La police de Relegem prête pour l'arrivée de l'ex-président tunisien
La police et les services de renseignement tiennent compte de la possibilité que l'ex-président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, chassé du pouvoir en janvier, cherche l'asile en Belgique, et plus précisément dans la localité de Relegem, près de Asse, dans le Brabant flamand, où habitent des membres de sa famille lointaine. C'est ce qu'écrit samedi le quotidien De Morgen.
- La police de Relegem (Brabant-Flamand) prête pour l'arrivée de l'ex-président tunisien, Ben Ali, où habitent des membres de sa famille lointaine. C'est ce qu'écrit samedi le quotidien De Morgen.
Politie Relegem paraat voor komst Tunesische ex-president
Absolument, disons que c'est à 5 minutes de l'Atomium.
je partage avec mes contacts ;-)
Mais non! Il ne viendra ici, il ira dans un pays ami arabe.
Donc, c'est ici :-)
Il peut être poursuivi, n'oubliez pas la " Compétence Universelle" La Belgique ne serait pas un havre de paix. ;-)
Cette (in)compétence universelle avait été conçue, il me semble, uniquement contre les USA et Israël !
Cela sent le 1er avril ;))
Oui, mais la Belgique tourne comme le vent, elle ne soutiendra plus Ben Ali. C'est ce que je pense, de là à dire que j'ai raison, il y a un pas à faire.
JP, pense aux plaintes contre le Ruwanda....
Nous n’irons pas à la manifestation de « solidarité avec les peuples d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient » organisée par la CNAPD et Vrede ce 20 mars
Pourquoi ne pas aller manifester ce dimanche
Rédaction en ligne
vendredi 18 mars 2011, 17:00
Nous n’irons pas à la manifestation de « solidarité avec les peuples d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient » organisée par la CNAPD et Vrede ce 20 mars.
En effet, le 4e mot d’ordre de cette manifestation nous révolte par son hypocrisie : « Réclamer le respect de la souveraineté des pays et des peuples en question » . Rédigé au terme de discussions au sein de la CNAPD et de Vred, et sous prétexte de « protéger » les peuples arabes d’une « guerre pour le pétrole « menée par des Occidentaux rapaces, ce 4e mot d’ordre revient concrètement à laisser les mains libres à la Jamahiriya dans sa campagne de reconquête meurtrière du territoire libyen. Cela revient également, en concordance avec les États-Unis, à laisser les mains libres à l’Arabie saoudite pour écraser les revendications de liberté et de dignité des citoyens chiites bahranis.
Le 5 mars 2011, au terme de manifestations et de combats courageux qui forcent le respect chez quiconque connaît l’idéologie et surtout le palmarès meurtriers de la Jamahiriya libyenne, les insurgés réunis au sein du Conseil national de Transition (CNT) ont proclamé la naissance de la nouvelle République libyenne. C’est au nom de cette souveraineté revendiquée que la République libyenne demande, depuis aujourd’hui 12 jours, un appui de l’Union européenne dans son combat contre le régime totalitaire de Kadhafi. C’est donc au nom de cette souveraineté revendiquée et au nom de nos valeurs que les Libyens lancent des appels à l’aide désespérés. Cela n’a pas empêché certains « esprits forts « de s’étonner du degré d’organisation des insurgés et d’y voir, bien évidemment, la preuve d’une ingérence étrangère. L’effondrement des insurgés libyens, l’impréparation de ces manifestants courageux improvisés rebelles et les atrocités commises contre leurs civils devraient faire honte à ces « intellectuels « et les renvoyer à leurs chères études.
Hélas, en choeur avec certaines diplomaties européennes, la CNAPD et Vrede refusent catégoriquement que l’UE fournisse le moindre appui militaire, même limité dans le temps, même avec un mandat de l’ONU, même motivé par de stricts impératifs moraux et humanitaires. Il ne s’agit pas ici que de mots et de beaux slogans. Concrètement, la CNAPD et Vrede, qui se targuent de respecter la souveraineté des peuples et des États, répondent par un silence méprisant et un refus catégorique aux appels à l’aide des insurgés libyens. Ces derniers ne demandaient pas la lune et, surtout, ils avaient clairement signifié que leurs demandes d’aide n’appelaient pas une intervention étrangère au sol, qui risquait de déboucher sur un scénario irakien post-baasiste.
Hélas toujours, peut-être aveuglés par la bêtise ou le cynisme d’Hugo Chávez qui s’était imaginé pouvoir servir de médiateur entre son allié « Frère et Guide de la Révolution « et les Libyens insurgés, les responsables de la CNAPD, interpelés par des citoyens belges d’origine libyenne, ont répondu être catégoriquement opposés à la demande formulée par le CNT d’une zone d’exclusion aérienne, sous prétexte que, dans le passé, l’instauration de telles zones aurait toujours pavé la voie à une intervention terrestre. Ce qui, en l’occurrence, est faux. L’instauration d’une « no-fly zone » en Bosnie-Herzégovine n’avait pavé le terrain à aucune intervention étrangère mais à un accroissement du nombre de casques bleus de l’ONU déjà présents sur le terrain. En Irak, l’instauration de 2 « no-fly zones » en 1991 avait été décidée après que le régime baasiste ait massacré 100.000 de ses citoyens et soldats révoltés contre le régime de Saddam Hussein fragilisé par la défaite lors de la guerre du Koweït. Ces « no-fly zones » avaient précisément pour objectif d’empêcher tout déploiement militaire américain au sol. L’invasion anglo-américaine de mars 2003 n’a été effectuée que 12 ans plus tard et en rupture avec la stratégie de confinement militaire incarnée par la « no-fly zone » .
Un autre argument avancé par certains altermondialistes, prenant sans doute les opposants libyens pour des demeurés, est qu’une intervention étrangère ne serait motivée que par le pétrole, comme si les Libyens ne le savaient pas. C’est d’ailleurs ce statut de pays exportateur de pétrole et de gaz qui a fait croire aux opposants libyens que les Européens saisiraient cette opportunité… Enfin, certains déclarent également que des « frappes aériennes ciblées », demandées par le CNT, tueraient des innocents. Cet argument revient, involontairement certes, à considérer que les Libyens qui se font massacrer depuis le 15 février ne sont pas innocents…
Donc, drapés dans notre bonne conscience autiste, nous, Européens « de gauche « et « démocrates », savons mieux que ces pauvres Libyens ce qui est bon pour eux et nous rejetons les appels à l’aide des représentants provisoires d’un peuple qui vit et souffre aux frontières de l’Union européenne. Certains de nos interlocuteurs nous rétorquent que ceux qui, parmi les Européens, prônent un recours limité à la force armée auraient davantage de légitimité s’ils avaient, en décembre 2008 et janvier 2009, également demandé une opération militaire d’interposition et imposé un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Cette comparaison est bancale. Lors de l’Opération « Plomb durci «, aucun acteur politique palestinien impliqué n’a demandé l’intervention armée de la communauté internationale : le Hamas n’a demandé aucune intervention et le Fatah a « compté les points « en espérant secrètement que l’armée israélienne écraserait le Hamas et permettrait à l’OLP de reprendre le contrôle d’une bande de Gaza qui lui échappait depuis l’été 2007.
Dans le cas de la Libye, la demande d’une intervention étrangère est explicite et politiquement élaborée par les Libyens eux-mêmes. Mais nous n’en avons cure et continuons à considérer que nous pensons mieux que les insurgés libyens. À gauche, nombreux sont ceux qui ne semblent pas se rendre compte que l’écrasement de l’insurrection libyenne contient en germes la mort à petit feu du « Printemps des peuples arabes « . Réarmée par la Syrie (elle-même armée par l’Iran) et l’Algérie, la Jamahirya libyenne pourrait bientôt proclamer que « l’ordre règne à Benghazi « . Pour beaucoup de citoyens des autres États arabes, l’immobilisme des Européens face à la « normalisation « sanglante de la Libye signifierait que ces Européens, fussent-ils drapés dans leur bonne conscience de gauche, ne bougeraient pas davantage pour appuyer, de façon plus concrète que par de beaux slogans, les Arabes dans leur combat pour la liberté et la Karâma, la Dignité.
Cela signifierait également que la petite Tunisie pourrait craindre pour sa « transition démocratique «, menacée qu’elle serait par une Jamahiriya libyenne requinquée et déterminée à déstabiliser ce voisin dont les citoyens courageux avaient donné en décembre 2010 le coup d’envoi au « Printemps arabe « . Cela signifierait aussi que la dictature baasiste syrienne saurait désormais qu’elle pourrait écraser dans le sang d’éventuelles manifestations sans susciter autre chose que des haussements d’épaules. Cela signifierait également que la transition démocratique égyptienne serait elle aussi menacée. Cela signifierait enfin que les Palestiniens et les opposants israéliens sauraient désormais qu’ils resteront définitivement seuls dans leur face-à-face à huis clos avec l’occupation et la colonisation israéliennes.
Investis intellectuellement et physiquement depuis plus de vingt ans dans la défense des droits individuels, collectifs et nationaux des sociétés du Moyen-Orient et du Maghreb, nous, signataires de cette tribune, avons ressenti, comme nombre de nos confrères, collègues et amis, une joie et un soulagement indescriptibles devant l’avènement du « Printemps arabe « . Mais, depuis le début, nous craignions aussi que ce « Printemps « ne soit à moyen terme chassé par un « Automne « voire un « Hiver » : la reprise en mains des sociétés insurgées par les appareils sécuritaires. Jamais nous n’aurions cru que le risque de cet « Hiver » advienne si rapidement. Jamais non plus nous n’aurions imaginé que notre environnement politique « naturel « se montrerait si frileux et si aveugle. »
La manifestation du 20 mars se veut sans doute un soutien aux peuples du Maghreb et du Moyen-Orient. Son 4e mot d’ordre n’est en fait rien d’autre qu’un baiser de la mort.
Pascal Fenaux
Chargé de cours à l’IHECS, journaliste et traducteur à Courrier international (Paris) et à la Revue nouvelle (Bruxelles)
Pierre Vanrie
Assistant à l’ULB, journaliste et traducteur à Courrier international (Paris) et à la Revue nouvelle (Bruxelles)
Pierre Coopman
Journalise et traducteur pour le blog Arab Press (http://www.arabpress.typepad.com) et à la Revue nouvelle (Bruxelles)
COMMENTAIRE F.B
- Pascal Fernaux n'aime pas Israël..
- Y en a tellement !
- Oui, il faut lire ces articles dans le "Corrier International", c'est à vomir.
- Courrier
- j'ai reçu l'invitation..MAIS JE N'IRAIS PASSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS SS8 -
Emma Itoua Attends que je te fwd la réponse du Bourgmestre de Bxl suite au courriel que lui a envoyé Jacques Sobieski par rapport à la manif du samedi dernier..Voilà:
Voici la réponse du Bourgmestre de Bruxelles au courrier que je lui ai adressé, un courrier copie de la lettre de Luc Henrist par rapport à la manifestation anti juive de Bruxelles du 12 mars 2011.
Cher Monsieur Sobieski,
J’ai bien reçu votre... courriel concernant la manifestation qui s’est déroulée ce samedi 12 mars 2011 dans la rue Neuve. Permettez-moi de vous expliquer la démarche qui fut la mienne dans la délivrance de son autorisation.
Nous avions reçu une demande d’associations musulmanes pacifistes, connues de nos services pour avoir déjà manifesté à plusieurs reprises dans les rues de Bruxelles et ce, toujours dans le respect des règles fixées tant par la législation que par les services de police.
Leur demande pour le samedi 12 mars respectait en tous points la législation et, suite au rapport de police qui m’a été fourni, je n’avais absolument aucune raison de l’interdire. Des limites avaient par contre été établies avec les organisateurs afin de préserver l’ordre public et de ne pas choquer les spectateurs.
Sans me prononcer sur le contenu de leur message, il apparaît clairement que les organisateurs ont dépassé les limites qui leur étaient fixées. Je regrette donc les proportions que l’évènement a pu prendre et déplore le fait que des personnes aient pu en être choquées.
J’ai demandé à mes services de police d’être très vigilants à l’avenir quant à l’autorisation de ce type d’actions sur l’espace public. Tout en préservant le droit à la liberté d’expression, nous mettrons tout en œuvre pour éviter qu’un tel scénario ne se reproduise.
J’espère avoir pu vous apporter des éléments de réponse satisfaisants et vous prie de croire en l’expression de mes sentiments les plus distingués.
Freddy THIELEMANS,
Bourgmestre de la Ville de Bruxelles - Burgemeester van de Stad Brussel
Grand-Place - Grote Markt
1000 BRUXELLES - 1000 BRUS
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CENTCOM, votre ami sur Facebook?
Le commandement central américain a engagé une société pour développer un logiciel qui permet secrètement faux personas en ligne d'influencer les conversations Internet et de la propagande pro-américaine. Et c'est seulement pour être utilisé sur des citoyens non américains. Le lieutenant-colonel Anthony Shaffer pèse en
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Nucléaire : « une course contre la montre » au Japon
Par Rue89 | 17/03/2011 | 17H15
Les autorités tentent par tous les moyens de refroidir les réacteurs. L'inquiétude internationale grandit. Live blogging.
15h50. Une semaine après le tremblement de terre et le tsunami, le bilan provisoire ne cesse de s'alourdir : 7 000 morts et plus de 10 000 disparus, selon la chaîne de télévision NHK.
15h45. Dans une tribune publiée par Le Monde, le président d'EDF veut rassurer les Français. La sécurité est « une obsession », assure Henri Proglio, en promettant « de la responsabilité et encore plus de transparence » :
« Cette émotion, je la partage. Elle est indissociable de la priorité des priorités d'EDF : la sûreté des installations. Cette culture, cette obsession de la sûreté est dans les gènes de notre industrie. C'est une école d'humilité, une mobilisation de tous les instants. Car, en la matière, rien n'est jamais acquis dans ce métier industriel. C'est une école de réalisme, aussi : aucune technologie n'est sans défaut ou sans risque. »
15h30. Les tentatives de refroidissement se poursuivaient à la centrale de Fukushima ce vendredi. Il y a urgence : les piscines de refroidissement des réacteurs 2, 3 et 4 sont en ébullition. C'est « une course contre la montre », a expliqué le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique.
L'Agence a relevé le niveau de gravité de la situation : elle est passée de 4 à 5 dans l'échelle des accidents nucléaires. La catastrophe de Tchernobyl avait atteint le niveau 7, le plus élevé à ce jour.
20h15. Des nouvelles tentatives de refroidissement des réacteurs 3 et 4 de la centrale Fukushima-1 avec le largage d'environ 30 tonnes d'eau de mer ont eu lieu, ainsi que la réactivation du mécanisme de refroidissement de la centrale. Les opérations devraient se poursuivre vendredi.
L'opérateur de la centrale, Tokyo Electric Power (Tecpo) tente toujours de rétablir l'électricité sur le site pour relancer les pompes nécessaires au refroidissement des réacteurs et les barres de combustible usé, six jours après les séismes et le tsunami qui ont dévasté le Japon. Le dernier bilan officiel des morts et disparus est de 14 650 personnes.
17 heures. Point presse quotidien de l'AIEA :
« La situation reste très sérieuse à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Mais il n'y a pas eu d'aggravation significative depuis hier (mercredi) », a déclaré Graham Andrew, conseiller spécial du directeur général de l'AIEA Yukiya Amano sur les questions scientifiques et techniques :
« Je pense qu'il est trop tôt pour parler » d'un rayon d'espoir, a-t-il ajouté lors du briefing de presse désormais quotidien de l'agence onusienne. La situation « ne s'est pas détériorée, ce qui est positif. Mais il est toujours possible qu'elle empire.Sans vouloir spéculer, on est autorisé à dire qu'elle “est raisonnablement stable par rapport à hier.”
16h45. Malgré les déclarations rassurantes des autorités japonaises, l'inquiètude internationale grandit. L'ambassade d'Allemagne à Tokyo a ainsi décidé de déménager à Osaka, à 400 km au sud de la capitale. L'AFP (Agence France Presse) fait de même :
“Seuls deux journalistes japonais restent, à leur demande, et pour le moment, à Tokyo. l'AFP continuera à couvrir les évènements grâce à des rotations quotidiennes depuis Osaka.”
16 heures. Une carte permet de visualiser les tremblements de terre des sept dernier jours au Japon.
15h30. Lors d'un déplacement dans les Bouches-du-Rhône, Nicolas Sarkozy a déclaré qu'il souhaitait de rendre au Japon “dès que possible”, en solidarité avec les Japonais. Il pourrait profiter de son déplacement en Chine le 31 mars dans le cadre du G20.
12h30. Après une tentative avortée avec les canons à eau de la police, l'armée tente de maîtriser le réacteur 3, dont la température monte. Olivier Gupta, directeur général de l'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN), explique que “le seul moyen possible pour stabiliser la situation” à la centrale de Fukushima est d'apporter de l'eau en quantité suffisante pour refroidir les installations.
Le quotidien The Telegraph a mis en ligne une carte de la radioactivité sur le sol japonais.
11h45. Les autorités japonaises ne peuvent pas recourir comme prévu à l'utilisation d'un camion citerne équipé d'un canon à eau pour arroser un des réacteurs de la centrale de Fukushima (nord-est), en raison du niveau élevé des radiations, rapporte la télévision publique NHK.
11h30. Selon des officiels japonais qui se sont exprimés sur NBC, “compte-tenu des données scientifiques, il n'y absolument aucune raison
de quitter Tokyo”.
11 heures. Maurin Picard, correspondant de France24 à Vienne, au siège de l'AIEA (Agence Internationale de l'énergie atomique), explique en vidéo ce qui se passe au niveau des réacteurs 3, 4 et 5 de la centrale de Fukushima . (Voir la vidéo)
10 heures. De faibles doses de particules radioactives issues de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima 1 se dirigent vers l'Amérique du Nord, a déclaré jeudi un expert suédois. Lars-Erik De Geer, directeur de recherche à l'Institut de recherche de la défense suédoise, s'est appuyé sur les données d'un réseau international de stations de surveillance de la radioactivité. Il a souligné que de tels niveaux de radioactivité n'étaient pas dangereux pour la santé. Blandine Grosjean
9h20. Au cours de la nuit de mercredi à jeudi (heure française), l'armée japonaise a finalement réussi à déverser de l'eau par hélicoptère sur le réacteur numéro 3 de la centrale de Fukushima. L'opération avait été jugée trop risquée la veille en raison du niveau de radioactivité, mais “ aujourd'hui, c'est la dernière chance ”, a expliqué le ministre de la Défense.
Selon l'agence Kyodo, deux hélicoptères militaires ont réalisé quatre largages d'eau de mer au-dessus du réacteur 3, avec un volume de 7 500 litres d'eau à chaque fois. Le niveau de radioactivité n'aurait pas encore baissé pour l'instant, annonce Tepco, l'opérateur de la centrale.
Les autorités devraient expérimenter dans la foulée une autre technique, en utilisant douze camions équipés de canon à eau (l'un appartenant à la police, les autres étant des camions incendie de l'armée). François Krug
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BRUXELLES POUR LA FAMILLE FOGEL
La communauté juive de Bruxelles, à l'appel de l'UEJB, s'est rassemblée devant l'ambassade d'Israel afin d'exprimer sa colère et sa peine à la famille Fogel lachement assassinée par un terroriste palestinien. Ce crime barbare est passé sous silence par les médias. Aucune cause ne poura jamais justifier la sauvagerie et la cruauté du meutre d'un bébé de 4 mois, et de deux enfants de 4 ans et 11 ans. Europe Israel a tenu a témoigner lors de ce rassemblement son soutien et sa solidarité avec la famille Fogel et le peuple israélien. Ces assassinats sont des crimes contre l'humanité qui auraient du soulever l'indignation de toutes les opinions publiques évoluées pour dénoncer la barbarie et la cruauté des palestiniens contre lesquels Israel doit lutter.
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