lundi 12 septembre 2011

Occident réveilles-toi : Ils hurlent de joie quand tu pleures..Israël Flash

Occident réveilles-toi ! Ils hurlent de joie quand tu pleures..Israël Flash !

Londres 11 septembre 2011

Le relativisme culturel a rendu l’Occident plus vulnérable que jamais face aux machinations des islamistes. Tarek Fatah appelle l’Occident à se réveiller.


Le mois de septembre ne marque pas seulement l’anniversaire de l’attaque du 11 Septembre contre la liberté, la démocratie et les libertés individuelles.

C’est aussi l’anniversaire d’une autre attaque contre ces principes qui nous sont chers, par un ennemi beaucoup plus fort qui entretenait également des fantasmes de domination du monde : en septembre 1939, la redoutable armée d’Hitler, la Wehrmacht, attaquait la Pologne, déclenchant la Seconde Guerre mondiale – une guerre dans laquelle près de 50 millions de personnes sont mortes pour vaincre l’Allemagne nazie, et, avec elle, la doctrine de la suprématie aryenne qui prétendait asservir le reste de l’humanité.

La différence entre les deux guerres de Septembre est saisissante, et le contraste entre les résultats est sidérant. Alors que les nazis allemands et leurs alliés se vantaient de leur société à la pointe de la technologie avec les plus grandes armées jamais déployées, les terroristes du 11 Septembre étaient une bande de racailles djihadistes imprégnées d’amour pour la mort et de mépris pour les petits plaisirs de la vie.

Malgré la force, la détermination et le militantisme des nazis allemands, des fascistes italiens et des militaristes japonais, il a fallu moins de six ans aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à l’URSS pour infliger à l’ennemi une défaite décisive et humiliante. Ce qui a commencé le 1 septembre 1939 s’est terminé le 15 août 1945 avec la défaite complète de ceux qui aspiraient à dominer le monde.

Comparez cela aux lendemains du 11 septembre 2001. Dix ans plus tard, l’idéologie islamiste qui a inspiré le 11 Septembre est plus forte que jamais. La question qui se pose est la suivante : pourquoi avons-nous vaincu le nazisme, mais échoué à casser l’islamisme ?

Pourquoi les islamistes sont-ils devenus plus influents que jamais aux États-Unis, plutôt que de battre en retraite devant la guerre acharnée contre le terrorisme ? Essayez d’imaginer les responsables de la Maison Blanche frayant avec les nazis américains pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est inimaginable. Pourtant, l’ancien président américain George W. Bush et l’actuel président Barack Obama se sont tous deux mis en quatre pour accommoder les colporteurs de l’islamisme.

Pouvez-vous imaginer l’ancien président Franklin D. Roosevelt s’adressant à un groupe de nazis dans le but de leur « tendre la main » ? Non. Pourtant, nous avons à peine haussé les épaules quand Obama a invité les Frères musulmans à son célèbre discours du Caire en 2009, adressé aux musulmans dans le monde. Il aurait pu choisir l’Indonésie, le pays comptant la plus importante population musulmane, qui est aussi, incidemment, le pays où il a grandi. Au lieu de cela, il a fait le choix conscient de saluer ceux qui considèrent les États-Unis comme leur ennemi.

Alors que l’Occident comprenait le phénomène du nazisme et l’idéologie de la suprématie raciale, nous n’avions aucune compréhension des sociétés du monde islamique, et nous n’en n’avons toujours pas. Alors que nous avons combattu Hitler sans le moindre sentiment de culpabilité, la guerre contre le terrorisme est empreinte d’un sentiment de culpabilité des blancs à l’esprit libéral, et les dirigeants occidentaux s’excusent pour notre civilisation qui a apporté les droits humains, l’égalité des sexes et la citoyenneté basée sur les lois adoptées par les hommes plutôt que la race ou la religion.

Alors que Charlie Chaplin pouvait faire des films ridiculisant Hitler et le nazisme, personne aujourd’hui ne peut se moquer des islamistes djihadistes sans risquer des allégations de racisme et de discrimination. La propagande et la présence des islamistes sont tellement puissantes en Occident que, dix ans après le 11 Septembre, le discours suggère que ce ne sont pas les États-Unis qui ont été victimes d’une attaque par les musulmans, mais l’inverse.

Juste avant le 10e anniversaire du 11 Septembre, le directeur exécutif du Conseil canadien des relations américano-islamiques (CAIR) a publié une liste des « développements positifs » depuis cette catastrophe : un « plus grand dialogue interreligieux » figure en tête de liste. Il a également rappelé à ses lecteurs qu’il est « essentiel de demeurer vigilants et de reconnaître qu’il y a encore des défis à relever ».

Quels sont ces défis ? On aurait pu s’attendre à ce qu’il nomme en premier lieu les attaques incessantes des djihadistes tant contre les musulmans que les non musulmans. Le responsable du CAIR a plutôt suggéré le contraire. Il écrit: «Parmi ceux-ci, l’islamophobie et la rhétorique anti-musulman continuent sans relâche au Canada, en Europe, aux Etats-Unis et dans de nombreuses régions du monde. … Les attaques contre le droit à la vie privée et les libertés civiles se poursuivent. »

Le responsable du CAIR n’a condamné ni les attentats du 11 Septembre ni la doctrine du djihad armé qui a inspiré les djihadistes du 11 Septembre. Et il n’a pas dénoncé les efforts incessants des islamistes pour infiltrer la charia dans le domaine public.

Au lieu d’affirmer les valeurs de l’Occident, la deuxième Conférence mondiale sur les religions du monde après le 11 Septembre, qui s’est déroulée à Montréal le 7 septembre sous les auspices de l’Université McGill, semble avoir été dominée par les islamistes. Si les islamistes ont réussi à convaincre les participants de leur message, cela signifie que des non-musulmans tels que le Dalaï Lama, ainsi que les clercs et spécialistes universitaires d’études religieuses, vont entériner le document odieux promu par les Frères musulmans qui vise à censurer toute critique de l’islam en arguant qu’il s’agit d’une violation des droits humains.

Pendant que l’Occident dort, les islamistes qui se présentent comme des « modérés » s’assurent que nous luttons contre le djihad comme des tigres de papier. Tariq Ramadan, qui a pris la parole au festival interreligieux de Montréal, mène l’attaque contre l’ennemi. Ramadan représente la nouvelle aile sophistiquée du mouvement islamiste mondial qui voit l’Occident comme l’endroit idéal pour mener un djihad intellectuel et culturel. Il est le chouchou de l’establishment islamiste mondial tout en camouflant son agenda islamiste par son double langage ambivalent.

Si l’Occident ne prend pas conscience de la menace posée par l’islamisme, dans dix ans, nous serons toujours engagés dans la prétendue guerre contre le terrorisme qui a enrichi les corporations américaines tout en menant le pays au bord de la faillite – tant au plan financier qu’au plan des idées.

Tarek Fatah

Nous avons publié ce matin publié ce matin un reportage sur les réactions de joie dans les territoires palestiniens à l’annonce des attentats du 11 septembre 2001.

Rappelez-vous c’était le jour même

Aujourd’hui, 10 ans après les islamistes du Monde entier fêtent ce qu’ils appelent une victoire sur l’Amérique. A Londres, les islamistes se déchainent en manifestant et en brulant le drapeau américain devant l’Ambassade US sans que le Police anglaise n’intervienne…

La Police anglaise, soumise et dhimmi, n’intervient pas quand les islamistes portant des pancartes contre la démocratie brûlent le drapeau des USA, pays alliés de la Grande Bretagne.

Les islamistes portaient des pancartes où l’on peut lire « la démocratie est perdue, l’Islam est de retour », « l’Islam dominera le Monde », « L’Amérique est en guerre contre l’Islam et les musulmans », « Emirat islamique d’Angleterre ».

A la fin de la vidéo, vous verrez les policiers empêcher un rassemblement commémoratif en mémoire des victimes des attentats du 11 septembre… Décidément l’Angleterre va bien mal.

Jean-Marc Moskowicz

Aujourd’hui, donc !

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