mardi 30 octobre 2012

Le Scandale qui pourrait faire perdre Obama......



Obama savait en temps réel qu’une attaque terroriste était en cours à Benghazi
Dans une interview le 27 octobre sur Fox-News, deux lieutenant-colonel de l’armée américaine, Tony Schafer et David Hunt, ont déclaré que des extraits vidéo provenant de deux drones survolant les environs du consulat américain « ont été transmis en temps réel à 15 endroits différents, incluant la salle de réunion de crise de la Maison-Blanche.

Plusieurs personnes ont été informées en temps réel de la situation » et ont évidemment fait suivre l’information vers le sommet.

« Jamais les communications n’ont été meilleures », a-t-il dit, avant d’ajouter :
« Je déteste dire ceci mais, selon mes sources, oui, il [le Président] était l’un de ceux présents dans la salle en temps réel regardant les événements.
La question devient donc ’’qu’a donc fait ou pas fait le Président alors qu’il voyait la situation se dérouler sous ses yeux ?’’

Seul lui pouvait donner l’ordre au secrétaire à la Défense Panetta de faire quelque chose. »
Le site internet breitbart.com a par la suite divulgué, sur la base de rapports confidentiels qui ont fait l’objet de fuites dans les médias, qu’un avion de combat, probablement un AC-130, survolait la région et que le personnel de sécurité du consulat a appelé à l’aide à plusieurs reprises mais que l’avion n’a jamais répondu.

Une autre bombe a été lâchée le 25 octobre par le journaliste Ed Klein, dans une biographie de Barack Obama, « The Amateur », qui inclut des informations confidentielles montrant que la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait bel et bien ordonné d’accroître la sécurité du consulat dans la période précédant l’attaque, sur la base de demandes provenant du terrain, mais que le Président en avait empêché l’exécution.

Klein a ajouté que Hillary Clinton refuse de rendre publiques les documents à sa disposition par peur de provoquer la défaite d’Obama à l’élection du 6 novembre prochain.

Si les affirmations de Klein concernant l’ordre d’Hillary Clinton d’accroître la sécurité ont été confirmées par d’autres sources proches de la secrétaire d’Etat, l’identité de celui qui a bloqué l’envoi de renforts militaires pour sauver l’ambassadeur et les autres diplomates reste à confirmer.
(Rappelons qu’une escouades de marines a dû violer l’ordre de ne pas intervenir pour tenter de sauver les victimes.)

Obama n’a toujours pas donné de compte-rendu détaillé de son emploi du temps ce jour là,à partir du moment où les nouvelles de l’attaque par 20 individus lourdement armés sur le consulat ont atteint la salle de réunion de crise de la Maison-Blanche, à 16h05, heure de Washington.

Aucune mention de manifestation n’a été faite à ce moment là, contrairement aux allégations publiées par la suite par la Maison-Blanche.

Obama a toujours refusé de répondre aux questions directes des journalistes sur son emploi du temps.
Des experts du renseignement américain consultés par nos collègues de l’EIR ont déclaré que la raison pour laquelle Obama aurait agit de la sorte semble être le fait que le Président souhaitait à tout prix défendre le mythe selon lequel al-Qaïda n’existe plus depuis qu’il a lui-même ordonné l’assassinat d’Osama ben Laden le 2 mai 2011, une action dont il s’est vanté à plusieurs reprises par la suite.

Ainsi, non seulement Obama a-t-il supprimé la vérité sur le premier 11 septembre, celui de 2001 [1], mais il a voulu pousser le bouchon trop loin, jusqu’à faire croire qu’il avait « résolu 9/11 » en assassinant ben Laden, causant de ce fait un « 11 septembre version 2 ».
Une décision psychotique (à la Néron) qui lui sera probablement fatale, a commenté l’économiste américain Lyndon LaRouche à propos de ces révélations.

Présidentielle américaine : Obama s’embourbe à Benghazi

Des mails internes du département d’Etat semblent confirmer que l’attaque de l’ambassade avait été planifiée par un groupe islamiste.

La polémique sur la lenteur, supposée, de la Maison Blanche à réagir après l’attaque contre l’ambassade américaine de Benghazi du 11 septembre dernier a connu un nouveau rebondissement, mercredi 24 octobre, avec la révélation d’emails internes du Département d’Etat.

Plusieurs médias, dont l’agence Reuters et la chaine Fox, ont en effet dévoilé les contenus de mails envoyés dans les heures qui ont suivi l’attaque, dans laquelle 4 Américains avaient trouvé la mort, et montrant que le gouvernement aurait été informé très tôt de revendications islamistes, et n’en aurait pas tenu compte.

Ces nouveaux éléments viennent relancer une polémique particulièrement gênante pour le camp démocrate, et soigneusement entretenue par les républicains.

Depuis la mort de quatre employés de l’ambassade américaine de Benghazi, dont l’ambassadeur Christopher Stevens, l’équipe de Mitt Romney n’a en effet de cesse que de prouver un cafouillage de la Maison Blanche.

La passe d’armes du deuxième débat

L’affaire avait d’ailleurs fait l’objet d’un vif échange entre Barack Obama et Mitt Romney lors de leur débat consacré à la politique étrangère du mardi 16 octobre.
Le candidat républicain avait alors une nouvelle fois attaqué la gestion de la crise par l’équipe du président à qui il reproche de ne pas avoir identifié plus vite la piste islamiste, préférant mettre cette attaque sur le compte des manifestations contre le film anti-islam.

L’attaque de l’ambassade de Benghazi était en effet intervenue le même jour que la première manifestation contre le film "The Inocence of Muslim" au Caire.
Mais selon plusieurs experts, contrairement à cette-dernière, la prise d’assaut de l’ambassade américaine en Libye aurait été en fait planifiée en amont par des groupes islamistes dans le but de "commémorer" les attentats de 2001.

Barack Obama est ainsi accusé de ne pas avoir pris la mesure de la menace terroriste, et de ce fait d’avoir mis en danger le personnel, notamment en ne décidant pas d’augmenter les mesures de sécurité à l’ambassade de Benghazi.

La veille du débat sur la politique internationale, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait tenté de désamorcer ces critiques en prenant, sur elle, "la responsabilité" de l’attaque contre l’ambassade.
Cela n’avait pas empêché Mitt Romney d’attaquer son adversaire en affirmant que son équipe avait mis plusieurs semaines à évoquer la piste terroriste.
La passe d’armes, qui avait été le moment le plus tendu du débat, avait finalement tourné à l’avantage de Barack Obama.

Le président sortant avait martelé avoir parlé "d’acte de terreur" dès le lendemain de l’attaque.
Une déclaration confirmée en direct, et à sa demande, par la modératrice du débat, la journaliste Candy Crowley.

Mitt Romney avait peut-être raison...

Malheureusement pour le camp démocrate, ce coup d’éclat n’a pas suffit à faire taire la polémique qui ne cesse de rebondir.

Dès le lendemain du débat, on apprenait que, finalement, la version de Mitt Romney était peut-être bien celle la plus proche de la réalité.
A la fin d’un discours prononcé le lendemain de l’attaque de Benghazi, Barack Obama utilise bien les mots "actes de terreur", mais d’une manière pouvant sembler générale, non forcément liée à la mort des quatre américains.

Et à aucun moment la piste islamiste n’est évoquée.
Or, en dehors de cette vague déclaration de Barack Obama du 12 septembre, il faudra plusieurs semaines à l’administration présidentielle pour évoquer concrètement la piste islamiste, dans un communiqué du département d’Etat du 9 octobre.

Dans les jours qui ont suivi le débat, Candy Crowley a elle tenté de se dissocier des propos de Barack Obama et de son rôle dans cette affaire :
Juste après, j’ai regardé Mitt Romney et j’ai dit : ‘mais vous avez raison, ça leur a pris plusieurs semaines pour en parler’.

Mais personne ne s’en souvient…"

Depuis, plusieurs éléments sont venus confirmer que le film anti-islam n’avait été qu’un prétexte à l’attaque de l’ambassade de Benghazi, et que celle-ci avait bel et bien était programmée par des militants islamistes, et notamment via les réseaux sociaux comme le montrent les mails révélées hier par Reuters et la Fox.

En effet, ces messages ont été envoyés dès le début des évènements par le département d’Etat à différent services de renseignements et agence gouvernementales.
Or, l’un d’entre eux envoyé deux heures après le début de l’attaque est intitulé "Deuxième actualisation : Ansar al Charia revendique la responsabilité de l’attaque de Benghazi".

Et il y est indiqué :

L’ambassade à Tripoli signale que le groupe a revendiqué la responsabilité sur Facebook et Twitter et a lancé un appel à attaquer l’ambassade de Tripoli".
Difficile désormais pour la Maison Blanche de nier avoir été alerté sur l’implication des islamistes dans l’attaque.

D’autant plus qu’un homme, lié à un groupe islamiste violent, a récemment été interpellé en Tunisie pour avoir justement revendiqué l’attaque sur Facebook alors que celle-ci était encor en cours.

"Facebook n’est pas une preuve en soi"
Hillary Clinton a tenté toutefois de minimiser la portée de ces révélations en estimant :
Poster quelque chose sur Facebook n’est pas une preuve en soi.

Je pense que cela illustre seulement à quel point les informations étaient fluctuantes à ce moment-là, et combien elles le sont restées encore quelque temps"
De son côté, le porte-parole de la Maison blanche, Jay Carney, a rappelé qu’Ansar al Charia avait démenti "quelques heures plus tard" toute responsabilité dans l’attaque du consulat de Benghazi.

Selon les dernièrs éléments fournis par les services de renseignement américains, il semblerait que l’attaque de Benghazi n’ai pas été réellement "préparée" à l’avance.
Les "organisateurs" auraient lancé "l’assaut opportunément après avoir après les violences au Caire" qui auraient ainsi servi de prétexte.

L’affaire est en tous cas du pain béni pour le camp républicain.

L’attaque de l’ambassade de Benghazi fait en effet l’objet de trois enquêtes distinctes : une du FBI, une d’un "panel" du département d’Etat et une menée par le Congrès américain.

http://www.jforum.fr/forum/international/article/l-erreur-qui-pourrait-couter-cher?utm_source=activetrail&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter%20du%2029-10-2012

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