Pense bien,, tout ira bien.........
Dès fois, l’homme a l’impression que le monde
entier lui en veut. Tout est noir, il ne
voit que du mauvais dans chaque chose, il
ressent des inquiétudes et des peurs qui prennent le
dessus sur lui. Il faut pourtant qu’il sache que tout
dépend de la Emouna. Et s’il croit vraiment que tout
ce qui lui arrive est en fait pour le bien, tous les
mauvais décrets qui planent sur lui seront adoucis
et toutes ses peurs s’en iront. Si cette personne décide
d’accepter que tout est pour le bien, elle verra des
changements incroyables dans sa vie. Il suffira pour
cela s’asseoir cinq minutes par jour et de se dire que
tout va bien.
Chaque homme peut essayer ce remède : se poser
pendant cinq minutes et se retrouver avec soimême.
Réfléchir aux principes de la Emouna que
le mal n’existe pas dans le monde et que de ce fait,
la seule chose que l’on ait envie de faire est de dire
Merci ! Et si quelque chose lui fait peur, qu'il remercie
justement sur cette chose en particulier.
Remercier Hashem qui Lui a donné cette peur car
il est persuadé que c’est pour son bien. Voil{ un
excellent médicament contre tous les maux : remercier
Hashem en toute circonstance.
Si cela parait difficile d’arriver { un tel niveau d’Emouna
en cinq minutes, chacun demandera à Hashem
de l’aider { arriver au niveau d’Emouna de se
dire que ce qu’IL fait est pour le bien, que le mal
n’existe pas dans le monde. Cette personne demandera
à Hashem de la diriger dans ce chemin
de vérité et que son seul et unique but est de Le
remercier pour tout le bien qu’IL lui prodigue.
Si une personne pense qu’elle fait pitié, que la vie
est un lourd fardeau à porter, que tout est noir et
que tout lui fait peur et qu’elle a l’impression que
le monde s’effondre sous ses pieds, cela signifie
qu’elle a des mauvais décrets sur elle, has veshalom.
Si elle se retrouve chaque jour cinq minutes toute
seule et se répète sans cesse les mots suivants :
« Je crois d’une foi parfaite qu’il n’y a pas de mal
dans le monde. Je crois au contraire qu’il n’y a que
du bien. Je crois parfaitement qu’Hashem est Bon et
ne fait que du Bien. Je crois que ce qu’a fait Hashem
avec moi depuis le jour de ma naissance est ce qu’il
y a de mieux pour moi. Et tout ce qui se passera
dans le futur, ce sera aussi ce qu’il y a de mieux
pour moi ». De cette façon, si un homme revient
quelques minutes sur ces phrases, il verra que les
mauvais décrets s’adoucissent et qu’il se libère de
toute cette obscurité et que la lumière l’éclaire déj{.
C’est ce que chacun devrait demander : remercier
sans cesse Hashem, tout le temps. Que l’on se
prenne en main au moins une demi heure par jour
et chanter à Hashem, le louer pour tout le bien
qu’il nous fait mais surtout pour les difficultés de
notre vie. Changer sa propre nature, sa façon de se
comporter, de s’énerver, d’être cruel et même les
moments d’hérésie ! Justement sur ce qui fait mal,
il faut remercier le Maitre du monde ! Sur la chose
qui nous dérange le plus, remercions Le de tout
notre coeur : « Je te remercie Hakadosh Baroukh
Hou pour tout ce que Tu fais avec moi ». Et c’est
exactement ce qu’Hashem désire. C’est pour cela
qu’IL s’est voilé dans ce monde, c’est afin que
l’homme aille avec des remerciements sans cesse.
Car l’exil est dû au manque d’Emouna.
Une personne qui se comporte de cette façon n’aura
jamais besoin d’aller voir un Rav pour lui raconter
ses « problèmes », au contraire, elle pourra
elle-même recevoir des gens afin de les renforcer
dans leur Emouna en remerciant, dans toutes circonstances,
le Maitre du monde.
Tiré du livre Shéarav Bétoda du Rav Arush shlita
Shabbat Shalom
La Parasha commence par cette injonction :
« Soyez saints, car Je suis Saint, Moi, l’Eternel votre D.ieu ». Ensuite, sont énoncées de nombreuses Mitsvots
par l’accomplissement desquelles le Juif se sanctifie et établit un lien avec la sainteté d’Hashem. Sont rappelés
le respect des parents, celui du Shabbat, la prohibition de l’idolâtrie. Les restes des moissons et des vendanges
doivent être laissés { la disposition des pauvres. Sont posés le principe de l’égalité de tous devant la justice,
l’impératif de l’exactitude des poids et mesures, garant de l’honnêteté des transactions, l’égard dû { l’étranger...
Les lois relatives à la morale sexuelle sont précisées et le caractère sacré de la vie affirmé. Enfin, est
exprimé le principe : " Aime ton prochain comme toi-même ".
Résumé de lla Parrasha
Pour l’élévation des âmes de Meyer Ben Nina & Myriam Bat Esther
Pour l’élévation de l’âme de Haima Bat Ida
Selon les enseignements de notre Maître Rav Ovadia Yossef Chlita rédigés par son fils Rav Yitzhak
Yossef Chlita dans le Sefer Yalkout Yossef
. C’est une obligation de compter les jours du Omer { partir du 16 Nissan jusqu’{ Shavouot
. Une personne ayant oublié d’effectuer le compte du Omer, ou qui s’en abstenu, ne serait-ce
qu’un seul soir, et qui ne l’a pas non plus récité la journée suivante, ne pourra plus le dire avec
la bénédiction les jours suivants. Il en est de même, si on s’est trompé un soir en faisant un
compte inexact et que l’on s’en soit aperçu que le soir suivant : on ne peut plus réciter la bénédiction
les jours suivants.
. Une personne qui a oublié de faire le compte du Omer un soir mais la récite le lendemain
(avant la nuit) sans bénédiction, peut poursuivre les soirs suivants avec la bénédiction.
. Il existe une bonne habitude { Yerushalayim de compter le Omer { la synagogue { l’issue de la
prière du matin, sans bénédiction
. Une personne qui ne se souvient plus si elle a récité le compte du Omer la veille ET ne l’a pas
dit également dans la journée, peut néanmoins continuer à faire la bénédiction ensuite, car il y
a un double doute, et il est permis dans ce cas de faire une bénédiction sur une mitsva que certains
disent qu’il s’agit d’une mitsva de la Torah
. Celui qui s’est trompé dans le compte des semaines, mais a dit le compte exact des jours, peut
ensuite continuer avec la bénédiction.
. Celui qui a un doute et ne sait pas exactement quel est le compte exact, et n’a aucun moyen de
vérifier, ne pourra pas faire la bénédiction, car un compte incertain ne s’appelle pas un compte.
S’il s’avère, le lendemain, que le compte qu’il a fait était exact, il sera permis ensuite de compter
avec la bénédiction
La Hallakha :: Le comptte du Omerr
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Le regret suppose qu’un homme déplore
un acte qu'il a commis. C’est un chemin très
droit vers la Teshouva, car celui qui a commis
une faute et regrette est considéré
comme s’il n’avait pas fauté. Il est impossible
de faire Teshouva sans avoir auparavant
regretté ses fautes passées : c’est une
condition sinéquanone { l’expiation de la
faute. Celui qui n’a pas regretté sa faute, sa
prière n’est pas accepté car comment peut
on dire dans la Amida : « Pardonne nous,
notre Père, car nous avons fauté », si l’on
ne regrette pas ses fautes ?
Cela ressemble à un serviteur qui a fauté
devant le Roi et lui demande pardon. Par
contre, dans son coeur, il ne regrette absolument
pas sa faute et recommence les
jours suivants à commettre la même faute :
le Roi se mettra dans une colère contre lui.
De même, celui qui vole son prochain et demande
pardon. Mais le jour suivant il récidive,
les autorités se mettront d’autant
Le Chemiin des Justtes ......... ........
plus en colère contre lui.
C’est pour cela, l’homme doit regretter, prier
de confesser sa faute, et surtout penser à ne
pas recommencer : de cette manière, sa Tefila
sera acceptée Là-haut.
Par contre, celui qui fait une mitsva mais la
regrette aussitôt est un trait de caractère extrêmement
négatif. C’est pour cette raison
que l’on veillera { ne jamais regretter une
bonne action que l’on vient d’accomplir, afin
de ne pas en perdre sa récompense.
Si l’on vient de donner la Tsedaka { un pauvre
qui par la suite nous a énervé, il ne faut
surtout pas se mettre en colère contre lui et
regretter de lui avoir donné la Tsedaka auparavant.
Car au moment ou on lui a donné de
l’argent, nos intentions étaient pures, la récompense
restera intacte.
A contrario, si l’on se met en colère contre
lui et qu'’on en vienne même { regretter la
Tsedaka faite, le salaire lui afférant est tout
simplement perdu.
Pour l’élévation des âmes d’Avraham Ben Esther & Helene Bat Haima
Pour l’élévation des âmes de Raphael Ben Myriam et Ra’hel Bat Rzala
Les 613 Miittsvotts,, parr lle Haffettz Hayiim
6 . Suivre les voies d’Hashem de tout son pouvoir
Comme il est écrit : « Tu marcheras dans Ses voies ». Nos Sages expliquent
ainsi : « Hakadosh Baroukh Hou est Miséricordieux, sois miséricordieux toi
aussi. IL est Généreux, sois généreux toi aussi, IL est empreint de Piété, efforce
toi de l’être ... ». Et ainsi de suite pour toutes les vertus qui qualifient et décrivent
le Maitre du Monde. On doit Le prendre comme modèle et suivre Ses voies.
En vigueur en tout temps et à chaque instant aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
7 . Prier Hashem chaque jour
Comme il est dit : « C’est Lui que tu serviras ». Pa tradition orale, nos Sages
apprennent que le Service Divin c’est la prière. Prier, c’est Lui dire des louanges
et Lui demander ce que l’on a besoin, L’exalter et Le remercier. Lorsqu’on
prie, on doit faire abstraction de toute pensée étrangère et s’imprégner de
l’idée qu'on se tient devant la Shekhina. On ne doit pas débiter la prière comme un fardeau
dont on se débarrassé pour pouvoir retourner { ses affaires. L’esprit ne doit pas
être confus et troublé pendant que l’on prie.
En vigueur en tout temps et à chaque instant aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
Pirké 1Pirké Avot,
Chapitre 1.........
Moshé reçut de la Torah du Sinaï, et la transmit à Yéos-houa, et Yéoshoua aux Anciens, et les Anciens aux Pro-phètes, et les Prophètes la transmirent aux hommes de la Grande Assemblée. Ils dirent trois choses : Soyez prudent dans le jugement, formez beaucoup de disci-ples et faites une haie à la Torah.
.........
Shimon le Juste était le dernier membre de la Grande Assemblée. Il disait : Le monde repose sur trois choses: la Torah, le Service et la bienfaisance.
.........
Antigone de Sokho reçut la Tradition de Shimon le Juste. Il disait : Ne soyez pas comme des serviteurs qui servent leur maître afin de recevoir une récompense, mais comme des serviteurs qui servent leur maître afin de ne pas re-cevoir de récompense ; et que la crainte du Ciel soit sur vous.
.........
Yéoshoua ben Yo’ézer de Tsereda et Yéoshoua ben Yo-h'anan de Yerushalayim reçurent d’eux la Tradition. Yéoshoua ben Yo’ézer de Tsreida dit : Que ta maison soit une maison de réunion pour les Sages, attache toi à la poussière de leurs pieds, et bois avec soif leurs paroles.
.........
Yossé Ben Yoh'anane de Yerushalayim disait : Que ta maison soit grand ouverte et que les pauvres y soient chez eux. Et ne multi-plie pas les conversations avec la femme. Les sages disaient cela d'un homme avec sa propre femme, alors à plus forte raison avec la femme de son prochain ! Ils ont ajouté : Celui qui multiplie les conversations avec les femmes se fait du tort à lui-même, néglige les paroles de la Thora et finira par hériter du Guehinam.
.........
Yéoshoua ben Pérah'ia et Nitay Ha-Arbéli reçurent d’eux. Yéoshoua ben Pérah'ia dit : Fais-toi un maître et acquiers un ami ; juge tout homme favorablement.
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Nitay Ha-Arbéli di-sait : Eloigne-toi du mauvais voisin, et ne te lie pas au malfai-sant ; ne désespère pas du châtiment
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Yéouda ben Tabay et Shimon ben Chétah' reçurent d’eux. Yéouda ben Tabay dit: Ne sois pas comme les avocats. Lorsque les prévenus seront devant toi, regarde-les comme coupables ; et lorsqu'ils prennent congé de toi, regarde-les comme innocents, car ils ont ac-cepté le verdict.
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Shimon ben Chétah' dit : Interroge longuement les témoins et prend garde à tes paroles, car ils pour-raient les utiliser pour mentir.
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Shemaya et Avtalion reçurent d’eux. She-maya disait : Aime le travail et hais les hon-neurs; ne te fais pas connaître des autorités.
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Avtalion dit: Sages, prenez garde à vos paroles, car vous pourriez être punis d'exil et vous trouver exilés en un lieu aux eaux mauvaises ; que les disciples qui vous succèdent en boivent et en meurent : le Nom du ciel s'en trouverait profané.
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Hillel et Shammai reçurent d'eux. Hillel dit : Soyez comme les disciples d'Aaron, aimant la paix et la poursuivant, aimant toutes les créatures et les rap-prochent de la Thora.
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Il disait : Qui recherche la renommée la perd ; qui n’accroit pas ses connais-sances, les oublie ; qui n'étudie pas mérite la mort ; qui se sert de la cou-ronne de la Thora disparait.
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Il disait : Si je ne suis pour moi, qui le sera ? Et quand moi je suis pour moi, que suis-je ? Et si ce n'est maintenant, quand ?
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Shammai dit : Fais de ta Thora une chose fixe; parle peu, agis beaucoup ; accueilles chaque personne avec le sourire.
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Rabban Gamliel dit : Fais-toi un maî-tre, éloigne-toi du doute et ne t'accou-tume pas à prélever la dîme de façon approximative.
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Shimon son fils dit : Toute ma vie j'ai grandi au milieu des Sages, et je n'ai trouvé rien de bon pour le corps que le silence ; l'essentiel n'est pas le discours, mais la pratique, et qui parle beau-coup amène le péché.
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Rabban Shimon Ben Gamliel dit : Par trois choses le monde subsiste: par la justice, la vérité et la paix.
Pour la guérison totale de Nethanel Ben Ruth
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