par Clémence Hadad

Certains des exemples excentriques cités par Mélanie Phillips incluent la croyance populaire selon laquelle la princesse Diana a été assassinée pour l’empêcher d’épouser un musulman ; l’allégation selon laquelle le sida a été crée dans un laboratoire de la CIA ; les pratiques païennes de la Kabbale (depuis que Madonna, l’icône de la modernité occidentale s’est dite adepte du « concept », ses fans portent aussi des fils rouges sur leurs poignets pour conjurer les mauvais esprits) ; les allégations affirmant que les attaques terroristes du 9 septembre 2001 ont été crées par le Mossad.
Les implications les plus importantes de ces pratiques sont examinées dans des sections séparées de son nouvel ouvrage. A l’occasion de sa parution, elle a donné une conférence au « Bnai Brith World Center » à Jérusalem ce lundi 12 septembre à 20 heures.
Le silence et l’admiration des fans régnaient. Selon les participants, l’auteuree a proposé « un vrai et rigoureux exposé », laissant toutefois peu de temps aux questions du public.
La conférence était également l’occasion pour elle de s’attarder sur certains passages de son livre.
Elle affirme également que « l’ONU et son Conseil des droits de l’homme se considèrent comme étant les arbitres des comportements acceptables. Mais, selon elle l’ONU n’arrange rien, elle ne fait que « mettre des renards dans des poulaillers ».
Récompensée par le Prix Orwell pour le journalisme en 1996, Mélanie Philipps est connue pour être l’auteure de « All Must Have Prizes» (en francais « Tout doit avoir un prix »), une étude célèbre de la crise éducative et morale de Grande Bretagne qui a provoqué la fureur des pédagogues et la grande joie et le soulagement des parents.
Son livre publié en 2006, « Londonistant », a connu un tel succès qu’il est devenu immédiatement un best-seller.
Ses idées ont influencé les responsables politiques, qu’ils soient dans le gouvernement israélien ou dans l’opposition qui suivent ses batailles dans les guerres de la culture avec fascination. Elle préfère se décrire comme étant une des personnes défendant des valeurs authentiquement libérales contre la tentative de détruire la culture occidentale de l’intérieur.
M. Phillips rejette formellement l’idée communément acceptée que la foi et la raison soient incompatibles.

Mélanie Phillips est une journaliste anglaise de renom. Auteure de 62 ans, elle a su toucher les cœurs par son franc-parler.
Elle est surtout connue pour son admiration pour Israël et pour sa chronique controversée sur les questions politiques et sociales qui apparait actuellement dans le Daily Mail. Melanie Phillips vient de publier son nouvel ouvrage, « exposing hypocrisy, can’t, falsehood » (en francais « exposer l’hypocrisie ne peut pas induire au mensonge ».)
Sa thèse centrale est que la banalisation de la croyance religieuse et le rejet de l’héritage judéo-chrétien ont contribué à éroder les fondements sur lesquels repose notre civilisation.
Certains des exemples excentriques cités par Mélanie Phillips incluent la croyance populaire selon laquelle la princesse Diana a été assassinée pour l’empêcher d’épouser un musulman ; l’allégation selon laquelle le sida a été crée dans un laboratoire de la CIA ; les pratiques païennes de la Kabbale (depuis que Madonna, l’icône de la modernité occidentale s’est dite adepte du « concept », ses fans portent aussi des fils rouges sur leurs poignets pour conjurer les mauvais esprits) ; les allégations affirmant que les attaques terroristes du 9 septembre 2001 ont été crées par le Mossad.
Les implications les plus importantes de ces pratiques sont examinées dans des sections séparées de son nouvel ouvrage. A l’occasion de sa parution, elle a donné une conférence au « Bnai Brith World Center » à Jérusalem ce lundi 12 septembre à 20 heures.
Le silence et l’admiration des fans régnaient. Selon les participants, l’auteuree a proposé « un vrai et rigoureux exposé », laissant toutefois peu de temps aux questions du public.
La conférence était également l’occasion pour elle de s’attarder sur certains passages de son livre.
Mélanie Philipps considère par exemple le réchauffement climatique comme l’une des plus grandes escroqueries scientifiques de l’âge moderne.
Elle affirme également que « l’ONU et son Conseil des droits de l’homme se considèrent comme étant les arbitres des comportements acceptables. Mais, selon elle l’ONU n’arrange rien, elle ne fait que « mettre des renards dans des poulaillers ».
Récompensée par le Prix Orwell pour le journalisme en 1996, Mélanie Philipps est connue pour être l’auteure de « All Must Have Prizes» (en francais « Tout doit avoir un prix »), une étude célèbre de la crise éducative et morale de Grande Bretagne qui a provoqué la fureur des pédagogues et la grande joie et le soulagement des parents.
Son livre publié en 2006, « Londonistant », a connu un tel succès qu’il est devenu immédiatement un best-seller.
Ses idées ont influencé les responsables politiques, qu’ils soient dans le gouvernement israélien ou dans l’opposition qui suivent ses batailles dans les guerres de la culture avec fascination. Elle préfère se décrire comme étant une des personnes défendant des valeurs authentiquement libérales contre la tentative de détruire la culture occidentale de l’intérieur.
M. Phillips rejette formellement l’idée communément acceptée que la foi et la raison soient incompatibles.
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