dimanche 12 novembre 2017

À Sydney, le cheikh chiite Taleb Khozaei affirme que la femme ne peut quitter son domicile sans la permission de son mari et doit toujours se rendre disponible pour le sexe.....


Tout au long du mois du Ramadan, le cheikh chiite irakien Taleb Khozaei a donné une série de conférences à la mosquée Hussainayet Ale Yassin de Sydney, en Australie, sur les devoirs de la femme envers son mari. Le 31 mai 2017, il a affirmé que « l’un des devoirs les plus importants de la femme est d’obéir à son époux » et qu’elle doit obtenir sa permission pour sortir de chez elle ou utiliser son argent. 
Le 8 juin, Khozaei a déclaré, citant un hadith du prophète Mahomet, que la femme doit se rendre disponible pour les relations sexuelles avec son mari quand il le souhaite, « même si elle est sur un chameau », précisant que « l’un des objectifs du mariage est le contrôle des pulsions sexuelles [du mari] ». Ces sermons ont été mis en ligne sur la chaîne YouTube de la mosquée. Extraits :
Taleb Khozaei : Le prophète Mohammed a dit : « Si Allah m’avait ordonné de faire agenouiller quelqu’un devant quelqu’un d’autre, j’aurais ordonné aux femmes de s’agenouiller devant leurs maris ». Dans ce cas, s’agenouiller signifie obéir. 
Par conséquent, l’un des devoirs les plus importants des femmes est d’obéir à leurs maris. Nous avons quelques problèmes. Les pays progressistes, qui appellent à la liberté absolue, nous ont causé quelques problèmes. L’islam ne veut pas cela. L’islam est le sommet du progrès et de la liberté, mais il donne à la liberté la place qui lui revient. 
Lorsqu’une femme veut sortir de chez elle, elle doit obtenir la permission de son mari. Une femme ne doit rien faire avec l’argent de son mari sans sa permission. C’est de l’obéissance. C’est l’un de ses devoirs. Quelqu’un doit être le responsable à la maison, et c’est le mari. « Les hommes sont les tuteurs des femmes ». C’est l’homme qui est le responsable. Dans la maison d’un couple, il doit y avoir un système avec un chef de famille et ses subordonnés. 
Le chef de famille a ses droits et ses devoirs, tout comme les subordonnés. C’est ce que l’on appelle en anglais une « réaction ». C’est du donnant-donnant. Vous avez des droits, et vous avez des devoirs. Le premier devoir d’une femme est d’obéir à son mari, et de ne pas se rebeller contre lui, selon ce qui trouve grâce aux yeux d’Allah et qui est conforme à la loi islamique. Je me souviens d’une histoire sur une femme dont le mari, avant de partir en voyage, lui avait dit : « Ne quitte pas la maison ». 
Il lui a laissé tout ce dont elle avait besoin : nourriture, boisson et une servante. Il lui a dit : « Ne sors pas jusqu’à ce que je revienne de voyage ». Cependant, Allah a frappé son père de maladie. Lorsque sa maladie a empiré, elle a voulu sortir de la maison. Elle a envoyé sa servante chez le prophète Mohammed, pour qu’elle lui dise que son mari lui avait ordonné de rester à la maison, mais son père était encore plus malade. 
Le prophète Mohammed a chargé la servante de lui dire d’obéir à son mari et de ne pas quitter la maison. […] Alors, quelques femmes sont venues à elle et lui ont dit : « Ton père se meurt ». « Mon mari m’a ordonné de ne pas quitter la maison », a-t-elle dit, « mais j’enverrai ma servante voir le prophète Mohammed, et je crois qu’il me donnera la permission ». Le prophète Mohammed a chargé la servante de lui dire : « Restez à la maison et obéissez à votre mari ». Puis son père est mort, et c’était l’heure de l’ablution et de l’ensevelissement. Ils voulaient prier pour lui et l’enterrer. Elle a envoyé la servante au prophète Mohammed, pour lui demander que faire. Le prophète Mohammed a dit : « Reste à la maison et obéis à ton mari ». 
Une fois que le prophète Mohammed eut prié pour [son père] et qu’ils l’eurent enterré, le prophète Mohammed lui a envoyé quelques femmes, avec le message suivant : « Allah vous a absous, ton père et toi, car tu as obéi à ton mari » […]
Une femme doit se rendre disponible pour son mari chaque fois qu’il la veut, à moins qu’une raison religieuse s’y oppose. Elle doit se donner à lui. Cela renferme une grande récompense, en plus d’être son devoir. Même si elle est sur un chameau, lorsqu’il dit : « Je veux [des relations sexuelles] » – tout en préservant sa pudeur et sa vertu, elle doit l’accorder à son mari. L’un des buts du mariage est de contrôler les pulsions sexuelles [du mari]. Elle doit le lui accorder.

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