurs d’apprendre l’hébreu et de se familiariser avec la culture israélienne : « j’adore cette langue et je maitrise un peu de vocabulaire. Je découvre progressivement la cuisine du pays même si c’est un peu difficile depuis mon île ».
Loin d’être isolée au niveau familial, c’est bien tout le monde qui semble d’accord avec elle. En particulier, sa mère et son fils qui a été élevé dans l’amour d’Israël et dont un de ses meilleurs amis est juif. Pour sa part et malgré le climat de haine antisioniste, Agnès ne cache pas ses convictions :
Cette amie du peuple juif en sait davantage chaque année sur les fêtes et les différents évènements qui caractérisent le calendrier hébraïque.
Fan de musique israélienne, elle en écoute aussi régulièrement qu’elle en partage sur Facebook. Agnès essaye d’ailleurs d’apprendre l’hébreu et de se familiariser avec la culture israélienne : « j’adore cette langue et je maitrise un peu de vocabulaire. Je découvre progressivement la cuisine du pays même si c’est un peu difficile depuis mon île ».
Loin d’être isolée au niveau familial, c’est bien tout le monde qui semble d’accord avec elle. En particulier, sa mère et son fils qui a été élevé dans l’amour d’Israël et dont un de ses meilleurs amis est juif. Pour sa part et malgré le climat de haine antisioniste, Agnès ne cache pas ses convictions :
« je n’ai jamais été confrontée au moindre regard désobligeant et puis il faut dire que je porte jour et nuit une Maguen David autour du cou. Je me suis toujours sentie juive dans le cœur ».
C’est en prenant des cours d’anglais par téléphone dans le cadre de la formation professionnelle que Jacqueline découvre Israël, un pays qu’elle ne connaissait pas encore malgré son intérêt pour les voyages. C’était il y a plus de quatre ans l’élément fondateur d’une passion pour Israël et le peuple juif qui ne la quittera plus. Ainsi, elle discute souvent d’Israël et des Etats-Unis avec son professeur américano-israélien.
Depuis, cette grand-mère dynamique qui réside dans la Sarthe a pris l’habitude de voyager régulièrement dans l’Etat juif, ce qui ne manque pas de susciter la curiosité de ses six petits-enfants : « c’est un pays qu’ils ne connaissent pas mais qu’ils aiment déjà. Je suis sûre qu’ils seront pro-israéliens plus tard. »
Avant son voyage, Jacqueline éprouve une certaine crainte à l’idée de visiter Israël, une peur due à la couverture médiatique disproportionnée et braquée en permanence sur l’Etat hébreu mais l’envie de s’y rendre reste plus forte d’autant plus que son professeur la rassure en lui affirmant qu’il n y avait aucun risque à visiter le pays.
En juin 2009, cette catholique très croyante découvre Israël aux côtés de sa mère : « nous étions très heureuses de partir là-bas pour la première fois et de partager ce voyage ensemble.
Avant son voyage, Jacqueline éprouve une certaine crainte à l’idée de visiter Israël, une peur due à la couverture médiatique disproportionnée et braquée en permanence sur l’Etat hébreu mais l’envie de s’y rendre reste plus forte d’autant plus que son professeur la rassure en lui affirmant qu’il n y avait aucun risque à visiter le pays.
En juin 2009, cette catholique très croyante découvre Israël aux côtés de sa mère : « nous étions très heureuses de partir là-bas pour la première fois et de partager ce voyage ensemble.
Depuis, j’y suis retournée à cinq reprises parfois seule ou accompagnée d’une amie ou de ma sœur qui avait d’ailleurs promis à notre mère -qui décédera en août 2010- de venir en Israël. Et comme elle n’était plus parmi nous, ma sœur s’est décidée à prendre l’avion pour la première fois afin de faire ce voyage, c’était une façon de rendre hommage à maman. Comme nous, ma sœur est tombée en admiration devant ce pays ».
Depuis ses premiers moments passés en Israël, Jacqueline éprouvait l’étrange impression d’avoir déjà été là-bas. « Je me suis tout de suite sentie très à l’aise, comme chez moi.
Depuis ses premiers moments passés en Israël, Jacqueline éprouvait l’étrange impression d’avoir déjà été là-bas. « Je me suis tout de suite sentie très à l’aise, comme chez moi.
On a fait beaucoup de rencontres très sympathiques. J’ai des amis dans ce pays mais aussi des habitudes et désormais, il m’arrive même de cuisiner israélien ! Je trouve que les gens sont respectueux, on peut se promener le soir, je n’ai jamais peur et je m’y sens en sécurité. D’ailleurs, je discute beaucoup en anglais dans les magasins ainsi qu’avec les israéliens que je croise. »
Jérusalem, Tibériade, la Mer Morte, Ein Guedi, le Golan, Bethléem… sont autant d’endroits que Jacqueline a pu visiter. « C’est un très beau pays qui est encore en plein développement.
Jérusalem, Tibériade, la Mer Morte, Ein Guedi, le Golan, Bethléem… sont autant d’endroits que Jacqueline a pu visiter. « C’est un très beau pays qui est encore en plein développement.
Je ne m’attendais pas du tout à découvrir une telle société. Tel Aviv et la côte méditerranéenne, c’est très moderne tandis que Jérusalem demeure être la ville religieuse. Je suis surprise par toutes les maisons en pierres blanches, je trouve ça magnifique. Et puis l’aéroport est un des plus beaux que j’ai vu. »
Jacqueline essaye d’ailleurs de s’intéresser un minimum à la politique israélienne bien qu’elle constate que le système du pays avec sa multitude de formations politiques et ses alliances inattendues est un peu compliqué. Elle a une opinion positive de l’actuel Premier ministre et comprenait d’ailleurs sa décision de ne pas poursuivre davantage l’opération Colonne de Nuée :
Jacqueline essaye d’ailleurs de s’intéresser un minimum à la politique israélienne bien qu’elle constate que le système du pays avec sa multitude de formations politiques et ses alliances inattendues est un peu compliqué. Elle a une opinion positive de l’actuel Premier ministre et comprenait d’ailleurs sa décision de ne pas poursuivre davantage l’opération Colonne de Nuée :
« s’il n’est pas allé jusqu’au bout dans la guerre avec le Hamas, c’est pour préserver les combattants de Tsahal. Je comprends sa décision : j’ai des enfants, et j’espérais qu’il n’arrive rien aux soldats. »
Celle qui a toujours l’habitude de parler d’Israël avec beaucoup d’amour ne compte pas de pro-palestiniens dans son entourage. Au contraire, les gens autour d’elle portent un véritable intérêt aux photos ainsi qu’aux anecdotes qu’elle a l’habitude de partager. « Un collègue de mon fils souhaitait d’ailleurs avoir plus d’informations sur le pays, il voulait que je lui en parle.
Celle qui a toujours l’habitude de parler d’Israël avec beaucoup d’amour ne compte pas de pro-palestiniens dans son entourage. Au contraire, les gens autour d’elle portent un véritable intérêt aux photos ainsi qu’aux anecdotes qu’elle a l’habitude de partager. « Un collègue de mon fils souhaitait d’ailleurs avoir plus d’informations sur le pays, il voulait que je lui en parle.
Je pense que les français sont intéressés par Israël, le problème réside davantage dans la présentation faite par des médias qui font beaucoup de tort à l’Etat juif. Trop de personnes se laissent encore influencer par ces derniers à défaut de côtoyer quelqu’un qui connait vraiment le pays. Mon engagement pour Israël dépasse le cadre de la sympathie et de l’amitié : je m’identifie à cette nation. »
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