dimanche 20 mars 2011

11 simulations légendaires dans le football..


11 simulations légendaires dans le football..



Des simulations dans le football, on en voit tous les week-ends. Mais des vraies belles performances dramatiques, mêlant audace et inventivité, c’est plus rare. Certains ont su se forger un nom grâce à cette pratique qui nous fait, malgré nous, aimer un peu plus le foot. 10 scènes d’anthologie qui n’auraient peut être pas vu le jour avec un implacable arbitrage vidéo. Et ça aurait été dommage.


1. Rivaldo : 1ère place parce que c’est en Coupe du Monde, que la simulation est grossière et que l’arbitre expulsera Hakan Unsal. Aussi ridicule que scandaleux. Mais historique.

2. Fabricio Ravanelli : Honneur au patron. « On ne le voit pas très bien à vitesse réelle, mais nous allons le revoir au ralenti…. « . Est-ce bien nécessaire… Le plus bel auto-croche pied de l’histoire de la ligue 1 ?

3. Alberto Gilardino : Bon, forcément, il y a quelques Italiens dans ce classement… mais comment ignorer cette tentative de l’attaquant de l’AC Milan ?


4. Oleksandr Kucher : En Ukraine, les soirs de Shaktar-Kiev, inutile d’aller au théatre. A-t-il été poignardé ? Le joueur du Dinamo a-t-il instruduit un scorpion dans son col ? Empoisonné ? Le mystère reste entier…

5. Bryan Carrasco : Un match U20 entre le Chili et l’Equateur illuminé par un geste de génie, tout neuf, une inspiration, une entrée fracassante dans la légende. Du jamais vu: pour mieux simuler, provoque la faute.


6. Djordjevic et Mondragon : S’il est difficile de simuler seul, le faire en duo relève de la performance. Contrat rempli à l’occasion d’un Olympiakos-Galatasaray de légende. Existe en version joueur/entraineur avec Albert Streit et Norbert Meier . Du grand art.


7. Kaj Ennigarð : Simuler pour obtenir une faute, c’est une chose. Le faire quand on a déjà obtenu gain de cause, c’est l’art pour l’art, et là, on s’incline..


8. Emerson ‘Piojo’ Acuña : Magnifique performance en Colombie, dans une rencontre entre Atletico Junior et l’America Cali avec un combo « hors-jeu/plongeon ». Audacieux et payant.

9. Dida : Si ni un joueur ni l’arbitre ne vous touche, il faut compter sur le public. Et tout donner.



10. Tony et Materazzi : La double simulation, un vrai must à l’italienne.



11. Jens Lehmann : fauché en plein vol, souffrant le martyr, et puis se remettant très vite. L’invention de la guérison spontanée.



12. (Bonus 1): Le footballeur inconnu : Essayer d’abuser l’arbitre en lui faisant croire à une faute de l’arbitre, c’est la marque des grands.

13. (Bonus 2) : Ce n’est pas bien d’entretenir les clichés… mais c’est tellement bon.

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